La convention spécifique entre la Coopération belge au développement (DGD) et l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRScNB) vise à contribuer à une meilleure connaissance de la biodiversité et à une meilleure exécution des conventions environnementales internationales dans les pays en développement.
Dans le cadre de son volet 'sensibilisation', l'IRScNB désire renforcer les activités des Points focaux nationaux pour le Centre d'échange d'informations dans leur soutien à la mise en œuvre de la CDB.
Programme de Petites Initiatives (PPI) lancé par le Fonds Français Environnemental Mondial (FFEM) qui a pour but de mobiliser la société civile des pays du Sud sur les problèmes d’environnement mondial à travers le financement de projets locaux
Pour la session de novembre, la date limite d’envoi du dossier est le 1er octobre 2007
Site web de l'Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégées (ANGAP) de Madagascar
http://www.parcs-madagascar.com/
Association des Réseaux des Informations Environnementales (ARSIE)
Site de l'Association des Réseaux des Informations Environnementales (ARSIE) regroupant les intervenants nationaux et internationaux dans le domaine de l'environnement à Madagascar
C'est une association fondée en 1999
http://www.arsie.mg/
Atelier de lancement officiel du projet en 2014
http://www.bioversityinternational.org/events/event-view/?tx_cal_controller%5Bview%5D=event&tx_cal_controller%5Btype%5D=tx_cal_phpicalendar&tx_cal_controller%5Buid%5D=495&tx_cal_controller%5Byear%5D=2015&tx_cal_controller%5Bmonth%5D=07&tx_cal_controller%5Bday%5D=14&cHash=d312f2bba1dac8a71d713ca0b2fe5ace
Ganzhorn, J. U., S. M. Goodman, and M. Vincelette. 2007. Biodiversity, Ecology and Conservation of Littoral Ecosystems in Southeastern Madagascar, Tolagnaro (Fort Dauphin). Series editor Alfonso Alonso. SI/MAB Series #11. Smithsonian Institution, Washington DC, USA. Ramanamanjato, J. B. 2007. Reptile and Amphibian Communities along the Humidity Gradient and Fragmentation Effects in the Littoral Forests of southeastern Madagascar. Pp. 167 - 179, in: Ganzhorn, J. U., S. M. Goodman, and M. Vincelette, eds. Biodiversity, Ecology and Conservation of Littoral Ecosystems in Southeastern Madagascar, Tolagnaro (Fort Dauphin). Series editor Alfonso Alonso. SI/MAB Series #11. Smithsonian Institution, Washington DC, USA
Les chapitres sous format pdf peuvent être téléchargés
Bulletin d'information du MFG : automne 2008
Bulletin d'information sur les interventions de MFG dans le Parc Ivoloina et dans la Réserve Naturelle de Betampona
http://www.savethelemur.org/MFG-autumn-08.pdf
Catalogue des plantes vasculaires de Madagascar
Base de données en ligne du catalogue des plantes vasculaires de Madagascar élaborée dans le cadre du projet Vahiniala qui est mis en oeuvre par le Missouri Botanical Garden
Catalogue des plantes vasculaires de Madagascar
Base de données sur les espèces végétales ligneuses endémiques de Madagascar avec leur distribution et statut de conservation
http://www.efloras.org/flora_page.aspx?flora_id=12
Communiqué relatif à l'inscription des forêts humides de l'atsinanana sur la liste du patrimoine mondial
les Forêts Humides de l'Atsinanana (Marojejy, Masoala, Zahamena, Mantadia, Ranomafana, Andringitra, Andohahela) ont été inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO au cours de la 31eme session du Comite du patrimoine mondial en Nouvelle-Zelande. L'inscription a eu lieu le 26 juin
http://whc.unesco.org/fr/actualites/358
Convention d'Alger 1968
Adoptée à Alger le 15 septembre 1968 par les Etats membres de l’OUA
http://www.tematea.org/french/?q=node/4593
Convention de Maputo en 2003
Adoptée à Maputo, Mozambique, le 11 juillet 2003 par les Etats membres de l’Union africaine
http://www.tematea.org/french/?q=node/4918
Convention de l'OCDE
OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique
Stratégie d'intervention de "Conservation International" à Madagascar à travers le Fonds de partenariat des écosystèmes critiques (Critical Ecosystems Partnership Fund ou CEPF) ainsi que les projets qui sont financés
Le bien-être des habitants de Madagascar dépend de ses ressources naturelles et de ses services, tels que le bois de feu, la nourriture et l’eau. De nombreuses zones sont dégradées dues à l’utilisation non durable des terres. Les aléas climatiques ajoutent plus de risques pour les personnes, la nature et l’économie. La restauration des paysages forestiers (RPF) est une priorité clé de l'AFR100 pour assurer un développement durable. Les écosystèmes résilients améliorant l'économie, la sécurité alimentaire et l'approvisionnement en eau, la conservation et la séquestration du carbone en sont les piliers. Cette solution couvre la mise en place de plateformes multiséctorielles , les mesures de renforcement des capacités des acteurs, le développement d'une stratégie nationale RPF et la priorisation des payasages à restaurer basées sur une évaluation multicritère. Les prochaines étapes consisteront à identifier des sites pour piloter des activités de restauration dans la région Boeny.
La page montre tous les documents sur les arbres pour la reforestation à Madagascar et dans le monde avec des fiches techniques de présentation d'arbre et Documents sur les espèces d'arbres à planter ou sur la reforestation dans le monde ou un pays précis
Forum électronique sur les biocarburants
Site du forum sur les biocarburants permettant de réunir les informations sur le présent et le futur de la production de biocarburants, ses avantages et les impacts connus et potentiels sur les objectifs de la Convention
La participation au forum peut se faire jusqu'au 9 mars 2007
L’intervention du Programme Germano - Malgache pour l’Environnement (PGM‐E/GIZ) contribue aux objectifs internationaux et nationaux définis, entre autres, par la convention sur la diversité biologique (CDB), la Convention ‐ Cadre des Nations Unies sur la lutte contre le Changement Climatique (CCNUCC) et la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement. A l’échelle des zones d’intervention du Programme (Atsimo Andrefana, Boeny et DIANA), l’objectif est d’améliorer l’utilisation durable des ressources naturelles par la responsabilisation des acteurs pertinents du secteur de l’environnement. L’appui à la gestion décentralisée des ressources naturelles (TGRN et NAP) a spécifiquement pour objectif de générer et de maintenir de manière progressive la valeur ajoutée et les avantages provenant de l’utilisation durable des RN au profit des riverains et des gestionnaires de ces ressources (COBA, ONG, secteur privé).
Vahatra est une association établie dans le système légal de Madagascar. Sa dénomination signifie racine dans la langue nationale malgache. Elle a comme mission d’une part, de contribuer à l’amélioration de la connaissance sur la biodiversité malgache en vue de la mieux gérer et de conserver et d’autre part, de mettre en oeuvre un programme basé sur la formation pratique en écologie, en biologie et en biologie de conservation pour les jeunes scientifiques naturalistes et biologistes malgaches. Dans ce sens, Vahatra continue de faire des inventaires biologiques, de recherches sur le terrain et de travailler avec les étudiants universitaires diplômés.
Fondée en 1993, l'ONG l'Homme et l'Environnement, basée à Madagascar, s'est spécialisée dans le développement durable et la préservation de la biodiversité par l'implication des populations locales défavorisées. Elle oeuvre sur des zones spécifiques très riches en biodiversité menacée, avec le but de faire la démonstration que la préservation de l'environnement et développement humain peuvent aller de pair
Lien vers le siteweb du projet
http://www.bioversityinternational.org/news/detail/mutually-supportive-implementation-of-the-plant-treaty-and-the-nagoya-protocol-in-benin-and-madagascar/
MCD Volume 1, Décembre 2006Lien vers le 1er volume du journal "Madagascar Conservation and Development" publié en décembre 2006
http://www.mwc-info.net/en/services/Journal_Pages/journa_MCD_ISSUE_1_DECEMBER_2006.htm
MCD Volume 2, Décembre 2007
Lien vers le 2e volume du journal "Madagascar Conservation and Development" publié en décembre 2007
http://www.mwc-info.net/en/services/Journal_Pages/journa_MCD_ISSUE_2.html
MCD Volume 3, Décembre 2008
Lien vers le 3e volume du journal "Madagascar Conservation and Development" publié en décembre 2008
http://www.mwc-info.net/en/services/Journal_Pages/journa_MCD_ISSUE_3.html
MWC a pour objectif de préserver la biodiversité dans les zones clés en promouvant une procédure de conservation à long terme qui intègre le développement, l'éducation environnementale et la recherche
Les objectifs généraux de MWC sont
Le renforcement de la communauté
La création des activités alternatives génératrices de revenus
MWC est une organisation nationale à but non lucratif qui mène des projets de conservation communautaire
MWC vise à préserver la biodiversité dans des zones cible. Il promeut des processus de conservation à long terme qui intègrent le développement, l'éducation environnementale et la recherche
Région Anosy, Sud-Est de Madagascar : promotion d'un outil pédagogique en matière d'éducation et de sensibilisation relatives à l'environnement et à la conservation de la biodiversité
Palms of Madagascar
Synthèse de document sur les palmiers de Madagascar
http://www.kew.org/herbarium/palms/madpalms.html
Parc Botanique et Zoologique de Tsimbazaza (PBZT)
Lien vers le Parc situé dans la ville d'Antananarivo, capitale de Madagascar, Région ANALAMANGA
http://www.refer.mg/edu/minesup/organe/pbztbien.htm
Le projet sur cinq ans sur les Grands Ecosystèmes Marins d’Agulhas et de Somalie (ASCLME) se concentre sur deux grands écosystèmes marins (GEM) de la région occidentale de l’océan Indien. Il s’agit du GEM du courant de Somalie – qui s’étend des îles des Comores à la pointe nord de Madagascar jusqu’à la corne de l’Afrique – le GEM du courant Agulhas qui s’étend du Nord du canal du Mozambique au Cap Agulhas, ou Cap des Aiguilles.
Le projet ASCLME est financé par le Mécanisme mondial pour l’environnement (GEF) et est mis en œuvre par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
http://www.asclme.org/
Projet Ny Voaary - Vintsy
C'est un projet financé et mis en oeuvre par le WWF Madagascar et Océan Indien
Démarrage : 1er juillet 2003
Fin : 30 juin 2008
Projet Ny Voaary - Vintsy
C'est un projet financé et mis en oeuvre par le WWF Madagascar et Océan Indien
Démarrage : 1er juillet 2003
Fin : 30 juin 2008
http://www.panda.org/about_wwf/where_we_work/africa/where/madagascar/wwf_madagascar__our_solutions/projects/index.cfm?uProjectID=MG0871
Projet de cartographie de la végétation de Madagascar
Ce projet de 3 ans (2003 - 2006) financé par CEPF et géré conjointement par RBG Kew, MBG et CABS a pour objectif de rendre disponible la carte de végétation de Madagascar résultant de traitement d'images satellites à jour. Ceci est nécessaire pour la planification pour la conservation ainsi que la gestion des ressources naturelles à Madagascar
Résumé du document "Palms of Madagascar"
Document sur les plamiers de Madagascar produit par le Royal Botanic Garden, Kew
http://mg.chm-cbd.net/liens/liens-internationaux/partenaires-internationaux-impliques-dans-la/royal-botanic-garden-kew-rbg-kew/palms-madagascar
Site officiel de l'UNESCO
Agence spécialisée des Nations Unies ayant comme objectif de construire la paix dans l'esprit des hommes à travers l’éducation, la science, la culture et la communication.
http://portal.unesco.org/fr/ev.php-URL_ID=29009&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html
Site officiel de la Convention sur les Changements Climatiques (CCNUCC)
C'est la principale source d'informations sur la Convention, le Protocole de Kyoto et leur mise en application. Le site est destinée à mieux servir ceux qui sont impliqués dans le processus intergouvernemental des changements climatiques.
Siteweb officiel de la convention CITES
Le commerce des plantes et des animaux sauvages dépasse le cadre national, sa réglementation nécessite la coopération internationale pour préserver certaines espèces de la surexploitation. La CITES a été conçue dans cet esprit de coopération. Aujourd'hui, elle confère une protection (à des degrés divers) à plus de 30.000 espèces sauvages – qu'elles apparaissent dans le commerce sous forme de plantes ou d'animaux vivants, de manteaux de fourrure ou d'herbes séchées.
http://www.cites.org/fra/index.shtml
Ramamonjisoa, L et al.. 2003. Situation des ressources génétiques
forestières de Madagascar. Note thématique sur les ressources génétiques
forestières. Document de travail FGR/54F. Service de la mise en valeur des
ressources forestières, Division des ressources forestières. FAO, Rome (non
publié).
Symposium mondial (Antananarivo 20 - 24 juin 2006)
Site du Conservation Internationale - Symposium Mondial 2006 : "Defying Nature's End: The African Context" qui a eu lieu à Antananarivo, Madagascar du 20 au 24 juin 2006
Texte de la Convention CITES
La Convention sur le Commerce International sur les espèces de Faune et de Flore sauvages menacées d'extinction a été signée à Washington le 3 mars 1973 et amendée à Bonn, le 22 juin 1979
http://www.cites.org/fra/disc/text.shtml
Texte de la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturelLa convention concernant la protection du patrimoine mondial, naturel et culturel a été adoptée lors de La Conférence générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, réunie à Paris du 17 octobre au 21 novembre 1972, en sa dix septième session
http://portal.unesco.org/fr/ev.php-URL_ID=13055&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html
Le concept de l’économie bleue vient en complément aux principes liés à l’économie verte visant à soutenir la croissance durable des Etats insulaires et côtiers, en maximisant l’ accès et l’exploitation des ressources marines par une gestion durable de leurs écosystèmes océaniques.
http://www.ecologie.gov.mg/
WCS : Programme marine à Madagascar
Le programme marin de WCS à Madagascar
http://www.wcs.org/globalconservation/marine/marineafrica/madagascarmarine
WCS à Madagascar
Page relatif à WCS Madagascar
http://www.wcs.org/international/Africa/madagascar
C'est une première. Le Botanic Gardens Conservation International (BGCI), spécialisé dans la préservation de la diversité botanique, a publié ce mercredi la première étude universelle sur les arbres. Le monde compte ainsi 60 065 espèces d'arbres différentes, dont 9 600 au moins sont menacées d'extinction.
L'existence de données fiables sur la diversité biologique permet aux fokonolona, aux autorités locales, ministères, organismes, communautés scientifiques, secteurs public et privé de valoriser, de conserver, de restaurer et d'utiliser avec sagesse les ressources naturelles.
Le Centre d'échanges d'informations malagasy de la Convention sur la diversité biologique (CHM/CDB), géré par l'Office national pour l'environnement (ONE), présente des informations qui éduquent et sensibilisent le public, démontrent l'exploitation des technologies et renforcent les coopérations scientifiques et techniques.
Article publié le 08/05/2015 Auteur : Farah Randrianasolo
La conservation de l’environnement n’est pas basée seulement sur les ressources financières, car les ressources humaines, acteurs et responsables du défrichement de la forêt doivent être concernés.
Raison pour laquelle, pour impliquer les populations, des activités, des micro-projets sont créés afin de les sensibiliser sur la conservation de l’environnement. D’où la création d’une association paysanne, englobant les communautés de base (Coba).
À peine découvert et déjà déclaré en voie de disparition. « Cheirogaleus grovesi » ou lémurien nain de Grove n’échappe pas à la menace qui pèse sur bien des espèces à Madagascar, pays à la l’exceptionnelle biodiversité rongée de jour en jour par la déforestation et le braconnage.
Saviez-vous que les citadins d’Ambilobe et des environs consomment chacun 120 kg de charbon de bois par an ? La production de charbon de bois pour l’usage domestique quotidienne de la ville d’Ambilobe est une pression énorme sur les forêts de mangroves du nord-ouest de Madagascar.
Les enjeux liés à la dégradation de l’environnement, les effets du changement climatique ainsi que la protection de l’environnement ont animé les activités de jeunesse aux 11es Jeux de la Commission de la Jeunesse et des Sports de l’Océan Indien (CJSOI) à Djibouti.
La productivité de l’agriculture malgache connaît une baisse continue depuis plusieurs années... Et pâtit des effets du changement climatique. Pour inverser la tendance, l’AFD appuie depuis plus de 15 ans des projets qui apportent des solutions concrètes aux exploitations familiales tout en promouvant des pratiques agro-écologiques. Une action mise en valeur lors des Journées de l’agro-écologie organisées les 12 et 13 avril 2018 à Antsirabe.
Après avoir passé plus de 8 mois au sein du Village des tortues, une association installée à Gonfaron, dans le Sud de la France, quelques 150 tortues étoilées vont enfin retrouver leur habitat naturel à Madagascar, dans une sema
19e congrès - AETFAT 2010
Tenue du 10e congrès de L’Association pour l’Etude taxonomique de la Flore d’Afrique Tropicale à Antananarivo - Madagascar
http://www.aetfat2010.we.bs/index.htm
Les chercheurs découvrent 2 nouvelles espèces de grenouilles à Madagascar. Bienvenue à Rombophryne ornata et Rombophryne tany. Mais ces découvertes montrent aussi la grande menace sur la biodiversité de la Grande Île. Publié le 13/01/2016
Les habitants de la Commune rurale d’Ambondrona, du District d’Isandra, en Région Haute Matsiatra, ont à présent accès à l’eau potable grâce à un projet d’adduction mené par le Ministère de l’eau, de l’énergie et des hydrocarbures. Les infrastructures ont été remises officiellement à la Commune par le Président de la République, Hery Rajaonarimampianina, ce 22 mars, à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Eau.
Ce 09 juin 2016 a eu lieu dans les locaux du Ministère des Finances et du Budget, à Antaninarenina, la signature d’une convention d’octroi de 22 millions d’Euros par la KFW à la Fondation pour les Aires Protégées (FAPBM). Cette convention porte sur le financement à long terme des activités au sein des aires protégées malgache gérées par Madagascar National Parks.
Ce 14 mars, un nouveau rapport international intitulé ''La vie sauvage dans un monde en réchauffement" interpelle sur les effets du changement climatique surlafaune et la flore de 35 régions prioritaires pour la conservation de la biodiversité, dont Madagascar. Ces régions renferment les écosystèmes les plus exceptionnels au monde, abritant une biodiversité irremplaçable mais hautement menacée.
Le recensement des bois de rose en stock est effectué au niveau de onze régions de la Grande île. A Antsiranana, pour la région DIANA, le comptage et marquage des rondins, morceaux et madriers de bois de rose ont été effectués les 17 et 18 novembre
Le comptage a été réalisé par le Comité Interministériel chargé de l’assainissement de la filière bois de rose et bois d’ébène. Il s’agit de bois de rose saisis, entre autres, dans le district d’Antsiranana II en 2011 et au port d’Antsiranana en 2013. 77 rondins et 183 madriers ont été recensés au SRMT7, Service Régional des Matériels Techniques N°7 Paru le 26 novembre 2015
La Fondation des Aires Protégées et de la Biodiversité de Madagascar a réuni ses dix gestionnaires d’aires protégées et ses partenaires techniques et financiers autour d’une table ce 9 janvier 2015. Ils ont procédé à la signature des conventions de financement au titre de l’année 2015. Ainsi, 25 Aires Protégées bénéficient pour 2015, des financements de quatre milliards cinq cent millions Ariary (4 500 000 000 MGA) portant sur une superficie de plus de 2 millions hectares. Trois (3) nouvelles Aires Protégées (NAP) figurent parmi ces bénéficiaires : il s’agit de la forêt de Beanka dans le plateau de Bemaraha dans la région Melaky, de la forêt de Maromizaha dans le corridor forestier d’Ankeniheny-Zahamena, et du site de Mandrozo qui fait partie des sites Ramsar et qui est situé au nord de Maintirano. Quant aux autres bénéficiaires, ils sont 13 qui sont gérés par Madagascar National Parks et neuf (9) par d’autres promoteurs.
Le 5 juin 2016 sera célébré la Journée Mondiale de l’Environnement. Avec pour thème « Luttons pour la vie sauvage », cette journée veut célébrer toutes les espèces menacées et à agir pour leur sauvegarde. Les Nations Unies encouragent une prise de conscience et une action mondiale pour favoriser la sauvegarde de notre environnement. Grâce à des actions concrètes, son objectif est d’encourager les personnes du monde entier à agir pour éviter le commerce illicite de produits issus d’espèces sauvages. Ce commerce détruit l’héritage naturel et conduit des espèces entières au bord de l’extinction.
Suite à la 21ème édition de la Conférence des Parties (COP21) au mois de novembre 2015, la France a lancé un concours au niveau international, dans la recherche de 100 projets innovants sur le développement durable. L’objectif étant d’accélérer l’émergence d’initiatives citoyennes pour lutter contre le réchauffement climatique. Les lauréats ont été annoncés ce mois de juillet ; parmi eux, on retrouve cinq (5) projets provenant de Madagascar.
Hermany Emoantra, pêcheur d’Anakao, Toliara, et non moins président national de MIHARI, un réseau regroupant les Aires Marines Gérées Localement (AMGL), avait témoigné que les eaux surexploitées deviennent comme malades. Il faudra alors prendre des mesures afin de résoudre les problèmes qui menacent la survie des 500 000 petits pêcheurs non seulement dans le Sud, mais à travers Madagascar.
The ATBC is an international entity that promotes research, education, conservation, and communication in the field of tropical biology. To this end, annual meetings are organized with diverse academic institutions in different countries of the globe, representing various cultures and environmental settings.
For Madagascar, it will be a unique opportunity: (i) To better inform the world about the major issues on this island nation related to biodiversity ; (ii) To strengthen the knowledge and capacities of various stakeholders on the conservation of tropical biodiversity ; (iii)To build awareness among policy makers, civil society actors, and private sector on the values of biodiversity and ecosystem services towards sustainable development ; (iv) To provide unique experience for foreign participants to discover the natural and cultural wealth of Madagascar.
