Région DIANA - Protection des zones humides
Madagascar célèbre la Journée mondiale des zones humides, en tant que signataire de la convention de Ramsar. Un atelier dans ce sens a été organisé pour les journalistes de la Région DIANA
Concerned URL | http://www.lexpressmada.com/diana-madagascar/40825-protection-des-zones-humides.html |
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Source | L'express de Madagascar |
Release date | 11/02/2013 |
Geographical coverage | Région DIANA, Madagascar, |
Keywords | CDB, Convention de Ramsar, Journée Mondiale des zones humides, |
«Conscient du rôle important joué par les journalistes et les médias dans la sensibilisation, nous sommes persuadé que vous êtes
les premiers concernés », a souligné Simona Arsène, directeur régional de l’Environnement et des forêts, s’adressant aux journalistes présents à la formation, mardi 5 février, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des zones humides.
Placée sous le thème « Les zones humides et la gestion de l’eau » avec le slogan « Les zones humides protègent notre eau », elle a pour objectif de sensibiliser la population sur l’interdépendance entre l’eau et les zones humides, de mettre en lumière des moyens de garantir un partage équitable de l’eau entre les différents groupes d’acteurs, et de faire comprendre que sans les zones humides, il n’y a pas d’eau.
« À l’issue de cette formation, j’ai bien compris que nous avons un rôle essentiel dans la sensibilisation de la population quant à l’importance des zones humides et leur conservation, contribuant au développement socio-économique de la région, voire du pays », s’est exprimé un journaliste correspondant d’un quotidien national.
les premiers concernés », a souligné Simona Arsène, directeur régional de l’Environnement et des forêts, s’adressant aux journalistes présents à la formation, mardi 5 février, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des zones humides.
Placée sous le thème « Les zones humides et la gestion de l’eau » avec le slogan « Les zones humides protègent notre eau », elle a pour objectif de sensibiliser la population sur l’interdépendance entre l’eau et les zones humides, de mettre en lumière des moyens de garantir un partage équitable de l’eau entre les différents groupes d’acteurs, et de faire comprendre que sans les zones humides, il n’y a pas d’eau.
« À l’issue de cette formation, j’ai bien compris que nous avons un rôle essentiel dans la sensibilisation de la population quant à l’importance des zones humides et leur conservation, contribuant au développement socio-économique de la région, voire du pays », s’est exprimé un journaliste correspondant d’un quotidien national.
Menace
Le formateur a saisi l’occasion pour donner la situation des zones humides dans la Diana, ainsi que leurs problématiques liées à la pression et à l’agression qu’elles subissent. Citons, entre autres, les lacs Mahery de Sakaramy, Antagnavo d’Anivovorano, d’Amboribory Antsiranana II, d’Anaborano Ifasy, de Bermanja (Ambilobe), d’Amparihibe (Nosy Be). Notons qu’on a encore enregistré une dizaine de sites s’étalant sur toute la région Diana, malgré la pression et la mauvaise gestion de ces sites.
Ce sont tous des zones humides d’importance régionale, disposant de potentialités écologique, botanique, zoologique ou hydrologique. Aussi, hébergent-elles des espèces très menacées. Les habitats terrestres autour de ces lacs présentent également une richesse biologique importante, et les communautés locales devraient être impliquées dans leur gestion.
« Notre santé dépend des zones humides. En plus d'être des réservoirs de biodiversité, ces milieux sont également de véritables stations d'épuration, des réservoirs de nourriture et fournisseurs de plantes médicinales », a réitéré Simona Arsène pour conclure.
Ce sont tous des zones humides d’importance régionale, disposant de potentialités écologique, botanique, zoologique ou hydrologique. Aussi, hébergent-elles des espèces très menacées. Les habitats terrestres autour de ces lacs présentent également une richesse biologique importante, et les communautés locales devraient être impliquées dans leur gestion.
« Notre santé dépend des zones humides. En plus d'être des réservoirs de biodiversité, ces milieux sont également de véritables stations d'épuration, des réservoirs de nourriture et fournisseurs de plantes médicinales », a réitéré Simona Arsène pour conclure.
Raheriniaina
Lundi 11 fevrier 2013
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