The ATBC is an international entity that promotes research, education, conservation, and communication in the field of tropical biology. To this end, annual meetings are organized with diverse academic institutions in different countries of the globe, representing various cultures and environmental settings.
For Madagascar, it will be a unique opportunity: (i) To better inform the world about the major issues on this island nation related to biodiversity ; (ii) To strengthen the knowledge and capacities of various stakeholders on the conservation of tropical biodiversity ; (iii)To build awareness among policy makers, civil society actors, and private sector on the values of biodiversity and ecosystem services towards sustainable development ; (iv) To provide unique experience for foreign participants to discover the natural and cultural wealth of Madagascar.
Cette semaine, en partenariat avec le WWF, l'Ouganda a accueilli le 6ème Forum annuel des acteurs du commerce du bois d'Afrique de l'Est. Afin de lutter contre le commerce illégal, le forum s'est concentré à renforcer la mise en œuvre de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) par les autorités forestières de la région. Madagascar a lutté pour réduire l'exportation illégale de son bois.
S’étant tenu du 7 au 10 septembre dernier à Maroantsetra, le congrès national du mouvement chrétien des cadres et professionnels de l’église catholique s’est focalisé sur la lutte pour la sauvegarde de l’environnement.
Scientists have described a new species of leaf-tailed gecko, Uroplatus fetsy, believed to be found only in Madagascar’s Ankarana Special Reserve. - All Uroplatus species are endemic to Madagascar and are best known for their leaf-like tails and coloration that allow them to blend into the foliage. - Though newly described, U. fetsy may already be at risk: the dry deciduous forests of the reserve are severely threatened by illegal logging, cattle grazing, fires, and artisanal mining. - The authors of the paper describing the new species say it could warrant endangered status on the IUCN Red List because of these threats to its habitat.
Article published on october 23, 2019 by Malavika Vyawahare
Au Sud de Madagascar, à Sakaraha, dans le parc Zombitse Vohibasia, La biodiversité et plus spécifiquement les lémuriens sont menacés d’extinction. D’après les explications, la faune est protégée mais étant donné que dans le parc est inclus la route nationale RN7, au cours de leur déplacement la faune est écrasée par les voitures. D’où la requête de la mise en place de « casseur de vitesse » auprès des autorités. Le zonage du parc permet également le déplacement libre de tous les individus que les actions anthropiques y sont développées : les lémuriens sont consommés et sont une source de monétaire. Les communautés de bases y sont strictes, mais les actions locales dépassent leur capacité car le parc est également utilisé comme circuit des malfaiteurs « dahalo » pour fuir et cacher les bœufs volés.
L’atelier sur « Alliance for Zero Extinction – Rôle et intégration de l’approche AZE dans la conservation de la biodiversité à Madagascar » a eu lieu à la Résidence Ankerana les 24 et 25 janvier 2018.
Les neuf projets lauréats de l'appel à projets (AAP) "Solutions innovantes pour l'accès à l'énergie hors réseaux" ont été annoncés par Nicolas Hulot et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). "Cet appel à projets a recueilli un large succès (…) puisque l'Ademe a reçu 92 projets", indique le communiqué du ministère de la Transition écologique. Les neuf projets sélectionnés vont bénéficier d'un budget global de 5,8 millions d'euros et d'une aide de l'Ademe de 1,8 million d'euros.
Si les déversements d'hydrocarbures intéressent l'opinion publique et suscitent son inquiétude, les « déversements biologiques » pourtant plus dangereux à long terme, passent eux, plus inaperçus. Et selon les données de la FAO, il est fait état, surtout, qu’un champignon exotique est responsable de l'extermination de milliards de châtaigniers américains au début du 20eme siècle, transformant au passage le paysage et l'écosystème de manière radicale…
Faire de l’Aire protégée Menabe Antimena un modèle en termes de conservation, un défi signé ministère de l’environnement et du développement durable. Les scientifiques font savoir que « l’ensemble de la forêt du Menabe central risque de disparaître complètement avant 2050 si le rythme actuel de déforestation continue ». Une annonce pris au sérieux par les acteurs oeuvrant dans le domaine de la conservation des biodiversités.
À Madagascar, une grande île de 587 000 km2 située dans l’océan Indien et célèbre pour son exceptionnelle biodiversité et la richesse en minéraux de son sous-sol, plus de 6 millions d’hectares sont aujourd’hui classés comme zones protégées pour la conservation de la nature. Pourtant, les zones d’exploitation minière sont également nombreuses et en pleine expansion. Ces deux types d’espaces sont parfois proches ou se recoupent.
En se basant sur des faits et exemples, cet article met en lumière des situations dans lesquelles ces intérêts s’opposent et la façon dont les conflits ont été gérés par les décideurs malgaches et par leurs interlocuteurs. Cette réflexion s’intéresse aux conséquences de ces processus de gestion pour les communautés locales.
Dans le cycle d’un projet minier, conformément à la réglementation malgache, la délivrance d’un permis environnemental doit avoir lieu entre la livraison de l’étude et la délivrance des permis d’exploitation. Ce permis environnemental est complété par les conditions générales associées au plan de gestion environnementale du projet minier.
Du 02 au 10 juillet prochain, Sainte Marie vibrera au rythme du chant des baleines. Le Festival des baleines est avant tout une sensibilisation pour la protection de ces mammifères marins et de la biodiversité locale. L’évènement revêt aussi une dimension culturelle et sociale avec les défilés, les concerts, les concours d’artisanat, les compétitions sportives, etc.
La première moitié de 2018 a été un semestre climatique difficile pour la partie sud de l’île. La saison des pluies a été très courte, les rendements agricoles ont été très mauvais... Et sans la pluie, il n’y a pas d’agriculture, donc la principale source de revenus des villageois est menacée !
TFNAC est une plateforme nationale qui réunit tous les acteurs de l’Agriculture de conservation et de l’Agriculture intelligente face aux changements climatiques. Article publié le 25/04/2015
« Les paysans qui se spécialisent dans l’arboriculture fruitière, en général, ne disposent pas assez de compétence ou encore moins la technique permettant de mettre en avant cette filière», se désole Roland Razafiarison, président de l’association Voahary maitso (AVM), dans une interview qu’il a donnée samedi.
Le changement climatique est un phénomène inévitable, mais malgré cela, on peut s’y adapter. De nombreuses activités y afférentes ont été donc effectuées dans la région de Sava.
Le salon Voatra a été l’occasion de faire découvrir au public malgache les potentiels économiques de la filière bambou. Son potentiel énergétique est à exploiter.
Un tout nouveau projet pour augmenter la productivité rizicole. FyVary ou “FertilitYsensing and Variety Amelioration for RiceYield” est un projet de coopération technique, axé sur la recherche sur le riz, lancé officiellement et conclu entre le gouvernement japonais, à travers l’agence de coopération japonaise JICA, et le gouvernement malgache à travers le ministère auprès de la présidence en charge de l’Agriculture et de l’élevage (MPAE) en 2017.
Cinq organismes comprenant le Laboratoire des radioisotopes de l’Université d’Antananarivo, le Centre national de la recherche appliquée au développement rural, le Fiompiana Fambolena Malagasy Norvezianina, l’Institut de recherche pour le développement, ainsi que le Centre de coopération internationale en recherches agronomiques, ont organisé une journée d’information scientifique sur « l’intensification écologique pour une agriculture durable sur les Hautes terres de Madagascar », hier. L’événement qui s’est tenu au Carlton Anosy avait pour but de faire connaître aux acteurs politiques, bailleurs, et société civile les apports de la recherche scientifique sur les questions de production durable des exploitations agricoles des Hautes terres. C’est ainsi que divers intervenants ont essayé de communiquer les résultats des projets de recherche concernant les voies d’intensification écologique dans les agrosystèmes pluviaux. Le Professeur Pablo Tittonell de l’Université de Groningen (Pays-Bas) a, par exemple, mis en lumière la nécessité d’une intensification écologique pour que l’agriculture puisse s’adapter aux multiples contraintes. Après les diverses explications des experts, les cinq organisations espèrent réussir à éclairer la décision pour soutenir le développement des cultures pluviales et de l’élevage des Hautes terres, basé sur les principes de l’agro-écologie. Ceci serait essentiel pour favoriser la croissance économique, mais aussi pour améliorer la sécurité alimentaire, le bien-être des ménages agricoles, ainsi que la préservation de l’environnement.
Plus d’une dizaine d’hectares de forêts ont été incendiés dans l’enceinte du parc Menabe Antimena. Un opérateur économique local, en la personne de Ravaoarisoa Merline Josée, tire ainsi la sonnette d’alarme en raison de la recrudescence de la déforestation dans cette Aire Protégée. « De nombreuses plantes endémiques et des espèces faunistiques tels que les lémuriens répertoriées au sein de cette Aire Protégée, sont ainsi partie en fumée, sans oublier les bois précieux comme le palissandre. La partie des forêts touchée par les feux se trouve principalement à Beronono, Ankilizato et à Morafeno, qui sont un peu éloignés de la Route Nationale No 34. Il en est de même sur la partie de l’Allée des Baobabs, sur l’axe RN 8 menant vers Belo sur Tsiribihina », a-t-elle raconté.
La mise en place d’une aire protégée ne peut être que bénéfique pour la communauté locale. Bien qu’une partie des habitants conteste auparavant cette mise en place à Ambodivahibe, l’histoire leur a prouvé l’utilité de l’optimisation de la gestion des ressources naturelles Paru le 8 décembre 2015
Cinq personnes viennent d’être condamnées à des peines de prison ferme pour avoir défriché illégalement dans le périmètre d’une aire protégée.
Un à deux ans de prison ferme pour chacune des cinq personnes dont deux femmes, appréhendées pour des actes de défrichements illicites dans l’aire protégée de Menabe Antimena. Le verdict tombé tout récemment au cours d’une audience au tribunal de Morondava n’a pas manqué d’être salué par le public et les défenseurs de l ‘environnement.
Près de 40 000 ha à Ambodivahibe, Antsiranana sont désormais devenus une aire protégée de catégorie 5. La sortie du Décret relatif à ce statut a été annoncée la semaine dernière aux communautés locales qui cogèrent le site avec Conservation International. La baie d’Ambodivahibe figure parmi dans le top3 des sites marins résistant au réchauffement climatique Paru le 08/12/2015
Si environ 250 000 personnes ont visité les aires protégées gérées par Madagascar National Parks (MNP) en 2019, il ne restait plus que près de 25 000 visiteurs l’an dernier en raison des impacts de la crise sanitaire liée à la pandémie de covid-19.
En vue d'oprymiser la gestion des aires protégées, Madagascar national parks (MNP) adopte le principe du développement durable et mise sur la cogestion.
Une délégation d’acteurs qui sont impliqués dans la gestion durable des ressources halieutiques et des écosystèmes marins et côtiers ainsi que dans la conservation des Aires marines protégées dans la région de DIANA a effectué une visite d’échange dans la région Atsimo Andrefana. C’est initié par le projet « Kobaby », sous tutelle du ministère de l’Environnement et du Développement Durable, financé par l’Agence Française de Développement, en collaboration avec le réseau MIHARI. « L’objectif consiste à renforcer la gouvernance et la gestion de ces Aires marines protégées comme la Baie d’Ambaro et la Baie d’Ampasindava, qui sont menacées par l’utilisation des engins de pêche prohibés », a expliqué Ralaiarisoa Jean-Joseph Richard, le responsable environnemental et juridique au sein du projet « Kobaby », lors de la rencontre avec la presse.
La saison sèche attise les feux et surtout l’intérêt de ceux qui s’adonnent à ce néfaste sport annuel qu’est l’incendie de forêts et de brousse. Les aires protégées ne sont pas épargnées par ce fléau. Les dernières données et images satellitaires du Système d’alerte feux datées du 9 septembre 2013 font état de 97 points où l’on a détecté la présence de feux. Ces différents points se trouvent tous dans des aires protégées
Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 11 septembre 2013
Les communautés riveraines s’impliquent dans la gestion de parc à tout en bénéficiant des sous-projets servant à améliorer leurs conditions de vie.
Madagascar National Parks a initié la mise en œuvre d’un projet d’accompagnement des communautés riveraines des 28 aires protégées réparties dans toute l’île. L’objectif consiste à mettre en place une gouvernance participative pérenne des ressources naturelles à l’intérieur et autour de ces parcs avec les groupements des communautés locales. Ces dernières bénéficient en contrepartie un financement de sous-projets de développement servant à améliorer les conditions socio-économiques locales. Il s’agit notamment d’une cogestion durable entre le MNP et les communautés riveraines pour une meilleure conservation de ces aires protégées
1 200 000 jeunes plants de mangroves ont été reboisés sur 450 ha en 2014 dans la région Boeny. C’est le fruit d’un projet pilote pour la protection des aires protégées et du littoral qui sera cette année mis en place dans la commune rurale de Tsaramandroso, sur la RN4. Publié le mardi 17 février 2015
Les Aires Protégées (AP) de la région du Boeny viennent de bénéficier de 6,8 millions de dollars, l'équivalent d'environ 25,5 milliars d'ariary, du Fonds pour l'environnement mondial (FEM).
Partenariat gagnant entre Airtel Madagascar et Madagascar National Parks. La convention signée, mercredi dernier, entre d'une part, Airtel-Madagascar, une compagnie de télécommunication de grande envergure et la MNP dont le rôle joué en matière de protection de l'environnement, n'est plus à démontrer, permet en effet à cette dernière de disposer d'un système de communication fiable Article paru dans le quotidien "Midi Madagasikara" en date du 2 mai 2014 Auteur R. Edmond
L’Union européenne, la FAO et l’association Partage unissent leurs efforts pour éradiquer les trafics de bois dans l’Alaotra Mangoro. Dans le cadre du projet Transflubo ou projet d’appui au développement d’outil harmonisé pour le traçage et le suivi des flux de bois d’Alaotra Mangoro, quatre points de suivi seront bientôt mis en place.
Des hordes de villageois accaparent le marais dans la nouvelle aire protégée de l’Alaotra. Le bandro, un lémurien endémique de lac, est menacé Des pratiques rocambolesques sont portées au grand jour dans la région Alaotra Mangoro. Des accaparements massifs de terrains dans la nouvelle aire protégée de l’Alaotra font des vagues. Des milliers d’hectares de marais tombent aujourd’hui entre les mains d’une peuplade d’envahisseurs, souvent appuyés et financés par des dirigeants locaux, des opérateurs fortunés et même des personnalités influentes au sein du Gouvernement, qui se taillent la part du lion, une fois le terrain occupé
Le milieu rural est formé par la JICA dans la vulgarisation des méthodes de restauration de l’environnement. Les résultats sont probants depuis deux ans
Article paru dans le quotidien l'express de Madagascar du 16/8/2013
Après celle entamée par le monde de l’Éducation nationale, une séance portant sur la protection de l’environnement a été organisée par l’association régionale des intellectuels de l’Alaotra (ARIAL), vendredi dernier, à Ambodiakondro Ambatondrazaka. Cinq mille jeunes plants de vétiver ont été repiqués afin d’éviter l’érosion sur l’étendue entourant la zone où jaillit la source d’eau naturelle de bonne qualité alimentant tous les réseaux qui arrivent jusqu’aux centaines de milliers de robinets répartis dans la ville d’Ambatondrazaka. Plus d’un ont mentionné que l’initiative a été louable. Dans l’Alaotra, l’on constate qu’il n’y a pas que les habitants, les maisons, les rizières, les routes et les ruelles, ou encore les rues, qui ont subi des dégâts causés par le passage du cyclone Enawo. Ainsi, quelques jours après les déclarations médiatisées en grandes pompes, voilà que les tomates produites dans l’est du grand lac commencent à disparaître des marchés, que ça soit à Ambatondrazaka ou sur les étals des marchands à Toamasina et à Moramanga. Selon les producteurs, les coups et le froid dus aux eaux des pluies durant le cyclone ont endommagé les fruits qui, normalement, devaient être récoltés à ce moment. La perte s’élèverait à des millions d’ariary, selon les estimations des paysans.
Une gigantesque pollution marine vient d’être détectée au large de Mahajanga. Des menaces écologiques en vue.
Des cas suspects de pollution marine ont été repérés dimanche par le satellite d’observation de l’Agence européenne pour la sécurité maritime (European maritime safety agency Emsa) dans le secteur nord-ouest de Madagascar. D’une longueur totale de 94 km, la marée noire se répartit en six points situés au large de Soalala, Katsepy, Mahajanga et un peu plus au sud d’Analalava. Elle couvre près de 120.000.000 m2 (120 km2) de surface marine.
Sachant qu’aucun bateau n’a été localisé ni a échoué dans les parages, l’origine de cette pollution reste à déterminer mais selon l’avis d’un spécialiste, plusieurs scénarios sont envisageables.
Les prévisions sont alarmantes, mais n’ont rien d’étonnant. Les services météorologiques prévoient que le pays connaîtra une véritable catastrophe climatique en 2080 si nous continuons à avoir le même comportement vis-à-vis de l’environnement. Les affirmations sont encore plus précises puisqu’elles nous disent que plus des trois-quarts du territoire connaîtraient une sécheresse identique à celle de l’Androy actuellement. La ministre de l’Environnement est en train, avec raison, d’éveiller les consciences et d’appeler tout le monde à se mobiliser pour prévenir cette catastrophe, les paroles ne suffisent plus. On doit agir et avoir une politique bien pensée pour reconstituer un patrimoine forestier qui a fait notre renommée durant le vingtième siècle.
La dégradation des zones humides se poursuit et le grand lac d'Alaotra risque de disparaître. Un atelier de réflexion a été organisé pour y remédier de manière décisive.
La demande d’algue exprimée par les importateurs américains est importante. Pour profiter de cette opportunité, une société privée collaborant avec l’ONG Conservation International compte lancer une production dans le nord, en intégrant les habitants locaux.
Les quatre compagnies aériennes majeures de l’Océan Indien, en l’occurrence, Air Madagascar, Air Austral, Air Mauritius et Air Seychelles se sont engagées, hier à Plaisance Maurice à mettre en œuvre un programme d’action commun pour la promotion de l’environnement et du développement durable. Cette initiative entre dans le cadre de la mise en œuvre de l’Allliance Vanille. Les dirigeants de ces compagnies aériennes ont également réaffirmé leur volonté de travailler ensemble- toujours dans le cadre de cette Alliance signée en 2015- à l’amélioration de la connectivité des îles de la région Océan Indien.
L’Union des Communes du Sambirano (UNICOSA) va inventorier des ressources et des infrastructures en eau pour renforcer son système d’information géographique.
La constitution d’une base des données ou de système d’information, constitue une étape importante pour l’observation des dynamiques du territoire.
Le volet protection de l’environnement fait également partie intégrante des priorités d’Ambatovy qui y consacre un budget relativement important Article paru dans le quotidien "Midi madagasikara" en date du 17 juillet 2014
Le troisième Plan de gestion environnementale spécifique (PGES) d’Ambatovy a été signé au début de cette année, à Toamasina, plus précisément le 23 janvier 2014, par le directeur général de l’Office National pour l’Environnement (ONE), Jean Chrysostome Rakotoary, et le président d’Ambatovy, Mark Plamondon. Ce PGES, relatif au pipeline de pulpe, est le troisième PGES d’Ambatovy qui fait suite aux deux premiers respectivement relatifs à l’usine de transformation, signé en novembre 2011, et à la mine, signé en mai 2013.
Un programme spécifique est mis en œuvre par Ambatovy, pour protéger des poissons endémiques. Plus de 6 000 individus de poissons Ratsirakia sp. et Rheocles sp. ont été sauvegardés dans les zones de défrichement du site minier d’Ambatovy à Moramanga dans le cadre du programme de gestion des poissons endémiques mis en œuvre par la Compagnie.
La compagnie minière Ambatovy continue de militer pour la protection de l’environnement. Le Festival Indri Indri qui se déroule actuellement au Parc National d’Andasibe Mantadia est une occasion pour Ambatovy de démontrer ses efforts pour la protection de l’environnement. En guise de participation à ce Festival, Ambatovy a offert à ce parc, géré par Madagascar National Parc 105 individus d’orchidées répartis en 17 espèces
Sherritt poursuit avec succès son programme de protection de la biodiversité. Et les efforts continuent de produire des effets bénéfiques, avec la découverte récemment de nouvelles espèces d’orchidées.
Afin de réduire la dépendance vis-à-vis du bois énergie, un projet proposant une alternative consistant à fabriquer du biogaz à partir de la bouse de zébu vient d’être lancé à Ambilobe le mois dernier. Le biogaz en remplacement du bois ou du charbon de bois, et réduire ainsi la déforestation en diminuant les pressions qui pèsent sur les ressources en bois. L’initiative promet une réduction conséquente de l’usage de bois et de charbon de bois, à l’origine de la déforestation, notamment dans la partie Nord de Madagascar
L’ouverture officielle de la pêche à Ambodivahibe s’est tenue vendredi 20 mars. Cette réouverture intervient après quatre mois de fermeture pour une gestion rationnelle des ressources
Le projet Passat de la Welthungerhilfe (WHH) s’investit chaque année dans des actions de reboisement. Un de ces objectifs vise l’augmentation de la résilience de la population face au changement climatique, notamment celle de Toliara et de ses alentours. Pour cette année, la plantation de mangroves vient s’ajouter au reboisement classique. Un partenariat avec l’ONG Honko, Reef Doctor et le VOI Mamelo Honko a permis de planter 32 214 pieds de mangroves à Ambondrolava dans la Commune Rurale de Belalanda.
La forêt d’Ankazomivady, à une trentaine de kilomètres d’Ambositra a été le cadre de la célébration, lundi dernier, de la JME dans l’Amoron’i Mania. Le directeur régional de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts d’Amoron’i Mania, Rakotoarimanana Alain et son équipe ont tenu non seulement, à célébrer la journée mondiale de l’environnement, mais aussi à mettre une touche significative à cette célébration et qui a eu pour cadre, la forêt naturelle d’Ankazomivady, le 6 juin dernier, à une trentaine de kilomètres au sud d’Ambositra. L’unique forêt primaire qui se trouve sur le bord d’une route nationale, la RN 7 entre la commune rurale d’Ambalamanakana et celle d’Ambatofitorahana.
Madagascar célèbre le 22 mai la Journée Mondiale de la Biodiversité comme le reste du monde. Cette année, la célébration était sous le thème de "la biodiversité et le tourisme durable". Ce fut l'occasion pour WWF de présenter le tourisme communautaire promu par les villageois de l'Aire Protégée Amoron'i Onilahy, dans le Paysage Mahafaly, au Sud de Toliara.
Le lancement officiel du projet Papriz, phase 2 (Projet d’amélioration de la productivité rizicole et la gestion des bassins versants et périmètres irriguées), s’est tenu hier à l’hôtel Panorama, Andrainarivo. Article publié le 18 mars 2016
A Madagascar, les secteurs économiques les plus touchés par les effets néfastes du changement climatique sont l’agriculture, l’élevage, la forêt, les ressources en eau, la pêche et la santé. Pour jouir de ces substances de manière durable face au changement climatique, les populations locales de la région d’Analamanga, Atsinanana, Androy, Anosy et Atsimo Andrefana ont bénéficié d’un projet d’« Amélioration des capacités d’adaptation et la résilience face au changement climatique dans les communautés rurales ». L’objectif fixé par ce projet est le renforcement de la résilience des institutions et des communautés face au changement climatique.
A recent decision by the Malagasy government to grant permits to export live mud crabs to five Chinese companies has sparked controversy and highlighted the country’s struggle to sustainably manage an overexploited fishery.Civil society organizations like Southern African Regional Non-State Platform in Fisheries and Aquaculture (SANSAFA) Madagascar and the National Network of Women in Fisheries in Madagascar (RENAFEP) are demanding the ministry cancel the permits, saying the move harms local fishers and businesses.For some, the opposition to the permits is rooted in resentment that coastal communities work to restore habitats and bear the brunt of fishing closures and restrictions while outsiders reap the rewards. Even as exports of live crabs boom, the absence of an overarching national strategy and the lack of data to guide measures is hurting efforts to make the fisheries more sustainable, experts say.
La protection et la conservation de la biodiversité, d'une part, et l'amélioration des sources de revenu des populations locales, d'autre part. Tels seront les principaux impacts positifs du projet de développement d'un site d'écotourisme d'Analabe, à Vohitrambato (district Toamasina II), appuyé par Ambatovy
Alors que le marché mondial du bambou représente 60 milliards de dollars, l’exploitation de cette filière à Madagascar n’en est qu’au stade d’inventaire. Andrianjaka Rajaonarison, coordinateur national du projet de l’International Network for Bamboo and Rattan-Inbar, nous en parle.
Le 13 novembre dernier vers 3 heures du matin, des responsables de la Direction régionale de l’Environnement, de l’Ecologie, de la Mer et des Forêts (DREEMF) de la région Androy en collaboration du Turtle Survivale Alliance (TSA), ont découvert un vaste trafic de tortues lors d’une descente effectuée dans cette partie de l’île Publié le 17 novembre 2015
Une alternative à la déforestation a été proposée aux habitants du fokontany de Manavy, district d'Ambovombe, pour limiter la dégragation de l'environnement dans le secteur
Les chefs lieux de régions de l'Androy et de l'Anosy ont tenu respectivement les 19 mars et 21 mars 2018 leur atelier de travail pour planifier les actions conjointes de communication et de sensibilisation sur l'adaptation aux changements climatiques. Les responsables au niveau des régions, des districts, les représentants des communes, les organisations de la société civile, quelques acteurs du secteur privé, les directions régionales s'occupant de l'environnement, de l'écologie et des forêts, de l'agriculture et de l'élevage, de la pêche et des ressources halieutiques, de l'eau, de la Météorologie ainsi que les partenaires techniques spécialisés dans l'appui au développement, l'humanitaire et dans l'environnement ont participé dans chacune de ces ateliers
La police des stupéfiants a interpellé un recidiviste chinois, lundi. Ce suspect a été pris en possession d'amphétamines et de bébés toertues étoilées.
Quelque 3 222 hectares de forêts renfermant plusieurs espèces endémiques comme l’oiseau rapace Ankoay ou encore de différentes races de primates ont été entièrement confiés à la population d’Anosikary, à 60 km de la commune urbaine d’Ambato Boeny. La gestion leur est léguée, d’abord pour une durée de trois ans, suivie d’une autre de dix ans, si l’évaluation s’avère positive.
Recyclage et dépollution. Pour innover, l'entreprise TBSE ( Tropical Biodiversity abd Social Entreprise) souhaite se lancer dans le recyclage des déchets, plus précisément celle s des battéries usées.
Trafic. L'exploitation illicte des tortues radiées de la Région Androy continue. Cette semaine, la police nationale a intercepté quarante et une tortues dans un carton bien fermé près de l'aéroport de Taolagnaro. Informée de la situation, la direction interrégionale de l'Environnement et du développement durable a dépêché une équipe sur les lieux pour constater les faits.
Antananarivo croule sous les déchets. La Commune urbaine , à travers le Service Autonome de Maintenance de la Ville d'Antananarivo (Samva) est incapable d’assurer le minimum de services notamment en termes de ramassage des ordures. Du coup, les ordures ne font que s’accumuler, polluant la capitale.
Une cérémonie de ritualisation pour le renouvellement du transfert de gestion des forêts au profit des communautés locales de base (VOI), s’était déroulée tout dernièrement dans la commune rurale d’Antoetra-Zafimaniry, district d’Ambositra, région d’Amoron’i Mania
Article paru dans le quotidien Midi Madagasikara le 30/12/2013
Après des années de tâtonnements, la conservation de l’environnement et le développement local commencent à s’harmoniser. Cette démarche nécessite pourtant l’engagement de l’État Article paru dans le quotidien "l'express de Madagascar" en date du 11/07/2014
Ils sont tout juste en cours préparatoires 1 et 2, mais sont déjà conscients de l'importance de la préservation et de la protection de l'environnement. Il s'agit des petits écoliers du collège Jules Vernes à Antsirabe.
Un mois à peine après sa création, l’association « Ho maitso ny tontolo » d’Antsirabe marque son existence à travers une œuvre sociale destinée à des enfants nécessiteux de deux établissements scolaires. Trois cents élèves issus pour moitié des écoles primaires publiques d’Ambohimena et d’Antanambao-Est à Ivohitra ont été ainsi l’objet de cette première activité de l’association. Elle traduit sa contribution au développement social.
En plus de la fameuse plage, le Complexe Ramena englobe également une aire protégée. En particulier la forêt qui s'y retrouve est absolument à préserver
La consommation de viande de tortue de mer a tué sept enfants, par intoxication alimentaire. De novembre à mars, ces animaux se nourrissent d’algues très toxiques
Lorsqu’il s’agit d’énumérer les atouts touristiques de Madagascar, Ramena et sa plage de rêve se trouvent en haut de la liste des sites touristiques à visiter impérativement à Madagascar. C’est un petit village de pêcheurs très tranquille, qui tente de garder une certaine authenticité. D’après les spécialistes du tourisme dans le monde, elle fait partie des tops 10 des plus belles plages du monde. Ancrée dans une baie sise à la pointe Nord de Madagascar, elle est située à une vingtaine de kilomètres d’Antsiranana, où les traces des périodes coloniales sont encore très visibles, et font le charme de la ville. Article paru le 1er avril 2016
La richesse de la flore malgache n’est plus à démontrer.Plusieurs essencess’y trouvent. Sans aucun doute, notre îleregorge également de plantes mellifères (endémiques ou introduites).En effet, les plantes mellifères sont des plantes préférées et visitées desinsectes butineurs (ouabeilles mellifères) parmilesquels Apis mellifera unicolor. Plus d'un million de la population vivent de la filière apiculture.
En cette période où les autorités de l’Etat soulèvent de manière publique et officielle des questionnements sur les impacts réels de l’extraction d’ilménite Rio Tinto/ QIT Madagascar Minerals (QMM) à Taolagnaro dans la région Anosy et annoncent la nécessité d’un audit financier, il est indispensable de souligner que des organisations de la société civile ont tiré la sonnette d’alarme à diverses reprises et continuent à alerter les autorités compétentes sur les préjudices subis par les habitants des villages directement affectés par l’installation de cette compagnie minière. Un examen sérieux des impacts environnementaux et sociaux des opérations minières s’avère également urgent.
L’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA)couvre 255 espèces d’oiseaux qui dépendent écologiquement des zones humides pendant au moins une partie de leur cycle annuel, incluant de nombreuses espèces de plongeons, grèbes, pélicans, cormorans, hérons, cigognes, râles, ibis, spatules, flamants, canards, cygnes, oies, grues, limicoles, goélands, sternes, oiseaux tropicaux, alcidés, frégates et même le pingouin d’Afrique du Sud.
L’Accord couvre 119 pays et la Union européenne (UE) d’Europe, de parties de l’Asie et du Canada, du Moyen-Orient et de l’Afrique. En fait, la zone géographique couverte par l’AEWA s’étend des zones septentrionales du Canada et de la Fédération russe jusqu’à la pointe la plus australe du continent africain. L’Accord prévoit des actions concertées et coordonnées qui doivent être prises par les États de l’aire de répartition dans le cadre du système de migration des oiseaux d'eau auxquels il s’applique. Sur les119 Étatsde l’aire de répartition, 64 pays et l'Union européenne (UE) (au 1er novembre 2011) sont actuellement Parties contractantes à l’AEWA.
La Fondation Tany Meva est une fondation environnementale à vocation communautaire. Elle a pour mission de mobiliser et de gérer des ressources financières afin de promouvoir la gestion durable de l’environnement à Madagascar et de contribuer aux défis mondiaux en la matière avec l’engagement actif des communautés locales. A cet effet, Tany Meva appuie des projets à travers trois (3) programmes de financement : - Gestion durable des ressources naturelles (GDRN) - Promotion de sources d’énergie renouvelable moins polluantes (Angovo Meva) - Education environnementale appliquée (EDENA)
Allier impératif écologique, rentabilité économique et entraide à partir d’un simple geste citoyen : jeter ses déchets dans les bacs à ordures. Telles sont les maximes qui ont fait naître le projet Fakotôry, lancé au début de ce mois d’avril. Ce start-up de jeunes qui accompagne actuellement douze activités précaires, et à la fois projetant de réduire les déchets de la capitale de 11% d’ici janvier 2017, ambitionne de répondre aux problèmes de pollution dans les grandes villes. Il veut également contribuer à l’amélioration des conditions de vie des personnes défavorisées et marginalisées, qui représentent la majorité de la population malgache. Article paru le 18/04/2016
L'Association Intercoopération Madagascar (AIM) figure parmi les organisations qui oeuvrent pour la protection de l'environnement et l'amélioration des conditions de vie des populations à Madagascar. Elle est très active dans la gestion durable des ressources naturelles à travers des projets financés par des partenaires financiers dont l'Union Européenne. Si elle vient de clôturer le projet COFAM (Corridor Fandriana Marolambo) avec Madagascar National Parks, AIM met actuellement en oeuvre le projet ADIAFO (Ala Diovina sy Ajariana ho Fandrehitra ho an'ny Olona) dans les districts d'Ankazobe et d'Ambohidratrimo
Le Profil d'écosystème est destiné à permettre au Fond de Partenariat pour les Ecosystèmes Critiques (CEPF) de prioriser les interventions qu'il envisage de reprendre à partir de 2014 à Madagascar et dans les îles de l'Océan Indien
Atelier organisé par le Ministère de l'Agriculture en collaboration avec le Programme SAHA, dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie du Ministère de l'Agriculture pour la diversification agricole.
Le Ministère de l'Environnement, de l'Ecologie, de la Mer et des Forêts, en partenariat avec le GRET, l'IRD et le C3EDM organise les 3 et 4 mai 2016 un atelier d'échanges visant à partager les expériences en construction, de mise enoeuvre et d'évaluation de mécanisme de PSE à Madagascar. L'atelier répond au défi du ministère de valoriser le capital naturel en mettant en place un mécanisme de Paiement des Services Ecologiques effcace et adapté aux objectifs du développement durable. La réalisation de l'atelier est financée par me FFEM dans le cadre du projet Rhyvière II (Réseau hydroélectrique villageois : énergie et respect de l'environnement) dont le GRET est le chef de file
Le Groupe des Spécialistes de
Plantes Malgaches (GSPM) et leBotanic Gardens Conservation International (BGCI),
dans le cadre de la mise en place d’un projet portant sur la conservation et la
valorisation des plantes sauvages alimentaires et médicinales malgaches examinent
les approches développées au sein d’un certain nombre de projets de gestion des
ressources naturelles. Les informations et les analyses de ces approches seront
présentées lors d'un atelier qui vise à identifier et/ou élaborer une ou des
méthodes pour une approche véritablement intégrée de la conservation et du
développement.
Il s’agit de déterminer comment faire en
sorte que toutes les actions de conservation soient perçues comme un outil de
développement durable. Le cas de
la conservation de la diversité végétale à Madagascar sera particulièrement étudié ainsi que e rôle
particulier des organismes directement liés à la conservation des plantes
notamment les jardins botaniques et institutions scientifiques affiliées. La réflexion sera ralliée à la stratégie
nationale de la conservation de la biodiversité.
L'atelier est financé par
l’Agence Suédoise du Développement et de la Coopération (programme SwedBio).
L'atelier aura lieu au CNEAGR les 23 et 24 juin 2009 à partir de 8h30
C'est une formation organisée en collaboration avec le PFN de la CDB et dans le cadre de partenariat avec l'Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique. Les participants sont les représentants des institutions parties prenantes à la CDB
La formation a pour but de faire une revue des fonctionnalités importantes du logiciel quantum Gis (QGis), de les comparer avec celles d'autres solutions éditeur et de les mettre en pratique dans une étude de cas.
Atelier organisé par la Direction du SILO National des Graines Forestières, dans le cadre de la préparation du rapport mondial sur l'état des ressources phytogénétiques forestières à présenter en 2013, suite à la requête de la Commisson des Ressources génétiques pour l'Alimentation et l'Agriculture et appuyée par le Comité des Forêts de la FAO
Le premier atelier de lancement du projet COMBO se déroule à Madagascar ce 17 et 18 mai 2016 . Madame Le Ministre de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts a honoré de sa présence la séance d’ouverture et a procédé à l’ouverture officielle de cet atelier. L’objet de cet atelier est de présenté le projet aux différentes parties prenantes locales (membres du gouvernement et organismes institutionnels, bailleurs de fonds, entreprises privées, représentants de la société civile, ONG de conservation, scientifiques, etc.) et de tenir une première session de renforcement de capacités.
Le projet COMBO a été conçu et préparé pendant près de 3 ans par le Wildlife Conservation Society (WCS), Biotope (dont Biotope Madagascar) et Forest Trends. Il se conforme à la Politique Nationale de l’Environnement pour le Développement Durable (PNEDD, 2015) dont l’un des axes stratégiques prône en faveur de dispositif d’évaluation et de suivi des impacts des investissements sur l’Environnement. A travers ce projet, Madagascar considère un renforcement de la gouvernance environnementale intersectorielle.
Il est financé par plusieurs partenaires dont l’Agence Française de Développement (AFD), le Fond Français pour l’Environnement Mondial (FFEM), la fondation MAVA, le PNUD en Ouganda, la société Rio Tinto
L'ONE a bénéficié d'un appui de l'AFD pour une assistance technique au processus REDD à Madagascar. L'atelier est organisé pour le lancement de cette assistance Technique
Madagascar s'est engagé dans la protection et la gestion durable des zones humides en ratifiant la convention Ramsar en 1999. De nouveaux sites seront à proposer et la mise à jour de la SNGDZH en cours de finalisation dans le cadre de la mise en oeuvre de ladite convention
Suite à sa déclaration lors du COP 21, et dans le cadre de la mise en œuvre de l’initiative « African Forest Landscape Restoration Initiative (AFR100) » avec le NEPAD, le WRI et la Coopération allemande pour la restauration de 100 millions d’hectares d’ici 2030, Madagascar s’est engagé dans le processus de restauration de 4 000 000 Ha de paysages dégradés et déboisés.
C'est un atelier de restitution des réalisations de la première année du Projet Managed Resources Protected Areas qui se tiendra le 25/03/2014 à partir de 9heures au DLC Anosy
En 2006, le Ministère de l’Environnement, et des Eaux et Forêts (MINENVEF), dénommé actuellement Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts (MEEF) a lancé le concept des sites KoloAla à travers la Direction Générale des Eaux et Forêts pour une gestion forestière durable, mais dont la mise en place effective a été en veille. De ce fait, en 2015, le Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts (MEEF) à travers la Direction Générale des Forêts a initié la relance de ce concept à travers différents partenariats et différents projets.
Dans la mise en œuvre de la sensibilisation nationale sur le Traité International des Ressources Phytogénétiques pour l’Alimentation et l’Agriculture (TIRPAA), ratifié en mars 2006, un atelier a été ouvert le 25 Novembre 2015 par le DG du FOFIFA Lala Razafinjara représentant du Ministre de l’Agriculture au Development Learning Center Anosy.
Dans le cadre du projet de l’ONE (Office Nationale pour l’Environnement) portant sur la mise à jour du Tableau de Bord Environnemental régional (TBER) Menabe, un financement de petites subventions, l’atelier de validation de cet outil s’est tenu les 16 et 17 mai à l’Hôtel Les Bougainvilliers Morondava. Une quarantaine de participants émanant des entités décentralisées ainsi que les organisations œuvrant dans la région.
Madagascar, en ratifiant la CDB en 1996 s'est engagé à poursuivre ses objectifs en particulier l'accès aux resources génétiques et le partage des avantage découlant de leur utilisation
Selon les termes de l'article 2 de la CDB, les ressources génétiques sont définies comme étant le matériel ayant une valeur effective ou potentielle. Aussi, l'élaboration d'un cadre juridique spécifique qui régit l'accès aux ressources s'avère nécessaire
L'utilisation et le mouvement des OGM ou Organismes Génétiquement Modifiés à Madagascar doivent être contrôlés et organisés dès aujourd'hui
Après les villes de Toamasina, Toliara et Mahajanga, c'est Antsiranana qui accueillait à l'Hôtel de La Poste les 30 et 31 janvier l'atelier de sensibilisation et de formation sur le protocole de Carthagène sur la biosécurité
Atelier organisé dans le cadre de la mise en oeuvre du Fonds Additionnel / PE 3 pour la validation des résultats de l'analyse de la déforestation 2005 - 2010 - 2013 dans l'écorégion des forêts de l'Est les 5 et 6 août 2014 au Solimotel Anosy à partir de 9h
Les lémuriens figurent parmi les groupes les plus menacées de primates dans le monde, avec 40% des 102 taxa sur la liste rouge dans l'une des catégories menacées (CR, EN ou VU) et 45% des données insuffisantes. 8 genres et au moins 17 espèces de lémuriens ont disparu dans les 2000 dernières années, depuis l'arrivée des humains à Madagascar (Godfrey & Jungers 2002).
Madagascar est l'un des hotspots de la biodiversité mondiale de haut niveau, présentant un degré exceptionnel d'endémisme et un taux élevé de perte d'habitat, et est donc une priorité de conservation globale (Myers et al, 2000; Brooks et al 2006).
Atelier réalisé dans le cadre du Projet PNUE sur la convention de Nairobi et concernant le renforcement de capacité en vue d'une participation efficace et effective au centre d'échange d'information sur la convention
C'est un atelier co-organisé par ONE - DGF, Helvetas - CIRAD dont les objectifs sont de :
Présenter les résultats de l’AT-REDD sur les différents sujets techniques pour l’établissement d’une REL REDD+, incluant la présentation d’une ligne de référence préliminaire ;
Recueillier les recommandations pour effectuer des améliorations et pour établir un système MRV ;
Le coup d’envoi pour l’ouverture officielle de la campagne de reboisement s’est déroulé le vendredi 24 février dernier à Analila commune rurale d’Amporoforo district de Farafangana en présence du préfet de Farafangana Narison Roch Léopold, du chef de région Atsimo Atsinanana docteur Théodoret et du docteur Ramananarivo Hugo Reynald directeur régional des forets, de l’écologie et de l’environnement Atsimo Atsinanana.
À Madagascar, l’ONG scientifique Blue Ventures (qui cherche à concevoir des approches novatrices pour favoriser la conservation de l’écosystème marin local par les habitants du cru) s’intéresse au potentiel du carbone bleu depuis 2011. L’un des objectifs fondamentaux du projet est de permettre aux communautés côtières de participer sur un pied d’égalité à un mécanisme REDD+2 portant sur les mangroves.
A Madagascar, l’augmentation du trafic d’animaux fait partie des fléaux de la crise politique qui frappe le pays depuis 2009. Les organisations environnementales sont alarmées : depuis cinq ans, la faiblesse des institutions et la corruption permettent aux trafiquants de faire sortir leurs marchandises. Parmi les animaux visés, il y a les tortues à soc, espèce extrêmement rare qui ne vit que dans une région isolée du nord-ouest de l’ile et qui pourtant fait l’objet d’un trafic international.
Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’environnement, dont le thème se focalise pour cette année sur la lutte contre le commerce illégal des espèces sauvages ; diverses activités de sensibilisation du public figurent au menu du programme.
La commune rurale de Masindray organise du 29 octobre au 1er novembre, une foire horticole. L’objectif, comme dans toute manifestation économique du genre, est de mettre en valeur les produits agricoles, dans ce cas les fleurs et les légumes. Une occasion également pour les natifs de Masindray d’acheter les fleurs afin de rendre hommage à leurs parents et proches disparus.
Dans un rapport publié le 4 mars dernier suivi d’un communiqué de presse, en amont de son assemblée qui se tiendra d’ici quatre jours à Nairobi, l’ONU Environnement place (la pollution) à l’azote dans le peloton de tête des cinq premiers problèmes environnementaux mondiaux.
Dans l’objectif de couvrir la Grande île de forêts, le cabinet d’études BRL Madagascar, en partenariat avec l’Aéroclub de Tananarive, a effectué un reboisement avec toutes les conditions favorisant la pousse d’un maximum de plants mis en terre. L’opération a eu lieu à Fihaonana, district d’Ankazobe, région Analamanga le 30 janvier dernier. Ils étaient une cinquantaine d’hommes et de femmes à avoir mis en terre 3 000 plants, composés d’arbres forestiers et fruitiers, sur un terrain où l’entretien et le gardiennage seront assurés par le personnel de l’Aéroclub de Tananarive.
Une baleine échouée hier sur les plages de Sambava aurait fait accourir la population riveraine, selon un habitant des environs. La foule se serait précipitée pour charcuter la bête, dont l’état n’a pas été précisé si elle était déjà morte ou encore en vie. Chacun en aurait donc profité pour prendre sa part du mammifère marin, devenue instantanément source de nourriture. Il ne reste plus qu’un squelette décharné sur les photos, diffusées dans les réseaux sociaux quelques instants plus tard, sur lesquelles un attroupement de plusieurs personnes est toujours visible. Cette pratique est devenue une habitude en cette période de reproduction de ces animaux.
Jusqu’alors, le monde ne connait que la saison des baleines de Sainte-Marie à Madagascar. Pourtant ces cétacés sont également présentes au large de la côte de Mahajanga chaque année, à partir du mois d’août jusqu’à la fin du mois d’octobre. Article publié le 02/09/2015
Les représentants du gouvernement, membres de la société civile et responsables de la gestion environnementale et sociale des projets fiancés par la Banque mondiale, ont été informés de l'existence de nouvelles normes environnementales et sociales de l'institution.
La conservation de la biodiversité, ainsi que la restauration des paysages forestiers et des terres dégradées, sont des enjeux de plus en plus importants et attirent l’attention des dirigeants. En effet, le Gouvernement actuel s’est engagé à agir en faveur de ces derniers. C’est dans ce cadre que le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD), conjointement avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO),élabore actuellement un projet portant sur la « Conservation de la biodiversité, restauration et gestion intégrée et durable des bassins versants du Bas Mangoky et Sud Mananara », dans le cadre du FEM7. Selon les explications, cette initiative a été prise en vue d’améliorer les services éco systémiques et les capacités de production des forêts dégradées, des corridors écologiques et des paysages du sud de Madagascar, grâce à la mise en œuvre à grande échelle de la restauration des forêts et des paysages. D’après la FAO, le choix des paysages suscités repose surtout sur l’importance exceptionnelle de leur biodiversité, leur niveau de dégradation alarmant et le fort potentiel de restauration des forêts et des paysages. Hier s’est tenue, en ligne, une réunion de lancement de la phase préparatoire du projet FEM7.
Comme l’on s’y attendait, le concert en live acoustique du chanteur Suisse Bastian Baker, au profit du projet « Anjaranay » est un grand succès. Le projet « Anjaranay » a bénéficié d’un fonds de 3,674 millions d’Ariary, grâce à un concert donné par le chanteur pop Bastian Baker, à l’hôtel Princesse Bora Lodge Sainte Marie, le 3 avril dernier.
L’Hôtel Panorama a abrité ce mardi 20 mars la clôture officielle du projet Managed Resources Protected Area ou Réseau d’Aires Protégées de Ressources Gérées dans le cadre d’un atelier national de partage et de diffusion des connaissances. Le but étant également de permettre aux partenaires en charge de la mise en œuvre, à l’unité chargée de la coordination du projet et aux divers acteurs des aires protégées de vulgariser auprès du grand public les différents changements apportés en matière d’environnement à Madagascar
The island nation of Madagascar has a dubious accolade: it is the world-leader in deforestation. Now, some of the island's teenagers have started a farming revolution - working to stop food production from destroying the island's rich rainforest.
Sur les huit espèces de tortues marines recensées dans le monde, cinq se trouvent à Madagascar. Menacées d’extinction, elles sont inscrites à l’annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) à laquelle la Grande île adhère. Ce statut des tortues marines « en interdit le commerce international des spécimens sauf lorsque l’importation n’est pas faite à des fins commerciales, mais, par exemple, à des fins de recherche scientifique ».
Article paru dans le quotidien l'express de Madagascar du 13/08/2013
La commercialisation et la consommation des tortues marines sont en recrudescence depuis 2009 dans le Sud-Ouest de l’île. Profitant de la défaillance des autorités, trafiquants et commerçants illicites opèrent en toute impunité.
Article paru dans le quotidien l'express de Madagascar du 13/08/2013
Le braconnage des tortues est incontrôlable. Le commerce de cette espèce menacée est interdit, mais leur trafic se poursuit. Quatrte vingt huit ont été interceptés aux Comores, le 25 novembre. La convention sur le commerce internatioinal des espèces de faune et de flore sauvage menacées d'exitenction ou Cites Comores a alerté la Cites Madagascar sur la saisie de ces reptiles.
Les holothuries, appelées également concombres de mer, font partie des espèces qui contribuent au maintien de l’équilibre de l’écosystème marin mais qui peuvent également contribuer à l’amélioration de l’économie du pays. Mais la surexploitation dont ils font l’objet à l’heure actuelle risque d’entraîner leur disparition des eaux la Grande Île à court terme
Les holothuries, appelées également concombres de mer, font partie des espèces qui contribuent au maintien de l’équilibre de l’écosystème marin mais qui peuvent également contribuer à l’amélioration de l’économie du pays. Mais la surexploitation dont ils font l’objet à l’heure actuelle risque d’entraîner leur disparition des eaux la Grande Île à court terme.
C’est une grande première à Madagascar et dans l’histoire de la conservation des espèces endémiques menacées sur le plan mondial : réintroduire dans la nature des individus de grenouilles Mantella aurantiaca élevées en captivité. Une expérience inédite effectuée dans le cadre du programme de conservation de Mantella de la compagnie minière Ambatovy.
Réactualisée régulièrement, la Liste rouge de l’UICN publiée le 10 décembre 2020 fait état de l’extinction officielle d’espèces faunistiques et floristiques touchant en majorité l’Asie et le continent américain. Cette liste à jour indique l'extinction de 31 espèce dont 15 poissons d'eau douce, le requin perdu ou Carcharhinus obsoletus et des amphibiens pour la faune et la famille de protéas et des chênes pour la flore.
Rappelons que dans la dernière édition de la Liste rouge de l’UICN (version 2020.3), sur les 128 918 espèces étudiées, 35 765 sont classées menacées. 40% des amphibiens, 14% des oiseaux, 26% des mammifères, 33% des requins et raies, 33% des coraux constructeurs de récifs et 34% des conifères, sont aujourd’hui menacés d’extinction au niveau mondial.
Mieux nourrir les espèces de lémuriens en voie de disparition à Tsimbazaza ! C’est l’objectif annoncé par la JICA (Agence japonaise de coopération internationale) pour son intervention à Tsimbazaza, samedi dernier
L’importance de la biodiversité est plus qu’évidente aujourd’hui où Madagascar avance un remède fait de plantes médicinales endémiques. Une importance soutenue par le Groupe de la BAD (Banque Africaine de Développement) qui a annoncé l’organisation d’une série de webinaires qui réuniront des ministres, des experts, des analystes, des investisseurs/secteur privé, des partenaires, pour deux journées de discussions en ligne et de partage de connaissances. « Ces discussions seront l’occasion de rassembler et d’inspirer de nouvelles perspectives sur la manière de préserver la biodiversité terrestre et marine, et de l’utiliser à bon escient pour atteindre les Objectifs de développement durable et l’Agenda 2063 de l’Union Africaine », a communiqué la BAD. Le premier webinaire s’est tenu le 5 juin et avait pour thème « Investir dans la biodiversité de l’Afrique pour un avenir résilient et durable ». Le second webinaire, qui s’est tenu hier, portait sur la biodiversité marine et la protection de 30% de la planète bleue d’ici 2023.
Il y a 25 ans, la Convention sur la biodiversité biologique entre en vigueur en vue d’une meilleure conservation de la biodiversité, une utilisation durable de celle-ci et un partage équitable des avantages qu’elle génère.
La célébration, hier à Tanjombato, de la Journée internationale de la biodiversité (JIB) a constitué une occasion pour les parties prenantes à la préservation de l’environnement de renouveler leur engagement pour la poursuite des actions déjà entreprises dans ce sens depuis la signature de la Convention sur la diversité biologique (CDB), il y a 25 ans. Pour cette année, l’accent sera mis sur la sensibilisation de toutes les entités œuvrant dans ce secteur sur les interrelations entre la conservation, la valorisation de la biodiversité et le développement durable inclusif.
Deux espèces de poissons nouvellement découvertes par les scientifiques font l’objet d’une série d’activités de conservation dans le cadre d’un programme spécifique de gestion des poissons endémiques mis en œuvre par Ambatovy.
Le Lemuria Land de Nosy-Be a accueilli, hier, deux lémuriens varis roux ou Varecia rubra, un mâle et une femelle. Cette espèce de lémurien qui ne vit que sur le péninsule de Masoala, à Maroantsetra, est une espèce en danger critique d’extinction.
Biodiversité : La journée mondiale des oiseaux migrateurs (JMOM) est célébrée tous les 10 mai chaque année. A l’initiative du ministère de l’Environnement et de l’Université d’Antananarivo, une cérémonie a été organisée ce jour sur l’esplanade de l’Université pour marquer cette journée. Sur les 283 espèces d’oiseaux identifiées à Madagascar, 72 d’entre elles sont des oiseaux migrateurs.
« Du fait de leur endémicité, les lémuriens permettent la conservation de la biodiversité à Madagascar. Mais ils ont actuellement rejoint la liste des espèces menacées d’extinction ». Un message alarmant de Sahoby Randriamahaleo, responsable auprès du service de la conservation et Biodiversité de la direction des Eaux et Forêts lors de la célébration du festival mondial des lémuriens, troisième édition qui s’est déroulée hier au Parc Biologique et Zoologique de Tsimbazaza.
Plus de la moitié des espèces de caméléon recensées dans le monde, soit une soixantaine, se trouvent à Madagascar. Cet animal étrange, qui fait partie intégrante de la culture populaire, est un des atouts de la biodiversité de la Grande Île et mérite sans doute d’être mieux connu et préservé.
D’après l’édition 2016 du Rapport planète vivante, une analyse scientifique réalisée tous les deux ans par WWF, Madagascar se trouve dans la zone rouge. Le pays risque ainsi de perdre 30% de ses espèces, aussi bien en faune qu’en flore, d’ici la fin de ce 21e siècle. Cela, à cause du rythme d’usage actuel avec lequel la population exploite ses ressources naturelles.
De nouvelles grenouilles miniatures ont été découvertes à Madagascar. On les appelle Mini Mum, Mini Scule et Mini Ature. Oui, ce sont leurs noms officiels. Voici la tribu des Minis !
« Les ressources naturelles garantissent notre vie, et doivent êtres protégées, conservées et gérées correctement« . C’est ce qu’a notamment déclaré la ministre de l’Environnement et du développement durable, Vahinala Baomiavotse Raharinirina, dans son allocution marquant la Journée internationale de la biodiversité, le 22 mai dernier. Une occasion également pour la ministre de rappeler que la Grande île figure parmi les 10 “Hotspots” de la biodiversité mondiale, avec ses énormes richesses caractérisées par l’existence de nombreuses espèces endémiques. En effet, en matière de biodiversité, Madagascar fait partie des plus importants et des plus intéressants, notamment du fait de son fort taux d’endémisme aussi bien sur les espèces animales que végétales. L’île-continent possède environ 15 000 espèces de plantes dont 83% sont endémiques. De plus, 61% des oiseaux, 92% des reptiles, 99% des amphibiens et 100% des lémuriens ne se retrouvent nulle part dans le monde qu’à Madagascar.
Le dugong est un herbivore qui vit principalement près des zones côtières, dans des eaux peu profondes. Il se nourrit principalement d'herbiers marins comme les phanérogames qui forment des prairies sous-marines. Même si les dugongs et les herbiers marins sont des espèces encore mal connues par la majorité de la population, ils contribuent fortement à l’équilibre de l’écosystème marin, mais sont néanmoins menacés Article publié le 09/08/2016
Vendu illicitement par des individus aux bras particulièrement long, les bois, les pierres et mêmes certaines de nos terres seront amenés à disparaître de notre patrimoine.
Il est clair que malgré toutes les ONG nationales et étrangères œuvrant dans le pays, la nature ne fait aucunement partie des priorités des dirigeants. Pourtant, l’écosystème malgache reste l’une des principales raisons pour laquelle les touristes étrangers viennent y séjourner. A part le tourisme sexuel bien entendu. D’après un récent rapport émanant du WWF, lors de la journée mondiale du patrimoine, 90 % des espèces de lémuriens sont actuellement en voie de disparition.
Que restera-t-il à nos descendants si toutes les richesses naturelles du pays ne sont pas préservées. A cette allure, il ne restera plus rien à exporter illicitement, plus rien à vendre sous le manteau et bien évidemment plus rien pour attirer les devises tant chéries.
Le rideau tombé hier, sur la conférence mondiale sur le climat à Katowice rappelle, dans un domaine adjacent, les notes sur lesquelles s’est achevée fin novembre à Sharm-El-Sheikh, la 14è Conférence des parties pour la Convention des Nations Unies sur la Diversité Biologique (CDB COP 14). Au terme de ce rendez-vous mondial tenu en Egypte il y a moins de deux semaines, les parties se sont convenues de jeter les bases d’un processus menant vers un nouvel accord mondial pour la nature post-2020. En effet, à moins de deux ans de l’échéance 2020 pour l’atteinte des objectifs d’Aichi, la planète n’est pas réellement sur la bonne voie de les atteindre, bien au contraire. Les objectifs d’Aichi, rappelons-le, renvoient au plan stratégique mondial pour la diversité biologique pour la période 2011-2020, adopté en 2010 au Japon, et renfermant un cadre d’action pour les dix années de mise en œuvre.
Ce samedi 22 mai, sera célébrée la Journée internationale de la biodiversité. Celle de Madagascar est une richesse précieuse. Malheureusement, une dégradation continue de nos richesses naturelles est constatée à tout instant.
Plusieurs acteurs de l'environnement, dirigés par le Ministère de l'Environnement et du Développement Durable, vont s'unir durant ce mois de mai pour faire comprendre à toute la population que nous pouvons changer les choses, que nous pouvons encore arrêter la perte des espèces naturelles, la dégradation de l'environnement.
Avec trois espèces de chiroptères et 37 de micro-chiroptères, les chauves-souris constituent une richesse naturelle de la biodiversité de Madagascar et particulièrement de la région nord que la méconnaissance et l’exploitation pour la table mettent en danger au risque de les voir disparaître
Article paru dans la tribune de Diego le 04/09/2013
La Grande Île ne disposerait plus que de cinq ans pour sauver sa richesse naturelle d’après les scientifiques réunis lors de l’ATBC 2019 au CCI Ivato. Les cinq prochaines années seraient décisives si l’on s’en tient à la pétition publiée suite à la clôture de la 56e réunion annuelle de l’Association pour la biologie et la conservation tropicale (ATBC)
Les lémuriens, espèces qui n’existent qu’à Madagascar, sont en danger. Ils représentent Madagascar partout dans le monde, ils jouent un rôle dans la régénération des forêts, ils attirent les touristes et ont leur contribution dans l’économie du pays. Pourtant dans de nombreuses régions de Madagascar, les lémuriens sont chassés malgré les tabous et les textes en vigueur, leurs habitats sont détruits
Dans le nord de Madagascar se trouvent trois espèces de primates les plus menacées, proches de l’extinction. Parmi ces espèces, le lémurien nocturne Lepilemur septentrionalis de Sahafary, quelques individus ont été découverts récemment dans la montagne des Français. Varecia rubra (vari roux) et Propithecus perrieri (akomba jôby) sont également menacées.
Surtout menacés par les nuisances qui perturbent leur habitat, entre autres, le tourisme, la pollution, l’urbanisation des côtes ainsi que le trafic maritime en forte augmentation, les dugongs sont en voie de disparaître partout dans le monde
Vu la manifeste dégradation de l’environnement, la région Boeny,, elle a pris l’initiative, par l’intermédiaire de ses dirigeants hiérarchiques administratifs et techniques, de projeter un plan d’action pour y faire face. Le plan régional sur l’Énergie Biomasse a été donc conçu à cet effet.
L’île de Sainte Marie, région Analanjirofo, sera, une fois de plus, au cœur de la préoccupation des chercheurs cette année. Après les travaux d’archéologie-sous marine effectuée par des chercheurs américains, une cinquantaine de scientifiques spécialistes de Cétacés notamment de baleine à bosse y vont se réunir du 29 juin au 3 juillet Publié le 9/6/2015
Des scientifiques ont mené des recherches sur des centaines de spécimens d’araignées de Madagascar. A l’issue de celles-ci, ils ont découvert de nouvelles espèces d’araignées tueuses. Une étude publiée jeudi dernier dans la revue ZooKeys, montre en effet l’existence de 26 espèces d’araignée pélican à Madagascar dont 18 sont nouvelles. Ces spécimens ont pour principale caractéristique d’être cannibale et de se nourrir d’autres araignées.
Des données en ligne sur les lémuriens identifiés à Madagascar sont désormais accessibles sur le site web : http://www.atlaslemursmadagascar.net. Publié le mercredi 11 février 2015
Considéré comme un sanctuaire de la Nature, Madagascar figure parmi les pays les plus riches en biodiversité. Mieux encore, le taux d’endémicité tant au niveau de la faune que la flore est très élevé et peut aller jusqu’à plus de 85%. Pourtant, les différents régimes qui se sont succédés à Madagascar n’ont pas pu conserver comme il faut ces richesses naturelles qui auraient pu contribuer au développement du pays, du moins dans l’écotourisme
Afin de mieux responsabiilser les communautés locales dans la gestion des ressources naturelles, la direction interrégionale de l'Environnement et de l'écologie (Diredd) de Boeny - Betsiboka, a renouvelé le contrat de transfert de gestion de 3 205 ha de mangroves à cing membres du Vonfon'olona Ifotony (VOI) dans la commune rurale de Boanamary, dans le district de Mahajanga 2.
La 4ème édition des oiseaux " Sterna begalenris " a démarré avant-hier apr-s-midi à l"Office régional du Tourisme Boeny (ORTB).
Cette activité entre dans le cadre de la promotion du tourisme dans la Nouvella aire protégée dans la Région Boeny par ses gestionnaires, ainsi que l'ORTB, tous les ans, l'Asity Madagascar, gestionnaire de la Nouvelle Aire Protégée Complexe des zones huhmides Mahavavy Kinkony (NAP CMK)
Le comité régional de la gestion intégrée de la zone côtière du Boeny (GIZC) a été mis en place officiellement, le mercredi 10 août dernier, à la Chambre de Commerce et d’industrie de Mahajanga. Auparavant, un atelier organisé pour les acteurs environnementaux de la région s’est tenu du 8 au 10 août, en vue de former ses membres sur les procédures à suivre dans la gestion durable des ressources halieutiques et de la zone côtière. Et pour faire face au changement climatique qui ne cesse de s’aggraver de jour en jour.
Au début de cette semaine, le ministre de l'Environnement et du développement durable (MEDD), Alexandre Georget a dressé un état des lieux du stock des bois de rose, saisis dans le parc national Masoala.
« La politique de gestion des bois précieux est caractérisée par un décalage entre les décisions de gestion (c’est-à-dire des déclarations politiques et des engagements internationaux) et leur mise en œuvre sur le terrain », tel est entre autres la constatation du TRAFFIC (Réseau de surveillance du commerce des espèces sauvages). « Une combinaison de l’instabilité politique, de la mauvaise gestion gouvernementale, d’un manque de contrôle des opérations forestières et d’une incapacité à imposer des sanctions punitives à l’encontre de trafiquants bien connus, contribue à ce qu’a effectivement été un zéro contrôle de la gestion des ressources de bois précieux à Madagascar entre mars 2010 et mars 2015, selon une nouvelle étude de TRAFFIC qui vient d’être publiée Article paru le 16 février 2017
Le BIANCO a saisi le Pôle Anti-Corruption après ses investigations pour la suite du traitement du dossier.
Ces derniers temps, le Bianco ne chôme pas. A cet effet, il avait été saisi d’une doléance anonyme dénonçant des faits soupçonnés de corruption, de trafic illicite de bois de rose, et de blanchiment de capitaux perpétrés depuis 2014 par un trafiquant de Bois de rose bien connu et qui est en prison depuis quelques mois. Les enquêtes effectuées et les renseignements recueillis par le BIANCO ont pu mettre en exergue des faits suspectés de blanchiment de capitaux d’une valeur de plusieurs centaines de millions d’Ariary provenant d’exportations illicites de bois de rose contre le tristement célèbre trafiquant et deux de ses complices. Le blanchiment de capitaux étant une infraction assimilée à la corruption à part entière, le BIANCO a saisi le PAC après ses investigations pour la suite du traitement du dossier.
La Banque Mondiale et l’Union Européenne ont manifesté leur soutien au ministère de l’Environnement pour mettre en œuvre son plan d’assainissement de la filière bois de rose et bois d’ébène
Article paru dans le quotidien "Midi Madagasikara" en date du 18/07/2014
L’histoire de l’exportation « autorisée » de bois de rose au Singapour a failli mettre la Grande île sous embargo de la Conférence des parties à la Convention sur le commerce international d’espèces de faune et de flore menacées d’extinction (Cites). Cet organe, après les promesses faites par la Grande île, vient de prendre sa décision sur le cas de Madagascar et le menace d’embargo. Il en résulte que le pays ne va pas subir de sanction et pourra ainsi continuer de faire du commerce de ses espèces sauvages qui constitue la principale source de revenus de plusieurs ménages malgaches.
Les opérateurs économiques dans la SAVA vivent mal la crise sanitaire. La fermeture de la région ne fait qu'empirer la situation. Ceux opérant dans la filière bois réclament particulièrement une revalorisation des stocks dans la SAVA et l'Analanjirofo
L’affaire sur l’exportation illicite de 30 000 rondins de bois de rose venant de Madagascar et ont été saisies à Singapour en 2014, passera devant la justice de ce pays ce vendredi. L’Alliance Voahary Gasy témoignera à ce procès, a-t-on appris de source auprès de cette plateforme des organisations de société civile oeuvrant pour l’environnement. Cette entité a déjà envoyé, il y a un mois, tous les documents contenant ses doléances et les preuves que c’était une exportation illégale Article paru le 3 août 2016
Bien protégés ou prêts à mourir ? Les trafiquants de bois de rose tournent autour de leur proie. Des nouvelles coupes de la forêt inquiètent les gestionnaires des parcs.
Des voitures remplies de produits de première nécessité à destination des parcs, des groupes de personnes non identifiées ainsi que de multiples allées et venues de motos transportant des chambres à air pour faciliter l’embarcation des rondins de bois de rose
Assouplissement des mesures de restriction. C'estdans cette optique qu'une délégation composée par des responsables du ministère de l'Environnement a décollé hier pour Genève afin de plaider la cause des exploitants de bois précieux auprès de la convention sur le commerce international des espèces de flore et faune sauvage menacées d'extinction (CITES)
Lors de la dernière emission dominicale "Savaravina", le Directeur Général du Madagascar National Parks (MNP) Dr Mamy Rakotoarijaona a insisté sur le concept "de la culture de la conservation" de nos richesses naturelles, évoquant la gestion des Aires protégées en cette période de pandémie de Covid-19. MNP est en effet l'organisme sous tutelle du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable qui gère 43 aires protégées
La compagnie minière d’Ambatovy met gratuitement à la disposition de la fédération Fimiam (Fédération des entités formelles Ampitambe) les bois usagés de sa mine à Moramanga. Par souci de conservation de la nature et pour maximiser les retombées positives de ses activités sur les communautés riveraines, la Fimiam recyclera ces bois de manière professionnelle et écologiquement responsable. Article publié le 01/05/2017
Pourquoi faut-il remettre en cause les connaissances sur les provenances de Bois-Energie en Eucalyptus? Conséquences sur la durabilité des plantations à Madagascar.
Les besoins en charbon de la population de la DIANA avoisinent les 30 000 tonnes par an, ce qui représente des centaines de milliers d’arbres abattus chaque année. Pour la préservation des ressources naturelles et surtout de la forêt, d’autres alternatives sont à envisager tout en prenant en considération la situation financière des ménages
Un homme ayant abattu la semaine dernière un Eulemur fulvus collaris, a été pris en flagrant délit à Betsikoboka, dans la forêt d'Ankarabolava, Fokontany Tavivola, Commune rurale de Matanga, District de Vangaindrano. Le chasseur, muni d'un fusil, a été appréhendé et remis entre les mains des forces de l'ordre et son cas est référé au tribunal de Vangaindrano. Contre toute attente, le présumé braconnier a bénéficié d'une liberté provisoire
Comme chaque année, la Star a organisé une journée de reboisement. Pour cette fois, 1000 plants ont été mis en terre et environ 3000 d’arbustes ont été entretenus, durant la campagne qui s’est tenue le 18 février dernier à Andranovelona
Un caméléon qui tient sur une tête d'allumette ! C'est Brookesia micra, qui vient d'être découvert à Madagascar. Trois autres espèces, également minuscules, ont été trouvées à l'extrême nord de l'île. Une taille que l'on doit au phénomène de nanisme insulaire.
Revaloriser les espèces de gecko et de caméléons chez les communautés locales, abusées par certains opérateurs économiques. Tel est l’objectif des guides d’identification de ces reptiles.
Valeurs économique et écologique méconnues. Alors que les opérateurs économiques vendent un gecko à queue plate, « tanapisaka », et un caméléon, « tanalahy », entre 20, soit 65 780 ariary, et 50 dollars, soit 164 450 ariary l’unité sur le marché international légal, le prix de la collecte auprès des communautés locales lèse les habitants Paru le 07/11/2015
Une quarantaine de techniciens issus de divers secteurs et des doctorants malgaches et comoriens bénéficient actuellement d’une formation certifiante sur la comptabilisation du capital naturel. Une initiative qui entre dans le cadre de l’objectif d’Aichi 2 qui projette l’intégration de la biodiversité dans les comptes nationaux.
PAGE/GIZ a été le partenaire de tous les reboisements qui ont été effectués dans la région Atsimo Andrefana depuis juin 2015. Dimanche dernier à Sakaraha, sur la RN7 à 110 kms de Tuléar, PAGE/GIZ s’est distingué en assurant un service de logistique et de sonorisation sans faille durant le reboisement. Prévu durer cinq ans, le projet touche à sa fin en juin 2020. Les communes bénéficiaires espèrent une suite favorable et remercient déjà le peuple allemand. Comme son nom l’indique, PAGE appuie avant tout les communes et communautés locales à bien gérer leur environnement. C’est ainsi que quinze communes rurales de l’Atsimo Andrefana ont bénéficié de schémas d’aménagements des communes (SAC), pour une durée de quinze ans, qui leur serviront de cadre de référence pour les grandes orientations présentes et futures de leur développement. Il serviront également pour l’aménagement et la valorisation du potentiel économique et environnemental de leurs territoires. Même si PAGE/GIZ ne peut les accompagner au-delà de juin, les responsables des communes pensent que les SAC ont été élaborés de telle sorte qu’ils puissent gérer eux-mêmes la suite, sans discréditer leur partenaire PAGE/GIZ.
Quatorze États. C’est le nombre de pays ayant signé hier la Déclaration « Because the Ocean », à la 21e Conférence des parties à la Convention des Nations Unies sur le changement climatique. La Grande île, avec ses 5 600 kms de côtes, fait partie des signataires de cette Déclaration initiée par le Prince Albert de Monaco. Article publié le 05/12/2015
Le fokontany de Firarazana, Tampoketsa, accueillera ce dimanche 19 janvier l’ouverture de la campagne de reboisement annoncée pour être la plus vaste mobilisation en faveur de l’environnement jamais organisée dans le pays. Cette grande campagne nationale est ainsi une démarche à laquelle tout citoyen est incité à adhérer, ainsi que toutes les entreprises, associations, institutions, sociétés civiles, ONG etc. Tous peuvent récupérer gratuitement auprès du ministère de l’Environnement et du Développement Durable, ou de ses directions régionales, les jeunes plants à utiliser dans le cadre de cette campagne de reboisement. Quelque 60 millions de plants sont alors prévus être mis en terre.
Plus de 10 000 jeunes plants vendus lors du lancement les 24 et 25 novembre dernier, d’une campagne de reboisement et de lutte contre la déforestation dans la ville de Toliara. La campagne est considérée comme encourageante dans la mesure où les jeunes plants n’ont pas été donnés mais vendus à des prix certainement symboliques de 200Ar à 300Ar.
Les caméléons sont des animaux fascinants, célèbres aussi bien pour leur adaptation à leur environnement que pour leurs comportements étranges. Ils ont la capacité de changer de couleur, soit en fonction du milieu environnant soit pour refléter leur humeur. Ils peuvent mouvoir ses yeux indépendamment l’un de l’autre ce qui leur permet de regarder dans deux directions à la fois. Enfin, ils capturent leur proie en projetant leur langue qui peut atteindre la moitié de la longueur de leur corps.
L'origine de l'hécatombe des poissons d'eau douce dans le canal des Pangalanes à Toamasina, il y a quelques jours, n'est pas encore identifiée. Le projet Ambatovy se charge maintenant d'analyser les eaux dans son laboratoire
Article paru dans le quotidien Midi Madagasikara en date du 11/09/2013
Le projet Biodiversité de la COI aide Madagascar et les Comores à définir leur feuille de route d’ici à 2020 afin de comptabiliser leur capital naturel. Paru le 11 décembre 2015
Comme protégé des regards par la brume, à Madagascar se cache un des parcs les plus mystérieux au monde : 16 000 km de forêt tropicale. Un écrin ou s'épanouissent des espèces que vous ne verrez nulle part ailleurs. Pour les observer, il faut suivre leurs cris. C'est grâce à ces chants que communiquent les habitants très particuliers de cette forêt, il faut des heures de marche pour espérer les apercevoir.
Dans l'impasse. Madagascar subit les conséquences du changement climatique qui ne cesse de s'intensifer. Le retard des précipitations, leur courte durée, ou les tornades en sont déjà des signes.
Le Cellule de prévention et de gestion des urgences de la Primature organise à Mahajanga, un atelier pour donner une base solide aux acteurs clés sur la résilience climatique.
Une seconde réunion du Comité National sur le Changement Climatique, après celle de janvier 2019, a été organisée vendredi dernier. Une initiative qui entre dans le cadre de l’élaboration des documents de politique, de stratégie et de plans en matière de changement climatique tels que la Politique Nationale d’Adaptation ou encore le Plan National de Lutte Contre le Changement Climatique. Initiée en partenariat avec la PAGE/GIZ, la réunion qui s’est tenue le 12 avril dernier était l’occasion pour les participants de discuter des principaux résultats issus des concertations interrégionales. L’évènement était également l’opportunité pour les membres du comité et des partenaires de présenter et définir les résultats des concertations via les recommandations issus des membres du CNCC sur les contenus des deux documents. Il conviendrait que le Comité National sur le Changement Climatique a été mis en place en 2014 par le décret n°2014-1588. Composé de membres issus de différents secteurs, et présidé par le Secrétaire général auprès du ministère de l’Environnement et du développement durable, le Comité en question s’est vu attribuer diverses responsabilités. Entre autres, proposer toutes actions et mesures susceptibles d’améliorer la mise en œuvre de la politique nationale de lutte contre le changement climatique. Aussi, le comité valide techniquement les documents relatifs au changement climatique à soumettre au Secrétariat de la Convention Cadre des Nations-Unies sur le Changement Climatique.
Des initiatives d’adaptation et de résilience face aux effets du changement climatique n’attendent que d’être mises en œuvre.
Les projections climatiques présentées à Antaninarenina avant hier interpellent sur les éventuels risques encourus par les Malgaches dans les années à venir. Lesdites projections – se résumant à une hausse de la température et à une baisse des précipitations – conscientisent également que le secteur de l’agriculture, dont vivent la majorité des malgaches, serait fortement impacté. Face à cela, des efforts de recherche et d’innovation ont été menés par les techniciens d’organisme tel que la FOFIFA pour permettre une meilleure résilience des Malgaches. Des produits comme les semences à cycle court, l’agriculture smart n’en sont que quelques exemples. Interviewé sur la question, le secrétaire exécutif (SE) de la Cellule de Prévention des Urgences (CPGU), le général de Brigade aérienne Mamy Nirina Razakanaivo note qu’en « plus des produits de recherche et des recherches elles-mêmes, il serait temps que les Malgaches se tournent vers des mesures tendant à stocker les eaux de pluies. Des initiatives ont été prises dans ce sens. Il faut juste les renforcer« . Avant de citer l’exemple de « l’utilisation de barrage de rétention d’eau ou d’appluvium » qui devrait être appliquée dans toutes les régions du pays et non uniquement dans le Sud.
Les écosystèmes marins du Nord de la Grande Ile subissent de plein fouet les effets dévastateurs du changement climatique.
Précisons dès le début que les impacts négatifs du changement climatique ne sont pas l’apanage de la partie septentrionale de l’île. Tous les écosystèmes de Madagascar sont concernés, et ce, qu’ils soient marins, forestiers, lacustres, ou encore littoraux. Nous allons prendre ici le cas de la région de DIANA (Diégo, Ambilobe, Nosy-Be, Ambanja), pour la simple raison que de nouvelles informations sont actuellement disponibles sur la région. D’autant plus que pour cette région, les enjeux économiques de la préservation de la biodiversité marine par rapport aux effets du changement climatique sont énormes. DIANA est un « hot spot » de l’économie bleue, tout en abritant la destination touristique n°1 (l’Ile aux Parfums) : numéro 1 pour le commerce et l’exportation de thon rouge – un produit savoureux et luxueux, Ô combien prisé sur la scène internationale -, région de concentration des premiers producteurs/exportateurs de l’or rose, du crabe serrata, etc.
La santé, l’éducation, l’environnement, le transport, quelques secteurs qui prennent déjà en compte le changement climatique dans leurs activités annuelles.
La population de Madagascar, constamment exposée aux catastrophes climatiques, n’en connaît pas toujours les causes alors qu’elle en subit directement les conséquences.
Un village dans le district de Maroantsetra risque d’être submergé par la mer. Tous les processus sont déjà en cours pour le déplacement des villageois dans un endroit beaucoup plus sécurisé.
La Banque africaine de développement (BAD), le Fonds pour l’adaptation (AF) et le Fonds vert pour le climat (GCF) convoquent la première réunion sur l’accès direct au financement pour le climat. Plus de 30 entités d’exécution sont réunies à Durban pour élaborer une stratégie et un plan d’action. Pour accélérer et améliorer l’accès direct au financement climatique pour les pays en développement vulnérables au changement climatique, l’AF, le GCF, la BAD et l’Institut national sud-africain de la biodiversité (SANBI) unissent leurs efforts pour faciliter la réunion de plus de 30 entités de mise en œuvre accréditées à Durban, en Afrique du Sud. La réunion, qui s’est tenu du 5 au 7 juin, visait à promouvoir une communauté de pratiques communes pour les entités à accès direct (CPDAE) en adoptant un cadre de gouvernance, et en élaborant une feuille de route des activités visant à renforcer la capacité des membres de la communauté à : accéder efficacement, recevoir et utiliser le financement de projet d’accès direct de AF et de GCF.
Ikopa est en voie d’assèchement au niveau d’ Anosizato et d’ Ampasika. Des déblais de cailloux et de la boue occupent actuellement une grande partie du lit de cette rivière.
Madagascar se joint aux pays approuvant l’accord de Paris sur le climat. Le 21 septembre, Madagascar ainsi que trente autres pays ont remis officiellement leurs instruments de ratification de l’accord de Paris, en marge de l’Assemblée nationale des Nations Unies à New York. À cette date, soixante pays ont approuvé cet accord, dont la Chine et les États-Unis, les deux grands émetteurs de gaz à effet de serre. Cet accord prévoit de contenir le réchauffement climatique bien en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels.
L’organisation des Nations unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO) a présenté avant-hier une stratégie de résilience de l’agriculture et de la sécurité alimentaire pour Madagascar, des domaines actuellement affectés par le changement climatique. La stratégie résulte d’un long processus de travail avec les partenaires du développement agricole et de la lutte contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition dans le pays.
Le cyclone intense Enawo est parti depuis un mois, et pareil pour les autorités qui ont prêté main forte aux sinistrés. Mais qu’en est-il de la stratégie de relèvement post-cyclonique ou post-cataclysmes naturels ? Le pays a élaboré la stratégie nationale de gestion des risques et des catastrophes pour la période allant de 2016 à 2020.
Cyclones de plus en plus intenses, perturbation de la saison des pluies, calendrier cultural bouleversé… À Madagascar, la population subit déjà les impacts du changement climatique. D’après le rapport mondial de WWF publié en mars dernier et intitulé « la nature face au choc climatique », le cas de la Grande Île est alarmant : 25 % des espèces ( mammifères, oiseaux, plantes ) pourraient disparaître en cas d’augmentation de 2 degrés. Or de récentes projections tablent sur une augmentation de 2,6 degrés d’ici à 2055. Un désastre pour la biodiversité du pays, endémique à plus de 80 %. Les lémuriens, animaux emblématiques de l’île, sont directement concernés. ONG et associations tentent de trouver des solutions pour réduire les impacts. Sarah Tétaud s’est rendue dans le nord du pays, dans le parc national de Marojejy classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une aire protégée d’ores et déjà considérée par les scientifiques comme un refuge climatique pour ces primates.
L’un des plus vieux des arbres arbres d’Afrique, le baobab (Adansonia digitata), est menacé selon une étude publiée cette semaine. Cet arbre trouvé en Afrique Australe aurait une histoire similaire dans plusieurs cultures à propos de sa première apparition. L’arbre a une apparence distinguée, des branches légères en haut d’un énorme tronc et deux fois plus gros étant donné que de l’arbre est élancé.
D'après les grands experts, la réchauffement du système climatique est sans équivoque. Experts qui prédisent une hausse moyenne de + 6°C de la température en 2100.
Les forêts de mangroves malgaches sont actuellement menacées de disparition.
Conséquences des activités directes et indirectes de l’homme, les effets des changements climatiques nuisent grandement aux quelques hectares de forêts de mangrove que comptent la Grande Île.
L’adaptation des vies de la population constitue l’un des meilleurs moyens mis à disposition pour faire face aux effets des changements climatiques. Ces derniers touchent, en effet, aussi bien les zones côtières que les hautes terres. Une situation qui a pu permettre la mise en place de différentes mesures telles que le Projet d’Adaptation de la gestion des Zones Côtières ou PAZC. Article paru le 17/02/2017
Le sac de charbon de bois coûte environ 20.000 ariary chez le détaillant, mais ce combustible domestique le plus utilisé par les ménages malgaches a commencé une flambée silencieuse depuis les épisodes successifs d’intempéries ces dernières semaines.
Chasse illicite de lémuriens à Madagascar
Article sur la chasse illicite de lémuriens à Madagascar disponible sur le siteweb de notre planete-info en date du 20/08/09
http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2061_chasse_illicite_lemuriens_Madagascar.php
A new dwarf lemur species has been discovered in the dry and transitional forests of northern Madagascar, according to a paper published in the latest issue of the journal Primate Conservation.
Alerte. Les chenilles légionnaires d’automne dévorent les cultures de maïs, d’arachide et de lojy des communes du Sud-Ouest de Madagascar. Analamisampo, Antanimieva, Soahazo, Milenaka ou encore Ankililaoka sont envahies par ces insectes de l’espèce des lépidoptères ou papillons, pouvant parcourir cent kilomètres en une nuit. Les chenilles pondent sur les larves et anéantissent les feuilles et les graines. Les paysans agriculteurs sont découragés et ne savent plus où donner de la tête.
Madagascar accueillera les 10 et 11 novembre 2016 le symposium scientifique international « Chimie verte ». Cet évènement qui s’adresse aux chimistes, biochimistes, biologistes faisant de la recherche scientifique et industrielle, vise à promouvoir la chimie écologique, l’écologie durable et le développement durable dans l’océan Indien.
« Les enfants ont été très attentifs ! Ils ont posé beaucoup de questions sur la mangrove de Sainte-Marie, les baleines et les tortues. Grâce aux dessins animés et films projetés, nous avions de bons supports pour y répondre ! »
Dans un contexte où le transfert de gestion des ressources naturelles aux communautés, bien qu’incontournable, fait l’objet de nombreuses critiques, les acteurs du TGRNR se sont investis conjointement dans une démarche de suivi-évaluation des impacts écologiques, socio-économiques et institutionnels des transferts de gestion. Sur ces sites, appuyés par le projet COGESFOR, l’administration forestière, les communautés de base, les communes, les fokontany, les opérateurs d’appui et les scientifiques disposent désormais d’une vision partagée de la contribution effective du transfert de la gestion au développement durable des zones concernées
Ce colloque est le second et dernier volet du programme "Géopolitique et environnement" qui s'est réuni à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD) à Orléans en Décembre 2009
Ce colloque est le second et dernier volet du programme "Géopolitique et environnement" qui s'est réuni à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD) à Orléans en Décembre 2009
Un Colloque international sur le thème "Biodiversité et populations dans le contexte du changement climatique"sera organisé par ESSA-Forets et ses partenaires en décembre 2013.
Un Colloque international sur le thème "Biodiversité et populations dans le contexte du changement climatique"sera organisé par ESSA-Forets et ses partenaires en décembre 2013.
Dans l'optique de la Gestion et Valorisation des vers à soie de Madagascar, le Département des Eaux et Forêts de l'Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques (ESSA) d'Antananarivo, en collaboration avec l'Université de Liège et de Gembloux Agro Bio-Tech, par le biais du projet GEVABO, organise un colloque intitulé "Les vers à soie malgaches, enjeux écologiques et socio-économiques"
Ce colloque fournira des informations sur l'état actuel des vers à soie, de la forêt de Tapia et la relation tripartite entre les vers à soie, la forêt de Tapia et les hommes
"Capitalisation des acquis, identification des lacunes dans leurs connaissances actuelles et des besoins pour leur évaluation et leur gestion" Lieu : Université Antananarivo, Madagascar Date : 09 et 10 octobre 2013 Porteur : Faculté des Sciences, Université d'Antananarivo, Madagascar Comité d'organisation : Département de Biologie et Ecologie Végétales (DBEV), Département de Biologie Animale (DBA) de la Faculté des Sciences d'Antananarivo ; Les chercheurs de Missouri Botanical Garden (MBG Madagascar) ; Service d'Appui à la Gestion de l'Environnement (SAGE) ; Silo National des Graines Forestières (SNGF) Partenaires financiers : QMM, CIRAD / DP Forêt Biodiversité ; AUF ; MNHN ; DCBSAP ; Association RENIALA
Pour maîtriser la technique la plus durable pour la production de charbon de bois, 210 charbonniers de la baie d’Ambaro (nord-ouest de Madagascar) ont suivi une formation de deux semaines organisée par GIZ-Eco et le WWF.
« Pas à vendre ». Les espèces classées à la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) sur les sites du Patrimoine mondial ne doivent en aucun cas faire l’objet de commerce, encore moins illicite, et il urge de mettre un coup d’arrêt à ce phénomène, interpelle le WWF dans son rapport « Mettre un terme au commerce illégal des espèces classées à la CITES sur les sites du patrimoine mondial ». Dans ce rapport international, le cas alarmant des forêts humides de l’Atsinanana, à Madagascar, est particulièrement mis en exergue. L’exploitation illicite met sérieusement en péril ce site.
Le Secrétariat de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) recommande l’embargo de toutes les espèces de Madagascar inscrites dans les annexes I, II et III de la CITES, compte tenu de l’insuffisance des efforts déployés par les autorités malgaches dans la lutte contre le commerce illicite des bois précieux. Article publié le 11/08/2016
A l’échelon communal, la commune rurale d’Antoetra-Zafimaniry dans le district d’Ambositra, a tenu deux jours durant, du 20 au 21 mars dernier, à marquer la journée mondiale de l’environnement à travers sa campagne de reboisement. Une occasion également pour cette commune, de mettre en exergue le partenariat public et privé exemplaire pour la sauvegarde du patrimoine forestier Zafimaniry.
La célébration de la 20e année d’existence du Site Bioculturel d’Antrema s’est tenue le samedi 31 octobre dernier à Antrema. L’Ambassadeur de France à Madagascar, le Gouverneur et Préfet de la Région Boeny, le député de Mitsinjo, le Chef de District, la DIREDD, la Direction des Aires Protégées en tant que tutelle de l’aire protégée, la DRAEP Boeny, ainsi que les Ampanjaka de la Région ont honoré cet événement de leur présence, aux côtés de la représentante du MNHN et de l’IRD à Madagascar et de toute l’équipe du MNHN. La FAPBM qui soutient Antrema depuis 2015 et la GIZ qui appuie de nombreuses activités génératrices de revenus depuis 2017 étaient également sur place.
L’amélioration de la gouvernance serait l’une des premières causes de cette initiative de révision du décret portant sur la Mise en Compatibilité des Investissements avec l’Environnement (MECIE).
The Rio Tinto-owned QMM mine in southeast Madagascar could be polluting water sources in the region with radioactive contaminants, activists say - Elevated background levels of radioactive uranium and thorium, and lead in water bodies near the mine, are most likely a result of mining activity, according to new analysis released by the Andrew Lees Trust UK - The company has refuted claims that it is responsible for high radiation levels in the environment, attributing them instead to the natural sources of radioactivity in the area - The lack of agreement about the existence and nature of the contamination means there is no clarity about remedial measures and who is responsible for providing safe drinking water to about 15,000 local people whose water sources could have been compromised.
Le premier lauréat du concours de photographie sur l'environnement, organisé par le Centre des études diplomatiques et stratégiques (CEDS) est Ernest Rarivoarison. La remise des lots s'est déroulée hier au Tchiken'Art Akorondrano.
Dans le cadre de la célébration des journées informatives sur les Actions de lutte contre les Changements Climatiques, le Bureau National de Coordination des Changements Climatiques organise un concours ouvert au public et aux étudiants sur cette thématique, pour ce mois de juin.
Le Congrès International sur les Prosimiens aura lieu à partir du 5 au 9 août au Centre complexe de recherche ValBio dans la ville de Ranomafana, Madagascar où est localisé le Parc National de Ranomafana, un hotspot pour l'étude des lémuriens dans le Sud Est de Madagascar. Unissant plus de 150 chercheurs primatologues et des prosimiens dans le monde, et les étudiants pour un événement épopée de cinq jours, avec des présentations, des colloques, des conférenciers, des ateliers et des visites sur le terrain.
Le Congrès International sur les Prosimiens aura lieu à partir du 5 au 9 août au Centre complexe de recherche ValBio dans la ville de Ranomafana, Madagascar où est localisé le Parc National de Ranomafana, un hotspot pour l'étude des lémuriens dans le Sud Est de Madagascar. Unissant plus de 150 chercheurs primatologues et des prosimiens dans le monde, et les étudiants pour un événement épopée de cinq jours, avec des présentations, des colloques, des conférenciers, des ateliers et des visites sur le terrain.
Le Congrès International sur les Prosimiens aura lieu à partir du 5 au 9 août au Centre complexe de recherche ValBio dans la ville de Ranomafana, Madagascar où est localisé le Parc National de Ranomafana, un hotspot pour l'étude des lémuriens dans le Sud Est de Madagascar. Unissant plus de 150 chercheurs primatologues et des prosimiens dans le monde, et les étudiants pour un événement épopée de cinq jours, avec des présentations, des colloques, des conférenciers, des ateliers et des visites sur le terrain.
Sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable, en co-organisation de l'ONG Madagasikara Voakajy et en partenariat avec le CIRAD, le premier congrès sur les baobabs de Madagascar réunirat les étudiants et les chercheurs et les opérateurs économiques et touristiques mais aussi les gestionnaires de la biodiversité et acteurs de la conservation oeuvrant dans le domaine de la conservation et de la commercialisation durable des baobabs
Thème : Conservation des baobabs pour un levier de développement économique durable
Sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable, en co-organisation de l'ONG Madagasikara Voakajy et en partenariat avec le CIRAD, le premier congrès sur les baobabs de Madagascar réunirat les étudiants et les chercheurs et les opérateurs économiques et touristiques mais aussi les gestionnaires de la biodiversité et acteurs de la conservation oeuvrant dans le domaine de la conservation et de la commercialisation durable des baobabs
Thème : Conservation des baobabs pour un levier de développement économique durable
Sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et du Développement Durable, en co-organisation de l'ONG Madagasikara Voakajy et en partenariat avec le CIRAD, le premier congrès sur les baobabs de Madagascar réunirat les étudiants et les chercheurs et les opérateurs économiques et touristiques mais aussi les gestionnaires de la biodiversité et acteurs de la conservation oeuvrant dans le domaine de la conservation et de la commercialisation durable des baobabs
Thème : Conservation des baobabs pour un levier de développement économique durable
Les faune et flore marines malgaches dissimulent des ressources considérables et remarquables. Nosy Hara dans le Nord de l'île abrite une richesse, menacée par différentes pressions.
Action de conservation renforcée. L'organisation Conservation centrée sur la communauté (C3) Madagascar mène depuis 2009 plusieurs projets relatifs à la gestion environnementale dans le Nord. Elle intervient principalement dans le parc national Nosy Hara, une aire protégée marine située à 37 kilomètres au sud-ouest d'Antsiranana, dans la région Diana. Le parc s'étend sur une superficie de 125 471Ha.
Situé dans la Région Boeny, District de Soalala, le Parc National Baie de Baly fait partie du réseau des Aires Protégées gérées par Madagascar National Parks. Avec une superficie de 57 142ha, il abrite une biodiversité exceptionnelle. Le Parc National Baie de Baly est l’unique site dans le monde qui abrite l’espèce de tortue Astrochelys yniphora (Angonoka ou tortue à soc) car il a été spécifiquement créé pour la sauvegarder. Son aire de répartition dans le parc est limitée à une surface totale d’environ 14 500 hectares. Vulnérable à cause d’un taux de mortalité juvénile élevé et d’une croissance lente exigeant une période d’une vingtaine d’années pour parvenir à sa maturité sexuelle, son endémicité et sa rareté lui confèrent une grande valeur sur le marché noir international d’animaux protégés.
Le modèle : « gouvernance du paysage forestier épineux de l’Atsimo-Andrefana »
L’implication des communautés locales dans la politique de conservation et de gestion des ressources naturelles permet une meilleure sensibilisation sur l’importance de la conservation et les bénéfices à en tirer.
Clôturée le samedi 3 août dernier, la 56e réunion annuelle de l’Association pour la biologie et la conservation tropicale (ATBC) interpelle le Président de la République Andry Rajoelina, sur les mesures d’urgences devant être prises pour conserver les richesses naturelles du pays.
Les documents relatifs à l’éventuelle déclaration d’Ivato, suite à la 56eme réunion annuelle de l’association internationale pour la conservation de la biodiversité tropicale (ATBC) est actuellement en attente d’officialisation
Les feux de prairie ou de brousses font des ravages dans les régions du pays. Une meilleure gestion des phénomènes devrait permettre de renforcer la conservation des ressources naturelles.
Les actions pour l’opérationnalisation et le développement du système de planification, de suivi et évaluation des mesures de conservation se poursuivent.
Herizo Andrianandrasana a été récompensé et félicité par le Duc de Cambridge, le Prince William, à Londres le 25 novembre 2014. Il lui a été décerné le prix « Tusk Conservation Awards » 2014 pour son travail de longue date avec le « Durrell Wildlife Conservation Trust » visant à impliquer les populations autochtones dans la préservation de l’environnement et la défense des espèces menacées de l’île
Mettre en place une journée nationale des lémuriens pour faire comprendre aux Malgaches les réels dangers qui planent sur les espèces endémiques et en danger de Madagascar. Une piste de solution avancée par le Groupement d’Etude et de Recherche sur les Primates.
La menace de disparition des mangroves est réelle. Or, elles constituent tout un écosystème côtier sensible au changement climatique et à l’intervention de l’homme.
La biodiversité unique de Madagascar est un réel atout pour le tourisme et l’économie du pays. Un atout constitué de méga hot spot de faune et de flore que nous avons intérêt à protéger et à conserver car elle permet de booster l’écotourisme. Le terme durable qui s’y associe rime avec le développement de l’économie lequel implique la création d’emplois et génère des revenus. « Le contraste entre la richesse naturelle et la pauvreté indique que l’homme dépend énormément des ressources naturelles qui l’entourent. S’il les épuise, cela signifie destruction. S’il ne nous reste rien, il nous sera impossible d’attirer les visiteurs », avertit Gérard Rambeloarisoa, directeur exécutif de la Fondation pour les aires protégées et la biodiversité de Madagascar (Fapbm).
Huit personnes dont un enfant de 6 ans sont décédées à Antsiranana après avoir consommé des sardinelles. 19 autres sont hospitalisées suite à cette intoxication alimentaire
A travers une collaboration scientifique officialisée en 2015, Madagascar et l’Afrique du Sud entendent valoriser les résultats de recherche pour un meilleur impact sur le développement. Deux jours de rencontres scientifiques ont eu lieu, cette semaine à Antananarivo, entre une délégation scientifique sud-africaine actuellement en visite à Madagascar, et les scientifiques malgaches. Une visite qui s’inscrit dans le cadre de la collaboration scientifique entre Madagascar et l’Afrique du Sud, scellée il y a quelques mois.
La troisième conférence mondiale sur le climat se déroulera du 7 au 18 novembre 2016 prochain à Marrakech, au Maroc. Les ambassadeurs africains s’y préparent déjà en s’informant des enjeux de ladite conférence pour l’Afrique, en préparant la participation des pays et en soutenant les efforts en cours.
Les communautés de base ou Vondron’olona ifotony (VOI), Ravinala et Taratra appellent au secours car depuis le mois d’octobre dernier, les exploitations minières sauvages progressent rapidement jusqu’à l’intérieur du corridor Ankeniheny-Zahamena. Il en est ainsi de la forêt d’Ambohilera, fokontany Antsevabe, commune rurale de Didy, district d’Ambatondrazaka.
Lors d’une rencontre pour discuter de la gouvernance environnementale, initiée par l’Alliance voahary gasy (AVG), hier à Ankorondrano, la corruption a été au centre des débats. Des magistrats insistent sur le trafic d’influence et les pressions, comme l’un des facteurs favorisant ce fléau.
On le savait sûrement ailleur, mais pas à Madagascar. EN 2006 déjà, Chanel s'apprêtait à lancer un nouveau produit à base d'extrait de panifolia-Pfa, une molécule isolée de la vanille de Madagascar, présente uniquement dans cette essence. Traditionnellement utilisée en pâtisserie et dans les glaces, la vanille tente aussi une sortie hors des sentiers battus.
Face à ce gaspillage des ressources naturelles et financières, le ministère chargé des Ressources halieutiques et de la Pêche, les opérateurs concernés de la filière crabes et le programme smartfish de la Commission de l’Océan indien se sont fixés pour objectif de diminuer d’un tiers le taux de mortalité à 20% avant la fin de cette année.
Lors d’une conférence téléphonique à l’ambassade des Etats-Unis, il a été, entre autres, rapporté qu’en Afrique, les crimes environnementaux- notamment ceux qui concernent la faune – rapportent aux trafiquants des revenus annuels de 40 milliards de dollars.
Depuis onze ans, le voilier traditionnel "Nofy Be" explore les merveilles setrouvant sur la côte ouest de Madagascar. Cette croisière authentique, développe un concept pour rendre ses circuits accessibles aux malgaches et offrir des formules exotiques aux touristes
Leur création fait partie des défis lancés par le ministère de l’Environnement de l’Ecologie, de la Mer et des Forêts (MEEMF), un pas important dans la protection de l’environnement et des ressources naturelles. Article paru le 22/04/2015
La préservation de l’environnement continue de générer des bénéfices pour Madagascar. Les recettes attendues de la vente de ses crédits carbone permettent au pays de financer des projets de reforestation et de développement.
La culture des algues rouges constitue une alternative à la surpêche et présente de grands avantages environnementaux. En effet, les algues aident à désacidifier les eaux océaniques en éliminant le carbone et créent un environnement sain dans lequel les coquillages prospèrent.
Chercheur en biodiversité et réalisateur confirmé, Cyrille Cornu tient à valoriser la faune et surtout la flore malgache. Son film-documentaire « Baobabs, entre terre et mer » s’y prête.
Valoriser et faire découvrir au monde la beauté et l’importance du baobab, cet arbre légendaire typique de la Grande île. Telle est l’essence même de l’aventure scientifique que le cinéaste et chercheur Cyrille Cornu a entrepris avec son ami et collègue Wilfrid Ramahafaly, en partant à la rencontre des baobabs de Madagascar et des Vezo, un peuple nomade de la mer. Article paru dans le quotidien l'express de Madagascar en date du 24/06/2015
Madagascar célèbre chaque année la journée mondiale de la biodiversité (22 mai). Le thème pour l'année 2012 est : "La biodiverité marine : Un Océan, plusieurs modes de vie"
Depuis l’année 1972, le programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) a choisi la date du 5 juin pour la célébration de la journée mondiale de l’environnement. C’est une journée où la PNUE encourage la vulgarisation des actions positives pour l’environnement, pour que chaque individu devienne un agent de changement.
Pour cette année, le thème de célébration de la journée mondiale de l’environnement se focalise sur la lutte contre le commerce illégal des espèces sauvages.
Le parc National de Zombitse- Vohibasia situé Sakaraha sera le District hôte de la célébration régionale de la Journée Mondiale de l’Environnement à Atsimo Andrefana 2017 sous le thème « je suis pour la nature ». Ce grand évènement de sensibilisation sera organisé le 09 juin 2017 sous le patronage de la Région Atsimo Andrefana en partenariat et sponsoring de plus de 20 partenaires techniques financiers œuvrant dans le domaine de l’environnement (MNP, MBG, PAGE/GIZ, WWF, ADES, ONG Reniala, Tany Meva, Asity Madagascar, WHH PASSAT, WCS, YSO- Madagascar, SAGE, ect….) les associations,( Filongoa Mahavelo), la société civile (PROSC, FAMARI, MIRANGA) avec également la participation de différents Directions Régionaux (DRICRI, DREEH, DIRMINE, DRAE, DIRTOUR, ect…..)
Le Parc national de Zombitse-Vohibasia gérée par Madagascar National Parc disposant une biodiversité exceptionnelle, est situé à 147 km au Nord-Est de Toliara avec une surface de 36 308 ha. Il est réputé par sa richesse en espèce d’oiseaux rares, endémiques de Madagascar et compte également 08 espèces de lémuriens dont certaines sont quasi menacées comme le cas du Phaner furcifer pallescens. Il se présente comme une aire de recherche par excellence et constitue un laboratoire vivant si on dénombre le type de recherches qu’on peut y réaliser.
Programme de célébration de la JME 2017 Atsimo Andrefana le 09 juin 2017 :
06h 00: Départ de Toliara vers Sakaraha
08h 00 : Arrivée et discours de bienvenue
08h 45 : Début de visite des circuits du PN ZVB
12h 00 : Pique- nique de tous les participants et animation locale
14h 00 : Visite et sensibilisation des VOI autour du Parc
C'est la Commune Rurale de Mangaoka, située dans le District d'Antsiranana II qui a accueilli la célébration régionale de la journée mondiale de l'environnement dans la région DIANA. Plusieurs manifestations ont été organisées pendant deux jours pour marquer l'évènement.
La célébration de la journée mondiale de l'environnement a été organisée par la Direction Régionale de l'Environnement et des Forêts, sous l'égide de la Région DIANA et le District d'Antsiranana II. Le thème choisi cette année « Pensez, mangez, préservez » encourage les populations à être conscientes de l'impact environnemental de leurs choix alimentaires.
Dans le cadre de la célébration de la Semaine de la Mer, WWF Madagascar et dans l’Océan Indien Occidental organise des projections de films et aux Conférences-Débats à la Salle de l’Horloge Antananarivo du 18 au 20 septembre 2013
L’ESSAgro célèbre cette année le jubilé du 50ème Anniversaire (1963-2013), et a choisi le slogan pour cet Anniversaire "50 ans d’Excellence au Service du Développement" ou "Dimampolo taona Namirapiratana, ho an’ny Fampandrosoana".
La célébration nationale de la Journée mondiale de la Biodiversité se tient ce jour à partir de 9h jusqu’à midi, à Ambatobe dans l’enceinte du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD) et du projet PAGE de la Coopération allemande (GIZ).
Trois ateliers de développement de capacité ont été réalisés pour les cellules environnementales des ministères et des organisations de la société civile sur la gouvernance et les normes environnementaux en septembre et octobre 2020. Ils ont abouti à la formulation de messages de plaidoyer crédibles pour renforcer l’Intégration de la Dimension Environnementale et Sociale (IDES) à Madagascar. Cette initiative du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD) bénéficie du soutien de l’USAID Madagascar, à travers une collaboration rapprochée entre l’Office Nationale de l’Environnement (ONE) et l’Alliance Voahary Gasy (AVG) dans le cadre du programme USAID Hay Tao . Elle constitue une étape cruciale pour une mobilisation commune des efforts tant à la fois au niveau de l’Etat, des ministères, du secteur privé et des partenaires techniques et financiers pour une meilleure intégration de la dimension environnementale et sociale dans les politiques publiques et les investissements à Madagascar. Elle a pour ambition d’améliorer les conditions de gouvernance et de justice environnementale et par conséquent, du développement durable à Madagascar.
Parmi ses espèces faunistiques phares, on peut citer entre autres, le lémurien à couronne dorée connu sous le nom scientifique « Propithecus tattersalli ». Le complexe de « Loky Manambato » étalé sur une superficie de plus de 70 000 ha constitue une nouvelle aire protégée créée dans la partie nord-est de Madagascar, soit dans la région de SAVA. Cette aire protégée recèle une biodiversité exceptionnelle avec un taux d’endémicité atteignant les 84%.
Cette année, la société DHL Madagascar s’engage de plus en plus dans la protection de l’environnement (GO GREEN). Cet engagement et stratégie globale GO GREEN a été réalisé dans le passé à travers différentes activités comme des donations d’engrais biologiques pendant les « Journée Mondiale de l’Environnement », le transport gratuit des vaccins pour UNICEF et également le transport des aliments vers les orphelinats pour le projet « Manzer Partazer ».
En 2016, pour avancer un peu plus dans les projets en faveur de la protection de l’environnement, GO GREEN sera axé sur la réduction des gaspillages. Se focalisant sur les employés, les matériels utilisés et le bâtiment de la société, toutes les actions menées auront attrait à la gestion de consommations d’énergie, d’eau, des déchets et de l’air
Les mangroves de la baie d'Ambaro, dans le district d'Ambilobe, sont officiellement le 21e site Ramsar de Madagascar après un long processus porté par l'Etat par le World Wild Fund (WWF). Elles font parties des deux milliers de sites mondiaux répartis dans cent soixante et onze pays membres
La baie est localisée au sud du Parc national d'Ankarana et longe la zone littorale couverte d'une vaste superficie de mangroves qui s'étendent sur toute la côte et sont parmi les plus préservées et les plus abondantes de la Grande île. Abritant une faune et une flore uniques, elle fait partie du Canal de Mozambique, entre l'île Nosy Faly (Ambanja) et Bobasakoa (Antsiranana II), en passant par le port Saint-Louis (ex-SIRAMA d'Ambilobe). Une partie de la baie se trouve dans la Basse-Mahavavy, un bassin hydrographique alimenté par le fleuve Mahavavy. Cette zone fait partie du paysage "Northern Mozambic Channel" , un paysage prioritaire pour les zones d'intervention de WWF Madagascar
L’approvisionnement en énergie des ménages malgaches dépend à plus de 85%, de la forêt. De l’avis unanime des experts, le bois demeurera, pendant des décennies, la principale source d’énergie domestique dans l’ile. Article paru le 11 mars 2016
Un week-end de civisme pour la région Diana qui a lancé la campagne régionale de reboisement en fin de semaine. Organisée par la Direction régionale de l’Environnement, l’écologie et des forêts, elle a débuté à Ankitsakalaninaomby dans la commune rurale d’Andrafiabe, à 32 km de la capitale du Nord.
Les patrouilleurs ou polisin'ala se mobilisent pour surveiller les forêts de mangroves de la baie d'Ambaro. En effet, à Ambilobe (Ampasivelona, Ankazomborona, Antenina, Antsatrana), dans le paysage du Canal de Mozambique Nord, les communautés de base sont particulièrement vigilantes face à la recrudescence des coupes illicites de bois de palétuviers. Article publié le 21/04/2017
Des recherches universitaires sur les organismes marins ont donné naissance à une société, sur l'île de Madagascar. Démarrée de rien, la spin-off belgo-malgache emploie aujourd'hui 130 personnes. Parmi elles, de nombreuses familles de pêcheurs pauvres, reconvertis dans l'élevage de concombre de mer.
The Mikea, who number around 1,000 people, are facing what many of them say is an existential environmental problem -Their ancestral forest in southwestern Madagascar is partly protected inside a national park - However, it is rapidly being chopped down to supply a growing demand for charcoal, the country’s primary source of cooking fuel - Some Mikea, having lived their entire lives hunting and gathering, are facing a shortage of game and other food and are now considering whether they must abandon the forest, and their way of life, for good.
Des éléments de la Direction de la sécurité du territoire ont mis la main sur des bois de rose prêts à embarquer. Des sources auprès de la primature soupçonnent un coup monté
Dans le sud-ouest du pays, bras de fer entre une entreprise minière et une partie de la population locale. La construction des premières infrastructures pour extraire l’ilménite devrait débuter à la fin de cette année. Si et seulement si l’entreprise obtient l’aval de toute la population locale. Or certains habitants refusent de céder leurs terres à la multinationale australienne. Hier, un collectif regroupant ces irréductibles petits exploitants s’est rendu dans la capitale pour faire entendre leur voix.
Depuis plusieurs décennies, le feu de brousse constitue un phénomène difficile à combattre à Madagascar, pour des raisons socioéconomiques et culturelles. Les paysans le pratiquent notamment pour s’assurer de la pousse des herbes afin de nourrir le bétail ou pour chasser les rats. A chaque fin de la saison des pluies et en période hivernal, des centaines de milliers d’hectares de terrain sont ainsi la cible des feux sauvages. Les campagnes de sensibilisation et les menaces d’emprisonnement n’ont jamais porté leurs fruits dans cette lutte continuelle.
Depuis plusieurs décennies, le feu de brousse constitue un phénomène difficile à combattre à Madagascar, pour des raisons socioéconomiques et culturelles. Les paysans le pratiquent notamment pour s’assurer de la pousse des herbes afin de nourrir le bétail ou pour chasser les rats. A chaque fin de la saison des pluies et en période hivernal, des centaines de milliers d’hectares de terrain sont ainsi la cible des feux sauvages. Les campagnes de sensibilisation et les menaces d’emprisonnement n’ont jamais porté leurs fruits dans cette lutte continuelle. C’est dans le but de convaincre une frange de la population que l’ONG Welthungerhilfe, soutenue par des partenaires allemands, a lancé deux livrets de sensibilisation pour la préservation de l’environnement dans la Grande Ile
Dans le cadre du projet « Kobaby », qui prévoit la création d’un centre de recherche et d’interprétation botanique, une opération de reboisement était organisée dans la nouvelle aire protégée Ambohitr’Antsingy, Montagne des français durant la semaine du 5 mars
Ce reboisement était piloté par l’ONG SAGE, Service d’appui à la gestion de l’environnement qui est le gestionnaire de la nouvelle aire protégée avec l’antenne locale du conseil général du Finistère à Diego Suarez et le Conservatoire Botanique National de Brest
Aujourd’hui 2 octobre, nous célébrons la journée internationale de l’habitat. Au sein du WWF, nous voudrions rendre hommage à tous ceux qui contribuent dans leur quotidien à préserver la faune et flore ces habitats, mais aussi pour le bien-être de la population. Rendons hommage aujourd’hui à nos courageux patrouilleurs des mangroves.
L’aire protégée Forêt Naturelle de Tsitongambarika est sans doute l’une des plus riches forêts abritant un maximum d’espèces endémiques locales. En effet, à elle seule, Tsitongambarika hébèrge plus de 80 espèces endémiques locales. En plus, selon les critères de l’UICN cent quatorze (114) espèces devraient figurer dans la liste rouge des espèces menacées dont 21 en danger critique (CR) et 60 en danger (EN).
Les résultats des recherches entreprises depuis 2011 suggèrent un fort potentiel de la filière piscicole continentale à Madagascar
Le pays dispose de plus de 160 000 ha de plans d’eau (hors mangroves) propices à la pisciculture et de plus de 150 000 ha de rizières irriguées favorables à la rizipisciculture
Un projet de coopération nord-sud offre aux étudiants malgaches la possibilité de préparer des mémoires et thèses sur la filière.
Des reptiles en situation d’exportation illicite ont été découverts à l’aéroport international d’Ivato, samedi après-midi. Ce sont notamment des caméléons de la famille de Calumma Parsoni, des lézards (Phelsuma quadriocellata) et des Milles pattes (Aphistogoniulus). Ils ont été retrouvés dans les bagages de deux ressortissants Chinois qui seraient prêts à les exporter.
La pression des marchés asiatiques menace les « sokake » de disparition
Les tortues, qui représentent une valeur culturelle spécifique auprès de certaines ethnies, sont actuellement dans le collimateur des braconniers. Des espèces endémiques de Madagascar sont 100% menacées alors qu’à l’échelle mondiale, ce taux n’est que de 51% pour les tortues
Les trafiquants ne manquent pas d’imagination. Les agents de douanes d’Antananarivo ont eu la surprise de découvrir des tortues dans …un dictionnaire. Le fait s’est déroulé en fin de semaine, lors du traitement d’une marchandise à destination de Hong Kong.
Quatre fours à charbon ont été découverts à Ankarafantsika. Divers points de feux ont été observés depuis l’annonce de l’état d’urgence sanitaire national dans diverses régions du pays.
D’un côté, les acteurs se démêlent pour sauvegarder ce qui reste de richesse naturelle ; et de l’autre, les actions de destruction de l’environnement se multiplient.
Près de 6 000 exploitants miniers s'attaquent à d'autres sites, outre l’aire protégée de Didy. Venu sur place, le général Randrianazary a saisi dix 4x4 d'acheteurs de saphir
Dans le cadre de la diplomatie climatique de l’Union européenne, différents acteurs travaillent ensemble et incitent à une participation à l’action collective en vue d’atteindre les objectifs de Paris.
" La mauvaise gouvernance de ces deux dernières années commence à inquiéter le personnel de la société Fanalamanga " . Ce sont là les propos de Jeannot Harison Rasolonjatovo, syndicaliste auprès du Syndicat des Travailleurs de la société Fanalamanga (STFAN) et porte-parole des délégués du personnel de ladite société.
Les moyens de subsistance des pêcheurs sont fortement menacés par le réchauffement climatique.
Près de 90% des récifs coralliens mondiaux risquent de disparaître selon des récentes données de la Banque mondiale. La situation est déjà pire à Madagascar car les pressions des activités humaines viennent s’y ajouter. Particulièrement pour le grand récif de Toliara, le taux de destruction est autour de 7,7 m2 par personne par jour selon l’estimation d’océanographes de l’Institut halieutique et des sciences marines (IHSM) de Toliara et de l’Institut de recherche pour le développement (IRD).
Le trafic de tortues étoilées se poursuit. Les éléments des forces de l'ordre de Betioka Atsimo ont, cette fois, découvert la séquestration de plus de sept mille individus.
Des lémuriens braconnés. Le Festival des lémuriens vient de prendre fin en octobre. Entre temps, les chasseurs négligent les appels des conservationistes et environnementalistes qui crient « au secours » pour qu'on laisse tranquille ces espèces emblématiques malgaches. Des journalistes de la plate-forme « Environnemental Investigative Journalist of Madagascar » (EIJM) ayant effectué une descente sur terrain à Andasibe, à Ambohibary et à Lakato, rapportent que ces lémuriens ne vivent jamais en paix dans leur habitat et que les braconniers restent impunis. C’était dans le cadre de la réalisation du programme « Preserving Madagascar's Natural Ressources », initié par Conservation International (CI) et financé par l'USAID.
New satellite data
reveals active burning in Sava, a region in Madagascar that has been
ravaged by illegal logging for rosewood and other valuable rainforest
timber.
Razeny est le président du groupement Matavy Entea (belle vue) des apiculteurs d’Antanandahy, un village qui se trouve au cœur des mangroves du delta de la Tsiribihina, sur la côte ouest de Madagascar.
Une nouvelle espèce de gecko a été découverte sur l’île de Madagascar. Elle présente une méthode unique pour échapper aux prédateurs – perdre des écailles en un instant.
Des chercheurs du German Primate Center (DPZ) de Göttingen/Allemagne, de l’Université d’Antananarivo/Madagascar, du Duke Lemur Center/USA et de l’Université du Kentucky/USA décrivent deux nouvelles espèces de microcèbes dans l’« International Journal of Primatology » : ces nouvelles espèces ont été nommées « Microcebus tanosi » et « Microcebus marohita ». Comme toutes les espèces de lémuriens, elles vivent exclusivement à Madagascar. Cette découverte porte le nombre de microcèbes connus à 20. Sur la suggestion de Rasoloarison du German Primate Center (DPZ) et de son collègue allemand Peter Kappeler, Microcebus marohita a été déjà inscrit sur la liste rouge des espèces en danger.
Les zones forestières de Madagascar sont continuellement en proie aux feux. Avec 700 000 ha de forêts perdus entre 2004 et 2017, l’urgence n’est plus à démontrer. « C’est un record absolu comparé aux chiffres de 2017, 2018 et 2019, avec une augmentation d’environ 11% entre 2019 et 2020 »
La Région Sofia parmi les plus importants foyers des feux de brousse à Madagascar. Des milliers d’hectares de forêts partent en fumée sur le territoire régional suivant un taux annuel de déforestation de l’ordre de 1%, estiment les environnementalistes. La Région encourt donc de sérieux risques d’explosion socio-économiques liés provoqués par le phénomène de déforestation massive qui y sévit depuis plusieurs années. Aujourd’hui, le Sofia accuse une couverture forestière de l’ordre seulement de 14%. Ce qui fait tout simplement dire que si aucune mesure pour freiner ce phénomène ne sera prise dès qu’il est encore temps, la Région pourrait bien voir les forêts qui lui restent à l’heure actuelle anéanties par notamment les feux de brousse. Dans les vingt, voire les dix prochaines années…
Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 21/07/2014
50.000 ha de forêts sont détruits par an à Madagascar, selon le secrétaire général du ministère de l'Environnement, de l'écologie et des forêts (Meef), Liva Hariniaina Ramiandrarivo hier dans le fokontany de Zafimbazahakely, de la Commune rurale d'Ambalavao, du district d'Atsimondrano, lors du lancement officiel du reboisement 2018 - 2019 à Analamanga.
Des solutions urgentes et durables devraient être mises en œuvre afin de freiner le fléau de la déforestation. 47 671 Ha de forêts ont été perdues durant l’année 2018. "Les surfaces forestières ne représentent plus que 12 % de la superficie de Madagascar". Propos de Baomiavotse Raharinirina, ministre de l’Environnement et du développement durable qui interpelle sur l’urgence de la situation en matière de déforestation à Madagascar.
Douze charbonniers en provenance de la partie Sud de l’île sont arrêtés à Ampaipaika dans la commune rurale d’Agnorotsanga, dans le district d’Ambanja.
"En 2018, 3 100 000 ha ont été brûlées à Madagascar", a annoncé le ministre de l'Environnement et du Développement Durable (MEDD), Baomihavotse Vahinala Raharinirina, hier à l'hôtel Colbert Antaninarenina, lors de l'ouverture de l'atelier de lancement des outils de planification et de gestion des feux
La conservation alliée du développement durable. C'est dans cette voie que l'association Asity Madagascar mène une mission axée sur la conservation et la gestion durable, les inventaires, les suivis et évaluations écologiques de la biodiversité, et les activités de recherches sur les espèces et de leur habitat. Elle se concentre aussi sur les incitations aux activités de développement alternatives dans les zones périphériques des aires protégées.
Aucune activité ne peut s’épanouir si ce n’est dans un environnement sécurisé. C’est ainsi le garant du développement durable. Pour assurer une sécurité alimentaire, il faut tenir compte de plusieurs facteurs-clés étant donné que cela a un aspect transversal
Le cactus ou « raketa » est une plante exceptionnellement riche qui pourrait devenir une filière porteuse pour le Sud du pays. C’est dans ce sens que l’association SoaSahiry a mis en place le projet « velognarofo » pour mettre en exergue les potentiels de cette plante au service du développement.
En vue de systématiser l'apparition du reflexe environnemental dans tous les domaines, le Ministère de l'Environnement et des Forêts a développé bon nombre d'outils techniques "magazine, booklet environnemental, kit environnemental, instruments juridiques diverssur la gestion de l'environnement, guide vert, films documentaires sur l'état de l'environnement.
En vue de systématiser l'apparition du reflexe environnemental dans tous les domaines, le Ministère de l'Environnement et des Forêts a développé bon nombre d'outils techniques "magazine, booklet environnemental, kit environnemental, instruments juridiques diverssur la gestion de l'environnement, guide vert, films documentaires sur l'état de l'environnement.
En vue de systématiser l'apparition du reflexe environnemental dans tous les domaines, le Ministère de l'Environnement et des Forêts a développé bon nombre d'outils techniques "magazine, booklet environnemental, kit environnemental, instruments juridiques diverssur la gestion de l'environnement, guide vert, films documentaires sur l'état de l'environnement.
La sixième édition de l’ITM s’est achevée avec un franc succès à en croire les organisateurs. L’un des principaux points forts restera sans doute l’entérinement des accords sur le secteur entre Madagascar et la Chine. Si l’on ne devait se concentrer que sur cette partie émergente de l’Iceberg, on aurait pu être fier. Or, sur l’extrémité nord-ouest de l’île, c’est une toute autre histoire qui est en train de se produire.
La Plateforme Nationale Femme Développement Durable et Sécurité Alimentaire (PNFDDSA) est partie prenante pour les initiatives en faveur du développement qui tient compte de la protection de l’environnement.
Le reboisement d’eucalyptus dans la région DIANA a débuté en 1996. Aujourd’hui, la surface reboisée est de 9 700ha. C’est sur la plantation d’eucalyptus que se repose la modernisation de la filière bois-énergie selon le Programme Germano-Malgache pour l’Environnement, PGM-E/GIZ
Le charbon vert provient de la carbonisation de l’eucalyptus reboisé. Il couvre actuellement 30% des besoins en énergie domestique d’Antsiranana ville et 15 à 20% pour la région DIANA. Il faut une surface reboisée de 20 000 ha pour couvrir les besoins de toute la DIANA qui est de 30 000 tonnes de charbon par an.
Madagascar est un des pays les plus sensibles aux changements climatiques. Il y a encore quelques mois, le pays a laissé derrière lui le passage du phénomène El Niño, mais au-delà de tout cela, la Grande île est victime depuis quelques décennies des mauvaises pratiques à l’encontre de l’environnement.
Technologie. Le monde rural malgache connaîtra une révolution avec l’effectivité du « Center for Geo-Informatics Applications in Rural Development » (CGARD) ou Centre de Géoinformatique appliquée au développement rural. Un centre géoinformatique et de technologie spatiale qui montre en temps réel par satellite l’occupation du sol dans le pays. Le centre étant rattaché au ministère en charge de l’Agriculture et de l’élevage, il traitera des informations relatives aux superficies rizicoles ou agricoles, aux types de sol, aux forêts ou encore aux habitations
À vrai dire, préserver la biodiversité de Madagascar pour développer le tourisme ou vice-versa sont tous deux faisables. Plus même, les deux propositions sont complémentaires. Cette fois, au lieu des pouvoirs publics et des habitants, c’est au tour des voyageurs et des hôteliers de développer le tourisme afin de contribuer à la préservation de la biodiversité. Il n’est pas question de se sacrifier, mais plutôt de concilier plaisir est respect de l’environnement à savoir la faune, la flore, les us et coutumes du pays.
Tous au chevet des aires protégées. L’appel mondial lancé lors de la Conférence de Paris sur le climat (COP 21), en 2015, porte son fruit. Le financement en faveur des aires protégées s’enchaine. Après la coopération allemande qui a octroyé 22 millions d’euros il y a une dizaine de jours, c’est au tour des acteurs humanitaires à savoir le Rotary club International, le Rotary club Torino, le Rotary club Annecy qui ont tendu la main au Rotary club Antananarivo Tsimbaroa pour un financement de 63.000 euros, soit près de 226.863.000 d’ariary pour l’aire protégée de Maromizaha, à Andasibe.
Kirindy et Ankarafantsika sont deux parcs nationaux dans l’Ouest et Nord-Ouest de Madagascar qui subissent les impacts d’une migration massive de plusieurs communautés du Sud. Une situation alarmante qui a été soulevée lors du dialogue national sur «la migration, environnement et changement climatique à Madagascar», conversation qui s’est tenue hier à Antaninarenina.
Aide financière. José Graziano da Silva, directeur de l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a octroyé, hier, une somme d’un million d’euros à l’État malgache.
Investir dans la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE). C’est ce qui résume les actions menées par les employés de la société Jovena samedi dernier à Ambohimanambola. Actions qui ont consisté à planter 600 pieds composés de 385 pieds d’Acacias, 250 plants d’Erables, 15 plants de palmiers, 15 autres plants de Khaya, 10 Eugenia jambolona et 10 plants de Kaki sur les terrains de l’EPP d’Ambohimanambola.
Le Syndicat général maritime de Madagascar (SyGMMa) réclame l’instauration d’un ministère, à part le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, qui s’occupera exclusivement des eaux marines du pays
En 2013, pour la 19ème édition de Fréquence Grenouille et la première fois à Madagascar, l’ONG l’Homme et l’Environnement s’associe aux réseaux des Conservatoires d’Espaces Naturels et de Réserves Naturelles de France pour attirer l’attention du public sur la nécessité de préserver les zones humides
En 2013, pour la 19ème édition de Fréquence Grenouille et la première fois à Madagascar, l’ONG l’Homme et l’Environnement s’associe aux réseaux des Conservatoires d’Espaces Naturels et de Réserves Naturelles de France pour attirer l’attention du public sur la nécessité de préserver les zones humides
Cette année encore, la ville d’Antananarivo, à l’initiative du Ministère de l’Environnement, de l’Écologie et des Forêts propose l’incontournable journée verte : le dimanche 16 octobre 2016.
Les pandas du bureau de WWF à Toliara ont istauré des pratiques écoresponsables dans leur bureau depuis novembre 2016. Ils se sont engagés dans la campagne d'écogestes "Namako ny Tany" de Earth Hour, pour montrer l'exemple dans leur ville et dans le pays.
Réduire, réutiliser, recycler, tout a été fait pour réduire au maximum l'empreinte écologique du bureau du paysage Mahafaly. Des consignes ont été mises près des interrupteurs et prises pour éteindre les installations après utilisation. Les papiers sont recyclés en bijoux et autres ornements par des associations appuyés par l'ONG allemande Welthungerhilfe.
L'écoresponsabilité est d'abord une démarche personnelle. Et en bon pandas, les Mahafaly de WWF Madagascar montrent l'exemple à suivre. Pour la planète, pour la Nature.
Une école verte a été mise en place à Ambohitrarahaba. Ce nouveau centre éducatif et de loisirs ouvre ses portes depuis le 05 octobre dernier.
« Il s’agit d’une éducation des enfants dans la protection de l’environnement à Madagascar. Ce projet de contribuer à une meilleure éducation de nos enfants, me tient beaucoup à coeur », a déclaré Domoina Rajaonary, la fondatrice et gérante de cette école verte lors d’une journée porte ouverte qui s’est tenue samedi dernier. « L’objectif de la création de cette école verte consiste ainsi à sensibiliser les enfants dès leur jeune âge, à avoir une responsabilité civique et citoyenne. On leur apprend entre autres, à avoir une envie de cultiver des plantes sur un jardin potager et d’avoir une connaissance pratique en matière d’élevage des animaux de la ferme », a-t-elle poursuivi.
L’écologie est avant tout une science, mais il est couramment employé pour désigner les interactions entre les sociétés humaines et leur environnement. A ce titre, l'écologie est positive car elle vise à minimiser notre impact, notre empreinte sur notre support de vie, la Terre.
Madagascar a 1 140 000 km2 de zone économique exclusive (ZEE), 5 500 km de côtes, plus de 300 000 hectares de mangroves et 50 000 hectares de tannes de mangroves ainsi qu’un système de récifs coralliens important. Tout ceci fait que Madagascar dispose de tout le potentiel pour faire de son économie bleue un moteur de développement. D’autant plus, 65% de la population de l’île vit dans les côtes. Le ministre de l’Economie et de la Planification, le Gal Herilanto Raveloharison a indiqué lors de l’atelier de consolidation de la Stratégie nationale sur l’économie bleue (SNEB) que la Grande île a tout intérêt à concevoir une politique garantissant la bonne gouvernance, la sécurisation ainsi que la valorisation des ressources marines.
Les résultats de la gestion durable des ressources naturelles avancent à grand pas dans la région Diana. Malgré les changements climatiques défavorables, les pêcheurs ont annoncé une forte hausse de la production pour cette saison.
Les pêcheurs d’Ambodivahibe gagnent de plus en plus en quantité et en prix. Spécialisés dans la pêche de poulpes, ces paysans ont adopté la gestion durable des ressources, grâce à la mise en place d’une réserve marine dans quatre zones de la baie d’Ambodivahibe.
L'économie bleue est au centre de la 10e édition du Salon de la mer qui se tient du 4 au 6 juillet à l'Alliance française d'Antananarivo (AFT) sous le thème "l'Economie bleue et les objectifs de développement durable". Madagascar entant que quatrième plus grande île du monde, jouit bien du potentiel de ce concept encore peu connu.
Madagascar participera à la conférence ministérielle de l'Indian ocean rim Association (IORA) sur l’économie bleue (ou maritime) qui sera organisée à Maurice du 2 au 4 septembre prochain.En attendant, il faut savoir que le pays peine dans ce secteur. La part de la pêche et de l’élevage à la création de richesses nationales est seulement de 1,4%. Ce taux concerne l’année 2014 et le pays a affiché le même en 2013. En 2010, ces deux secteurs dont la part au PIB est comptabilisée ensemble, ont même enregistré un fort recul de -8%
Madagascar possède des ressources marines que l’IHSM ou Institut Halieutique et des Sciences Marines à Toliara souhaite valoriser et exploiter. Avec une longueur de 5800 km de côte et plus de 1 140 000 km² de superficie qui est presque le double de la surface terrestre, cette zone recèle d’après les chercheurs des millions de tonnes de ressources marines dont les crevettes et les thons.
La protection de l’environnement est actuellement l’affaire de tout le monde. La déforestation a des répercussions sans précédent sur la vie des citoyens. C’est pour pallier à ce problème qu’Ecosia a vu le jour. Ecosia est un moteur de recherche qui plante des arbres grâce à ses revenus publicitaires.
Madagascar, est l’un des pays qui abritent des mangroves de différentes espèces, dont 98% d’entre elles se situent à l’ouest de l’île et les 2% restantes à l’Est. A part le fait d’être un habitat écologique, les mangroves sont également une barrière naturelle de protection du littoral. Cependant, ces mangroves sont menacées.
Le projet de développement touristique du circuit d’Anosiravo au nord de la Nouvelle Aire Protégée Ambohitr'Antsingy – Montagne des français (NAP AA MdF) se concrétise avec l’ouverture officielle du circuit prévue le 31 juillet 2014.
Ce projet touristique est fondé sur un partenariat solide émanant d’une convention tripartite signée en mars 2014 unissant l’ONG SAGE (Service d’Appui à la Gestion de l’Environnement), principal gestionnaire de la NAP AA MdF, l’ECAR et l’Office Régional du Tourisme de Diego Suarez (ORTDS)
Site de recherche et d’application écotouristique, le site SAHA Maitsoanala sis à Mandraka, à environ 65 km de la capitale sur la RN2, est un site de détente et d’éducation. Ces derniers mois, des changements ont été observés sur ce site dont le taux de fréquentation est en nette croissance suite aux récents changements et améliorations apportés, notamment dans le domaine de la qualité du service et de la gestion Article paru le 19/04/2017
L’aménagement d’un jardin floral, d’aires de camping et d’un gîte d’étape font partie des dernières initiatives visant à améliorer la qualité des services fournis aux visiteurs du site écotouristique SAHA Maitsoanala, à Mandràka, à 65km de la capitale, sur la RN2. Face à l’augmentation de la fréquentation de ce site écotouristique et éducationnel, en effet, de nouveaux aménagements ont été effectués, récemment. Durant ces trois derniers mois, plusieurs dispositifs ont été mis en place et réhabilités, dont font partie les aires de camping, le jardin des fleurs, le gîte d’étape et le parking pour les véhicules qui accèdent au site.
La stabilité politique de Madagascar est un fait admis par la communauté internationale, aussi la posture adoptée par chacune des parties prenantes devra clairement et conséquemment considérer l’ensemble des nouveaux paramètres – positifs – environnant la prochaine édition de la FIM.
Faire intégrer la responsabilité envers l’environnement dans le quotidien de chaque citoyen serait un des meilleurs moyens pour protéger l’environnement. Et partant de cette idée et que chaque activité de la vie quotidienne impacte sur l’environnement, le département Eau et Forêt de l’Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques, l’association Maintsoanala, la fondation Tany Meva ainsi que ses différents partenaires ont décidé d’organiser la journée « éducation environnementale : pour des citoyens ecoresponsable ».
L’acronyme GLOBE désigne ici le programme « Global Learning and Observations to Benefit the Environment ». Il s’agit d’un projet international, avec des ramifications régionales. Madagascar accueille depuis le 10 avril jusqu’à ce jour la XIVe rencontre régionale africaine du GLOBE.
Ce lundi 03 février 2020, Lever de drapeau, une toute première pour l’Occupante du département environnemental. Après, la levée des couleurs et la récitation de l’hymne national, le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Madame Baomiavotse Vahinala Raharinirina a rappelé les principaux défis que le Ministère fait face, suivant les instructions du Président de la République et du Chef de Gouvernement.
« La chaleur va augmenter d’un à deux degré à Madagascar, surtout dans la partie sud du pays.
Aussi, la saison des pluies sera-t-elle courte et l’automne sera encore plus long. » Ceux-ci sont en effet les conséquences du changement climatique. Pire encore, « les cyclones seront encore multipliés et s’intensifieront avec une vitesse de 120 km minimum ». C’étaient les propos de Nanie Ratsifandrihamanana, directeur du WWF Madagascar, samedi dernier, lors d’une marche pour la protection de l’environnement au sein de l’université d’Ankatso.
Le Malagasy Professionnels de l’Elevage (MPE) organisera en avril prochain un atelier national de mise à jour de la situation de toutes les filières d’élevage à Madagascar.
20 tortues à soc ou « angonoky » issues du centre d’élevage d’Ampijoroa Ankarafantsika, transférées dans l’enclos du parc national de la baie de Baly le 3 décembre dernier, ont été réintroduites dans la nature le 24 janvier 2015. Publié le mercredi 11 février 2015
La précarité est quotidienne au cœur des quartiers d’Antananarivo et au-delà. Dans bien des cas, ce sont les femmes et les enfants qui en paient le plus lourd tribut. Mais quelques-unes décident de transformer la dure réalité en de nouvelles possibilités et de vivre d’un emploi vert.
La population malgache s’appuie surtout sur les ressources naturelles pour assurer sa subsistance. Le ralentissement des activités économiques s’aggrave davantage. Outre la dépendance aux produits importés, l’utilisation de ressources forestières assure également la plus grande partie de la consommation d’énergie pour la cuisson à Madagascar.
Le Gret a démarré depuis décembre 2014 la deuxième phase du projet Rhyviere : vers une approche globale couplant développement, protection de l’environnement et lutte contre le changement climatique. Publié le mercredi 6 mai 2015
L’énergie renouvelable est de plus en plus incontournable dans la lutte contre le changement climatique, a-t-il été réitéré lors de la conférence de Berlin sur l’énergie renouvelable tenue il y a une dizaine de jours et à laquelle Madagascar a été représenté.
Alors que les populations des zones rurales tel le district d’Antsiranana II ont ces dernières années ressenti chaque jours les manifestations du changement climatique, la population de la Capitale prend désormais conscience de la gravité de la situation
Ce mardi 8 avril, les élèves de l’Ecole primaire publique (EPP) Anosizato Atsinanana se sont rendus avec l’entreprise Colas, au Lemurs’Park, sur les bords de la route nationale n°1 qui conduit vers Arivonimamo, Ils ont découvert de nombreuses espèces d’arbres mais surtout de nombreux lémuriens dont certains sont en voie de disparition. Cette visite organisée par l’entreprise Colas en appui au programme scolaire d’éducation à l’environnement a été très instructive pour ces enfants.
Suite à l’intense pluviométrie de la dernière saison, des infrastructures d’irrigation ont été endommagées dans la plaine de Marovoay qui est le deuxième grenier à riz de Madagascar.
La biodiversité contribue au développement de l'économie. "C'est la première banque de Madagascar" a déclaré Baomiavotse Vahinala Raharinirina, Ministre de l'Environnement et du Développement Durable. C'était lors du forum sur le capital naturel et l'économie de l'environnement dans le développement durable de Madagascar, en mi-mars, à l'hôtel Carlton Anosy.
Le trafic de bois de rose continue de plus belle malgré les interdictions. Cette fois, 37 rondins de bois de rose, soit près de 400 kilos de bois ont été saisis à Antsirabe alors qu’ils allaient être acheminés vers la ville d’Ambositra. Ces rondins allaient être transformés en meuble par des artisans à Ambositra. Ce qui multiplierait leurs valeurs une fois transformées.
Les initiatives de reboisement se multiplient pour contrecarrer les effets nocifs du changement climatique. Une législation en la matière sera établie.
Les lémuriens deviennent les primates les plus ménacés, a affirmé l'Union internationale pour a conservation de lanature. Ils sont complètement sur le point de s'éteindre.
Le département environnement d'Amborovy figure parmi les plus importants du projet avec pour mission principale, la restauration écologique de l'exploitation notamment sur le site minier de Moramanga.
L'adhésion des communautés locales à a protection des aires protégées est d'une importance capitale. Raison pour laquelle un atelier a été organiqé hier à Nanisana pour recuillir toutes les propositions des communautés environnant la zone de Tsinjoarivo-Ambalaomby.
Des bois précieux, tel que le palissandre, sont toujours exposés sur le marché. Et ce malgré la suspensionde l'exploitation de bois précieux mis en vigueur depuis janvier 2019. Ce ne sont pas des stocks amis de nouvelles explotions.
Les impacts du changement climatique sont de plus en plus manifestes, d'une manière de plus en plus incontrôlable, à une vitesse imprévisible et difficilement maîtrisable, alors que les démarches pour l'adaptation acusent des etards pour différentes raisons, mais fréquemment due à des facteurs liés aux capacités humaines et sociales. D'où l'importance d'une montér à l'échelle des réflexions et actions en matière de réilience climatique du pays.
Il y a un manque dans les dispositions du décret de la mise en compatibilité des investissements avec l'Environnement (MECIE), d'après les dires en marge de la signature de conventio entre l'ONE et l'Organisation de la société civile (OSC), regroupées au sein de Human and Environnement Impacts and Knowledge Alliance avant-hier à l'Hôtel Colbert.
Beaucoup plus d'enfants et de jeunes des établissements scolaires et universitaires vont pouvoir visiter les Aires protégées gérées par Madagascar National Parks (MNP).
Ce dernier a réduit des droits d'entrée à l'Aire pour eux.
Le procès de l'activiste Raleva a été reporté à une date ultérieure. Amnesty International sollicite l'annulation de sa condamnation. Raleva, le militant écologiste, se présentera au tribunal de Fianarantsoa, le 24 avril. Son procès en appel a été reporté à cette date, alors qu'il a été prévu pour le 27 mars, au début.
Dans le cadre de la célébration du centième anniversaire de Nelson Mandela, un événement s'est tenu hier à Ankatso. Il a été organisé en partenariat avec Axian, l'Université 'Antananarivo, l'association internationale Climates et l'ambassade de l'Afrique du Sud. Dénommé "Copinmycity", l'événment est une similation de négociation climatique.
Inquiétant. L'agriculture sauvage prend le pas sur les Aires Protégées. Les observateurs tirent la sonnette d'alarme. La situation des Aires Protégées de la Région Menabe alerte ainsi un bon nombre d'observateur.
La qualité de l'air à Antananarivo démontre une recrudescence de plusieurs maladies notamment respiratoires. Des résultats alarmants démontrés dans un rapport.
La saison du reboisement est ouverte dans presque toutes les régions. Il s'agit de mettre en place, particulièrement, une politique relative au bois-énergie.
Une partie de la Réserve spéciale d'Ambohitantely brûle. Cinq kilomètres du bord de la forêt sont touchés par le feu. Un feu de brousse à l'Est de la Réserve, constaté depuis 15 septembre, est à l'origine de cet incendie. " Le vent qui soufflait à une vitesse plus que normale a propagé des boules de feu dans la Résevre le 17 septembre" informe Madagascar National Parks (MNP).
Reboisement de 40 000 ha par an. Le nouveau ministre de l'Environnement et du développement durable, Vahinala Baomiavotse Raharinirina fait face à un challenge en misant sur toutes ses acquis et ses compétences. Elle a énnoncé ces intentions lors de la passation de service avec le ministre sortant Alexandre Georget hier à Antsahavola. Plusieurs paramètres ont été évoqués sans détail approfondi des formes d'action qu'elle va mener.
Conformément à la charte de l’Environnement et à la politique forestière à Madagascar, mais aussi mus par la conviction de la nécessité de reforestation et de la lutte contre les feux de brousse, les compagnies pétrolières regroupées dans l’Association Professionnelle des Pétroliers Amont de Madagascar (APPAM) présidée par Madame Marcelle Dané, ont consacré la journée du mercredi 11 février 2015 à une opération de reboisement
Le ministre de l'Environnement avertit les trafiquants des ressources naturelles. Le ministère de la Défense natinale participerait à leur aprotection.
La pollution gagne du terrain, que ce soit dans l'eau ou l'air respiré, pourtant le fonds alloué à chaque secteur de développement afin de maîtriser les déchets n'est jamais pris en compte, selon le rapport du ministère de l'Environnement, de l'écologie et des forêts, lors de la validation du plan d'action sur la santé et la pollution, hier, à l'hôtel de Louvres à Antaninarenina.
La protection des forêts ne peut être efficace sans assurer des moyens de subsistance aux communautés de base. De véritables économies tournent, en effet, autour de la forêt.
La réserve forestière d'Ampotaka, dans la commune rurale de Mandto sous tutelle du ministère de l'Environnement, de l'écologie et de la forêt, ne mérite plus son appellation. Presque détruite car lesfeux de brousse et les dévoisements excessifs pratiqués par la poulation locale sinon par quelques opérateurs illicites, la situation de la réserve est devenue inquiétante depuis quelques années.
La pauvreté pousse de nombreux Malgaches à se tourner vers l’exploitation des ressources forestières et des richesses en biodiversité du pays. Ce qui constitue des pressions de plus sur un environnement fragile et en voie de disparition.
Les suivis environnementaux sont essentiels pour rassurer les populations environnant un site minier à Tolagnaro, les conflits sont loin de se résoudre.
La capitale étouffe. Le taux de pollution augmente suite à la hausse de température. Telle est l'explication de Njaka Andriamahenina, chercheur au niveau de l'Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN).
Une campagne massive de préservation des forêts de mangroves est actuellement menée pour lutter contre la dégradation. Le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) vient de procéder récemment à la plantation de 171 000 propagules dans le fokontany de Kimony, à Morondava. Le but est de préserver le défrichement massif de mangroves dans cette région. La mise en œuvre de ce projet a été appuyé par le projet Swiofish2 avec la population locale. A travers ce projet placé sous tutelle du ministère chargé de l’Agriculture, le rétablissement et la préservation d’environ 10 000 ha de mangroves, sont prévus cette année. Lors de ce campagne de reboisement, les responsables du ministère ont sensibilisé la population locale sur l’importance des forêts de mangroves par rapport à la conservation de la biodiversité.
Nouvelle étape. La surexploitation des mangroves avait besoin d'une nouvelle gouvernance. Le minisète de l'Environnement et du développement durable et le ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche s'allient pour protèger les mangroves. Une signature d'engagement s'est tenue avant-hier, au Carlton Anosy.
Pour l'année 2018, des gaz nocifs à la couche d'ozone de deux milles kilos de gaz ont été saisis à Antaninarivo, à Mahajanga et dans quelques grandes villes, selon le rapport de Rivomalala Rabemananjara, du point focal de l'ozone, au niveau du ministère de l'environnement et du développement durable, en marge de la célébration de la journée mondiale de la protection de la couche d'ozone, hier.
Un atelier de formation des techniciens frigoristes sur les bonnes pratiques du groid se tient actuelleent à Ambatobe en vue de préserver la couche d'ozone.
La gouvernance environnementale inclusive. C'est à trvers cette vision que le Programme des Nations unies pour le développement a exposé hier à Andraharo, un état des lieux de l'environnement à Madagascar. L'objectif de l'initiative étant d'améliorer, tant la résilience communautaire face aux changements climatiques que la gestion participative des ressources au niveau des aires protégées de ,a Grande île.
Les trafics de tortues persistent. Un individu a été pris en flagrant délit avec vingt tortues vivantes et des kilos de viande de tortues issues de parc national de Tsimanampesotse le mardi 7 avril selon l'information rapportée par Madagascar National Parks
Trois- quarts des arbres plantés en 2017 ont poussé. C’est le bilan annoncé par le ministère des Postes, des Télécommunications et du Développement Numérique (MPTDN), lors de la journée de reboisement qu’il a organisé la semaine dernière, avec ses organismes rattachés. Cette fois, 1500 jeunes plants d’arbres, dont 1.000 Eucalyptus citriodora et 500 Eucalyptus robusta, ont été plantés.
Ils devaient être le dernier rempart pour protéger des espèces animales en danger. Mais, faute de moyens, ils subissent aussi le braconnage et la déforestation ou encore la pêche illégale. Selon un rapport du WWF International publié mardi 18 avril, presque 30% des 238 sites naturels et mixtes classés au patrimoine mondial sont menacés par le prélèvement illégal d'espèces menacées. Plus précisément, 43 sites sont menacés de braconnage, tandis que des cas d'exploitation forestière illégale sont recensés dans 26 sites. Quant à la pêche illégale, elle est rapportée dans 18 des 39 sites marins et côtiers actuellement définis.
560 jeunes plants parmi les 5.000 plantés l’année dernière par la grande famille de l’OMNIS (Office des Mines Nationales et des Industries Stratégiques) n’ont pas poussé. Cette fois, cet organisme a encore mis en terre 5.000 jeunes plants de robusta, lors de la journée de reboisement organisée le 23 février dernier à Ampangabe
L’armée et les élèves des établissements scolaires se trouvent en tête de liste pour effectuer les activités de reboisement. C’est du moins ce qui a été appris à l’issue du dernier conseil des ministres, mercredi dernier. L’objectif étant d’inverser la tendance de la déforestation avancée à Madagascar et augmenter ainsi la couverture arborée dans le pays
Le ministère de l’Environnement a déjà élaboré un plan d’action pour lutter contre les trafics de bois de rose. Le gouvernement japonais, de son côté, est prêt à appuyer l’Etat dans le domaine de l’environnement, y compris la lutte contre ces trafics de bois précieux, la pollution de l’eau et de l’air, l’émission de gaz à effet de serre par les sociétés minières ainsi que la déforestation Article paru dans le quotidien "Midi madagasikara" en date du 01/07/2014
Des parcs botaniques qui représenteront Madagascar en miniature seront mis en place en l’espace de trois ans. Les espèces endémiques des régions bénéficiaires seront mises en exergue dans ces parcs. Grandiose. C’est le moins que l’on puisse dire du projet « Reverdir Madagascar ». Il s’agit de mettre en place cinq grands parcs botaniques de 120 hectares chacun. Pour cette année, le projet prévoit la création de deux parcs et trois autres pour l’année prochaine dans les régions Boeny, Atsinanana, Analamanga, Amoron’i Mania et Vatovavy Fitovinany
"Act now". Deux mots qui ont été les plus entendus lors de la journée Mandela Day, célébrée hier à l'université d'Antananarivo sensibilisant les jeunes étudiants face à l'attitude à adopter au quotidien pour préserver l'environnement.
Cela occupe plus de 30% du territoire national, soit une superficie totale de plus de 178 800km².
Selon les études menées par les experts, douze régions sont touchées par le phénomène de désertification. Cela occupe plus de 30% du territoire national, soit une superficie totale de plus de 178 800km² sans compter la déforestation qui a atteint entre 100 000ha et 150 000ha entre 2005 et 2016, ainsi que les feux de brousses. Le directeur général de l’Environnement et des Forêts, le Dr Herizo Rakotovololonalimanana, l’a exposé dernièrement lors de la 2e rencontre des bénéficiaires du Fonds de partenariat pour les écosystèmes critiques (CEPF) à travers la Fondation Tany Meva à Nosy-Be. « Madagascar va bientôt atteindre la situation du point de non retour, d’après toujours les estimations de ces experts, si tous les acteurs concernés ne sont pas conscients de prendre chancun une responsabilité. En effet, à ce moment là, nous ne pourrons plus supporter les effets du changement climatique. Et ce seront les générations futures qui seront victimes », a-t-il évoqué.
Face à un déficit écologique auquel fait face la planète, Madagascar figure parmi les endroits-clés dans la lutte pour la préservation de la biodiversité
Date de parution de l'article : 01/10/2014 Auteur : Hanitra R.
Grâce à la surveillance aérienne, précieux appui dans l’organisation des patrouilles et l’application des sanctions, la déforestation a diminué de 40% dans six aires protégées de Madagascar. Article paru le 06/05/2017
Il a été décidé, lors du conseil des ministres d’hier, au lancement officiel des activités du « projet d’adaptation de la gestion des zones côtières tenant en compte des écosystèmes et des moyens de subsistance face aux changements climatiques ». L’on a également procédé au compte-rendu de la mission de la délégation malgache à la réunion extraordinaire de la CJSOI du 1er mars dernier à l’île Maurice.
Pourquoi ne pas utiliser un déchet pour produire de l’énergie « propre » ? Voici le défi que se sont lancé Moustapha Zafilahy et Marine Ridoire, deux jeunes ingénieurs tout juste diplômés en hydraulique-énergétique et en eau-environnement. À terme, ils souhaitent recycler les huiles alimentaires usées (HAU) pour alimenter les moteurs diesel des générateurs utilisés dans les communes rurales.
La déforestation et la dégradation des forêts constituent les premières causes de la diminution de la superficie forestière de la Grande Ile. Madagascar figure parmi les pays où les effets des changements climatiques sont les plus perçus. Une situation qui est causée par la disparition à un rythme effréné des derniers blocs forestiers qui tire son origine des exploitations abusives et irresponsables des forêts, l’implantation un peu partout des sites d’extractions minières, ou encore les habituels feux de brousse.
Action de gestion des déchets, sensibilisation des populations sur l'hygiène et l'assainissement, participation à l'exposition sur la préservation de l'environnement dans le cadre de la journée mondiale de l'environnement (JME). Telles sont, entre autres, les activités menées durant les deux jours de célébration de la JME dans la Région DIANA, les 5 et 6 juin derniers, par l'ONG C3 Madagascar (Community Centred Conservation Madagascar).
Actions de gestion des déchets, sensibilisation des populations sur l’hygiène et l’assainissement, participation à l’exposition sur la préservation de l’environnement dans le cadre de la journée mondiale de l’environnement (JME) - See more at: http://www.midi-madagasikara.mg/societe/environnement-l-ong-c3-madagascar-s-active-dans-le-nord#sthash.StQJbxXt.dpuf
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Actions de gestion des déchets, sensibilisation des populations sur l’hygiène et l’assainissement, participation à l’exposition sur la préservation de l’environnement dans le cadre de la journée mondiale de l’environnement (JME) - See more at: http://www.midi-madagasikara.mg/societe/environnement-l-ong-c3-madagascar-s-active-dans-le-nord#sthash.StQJbxXt.dpuf
Une signature d’accord de paiement du programme de réduction d’émissions « Atiala Atsinanana» conclu entre le gouvernement malgache et le Fonds de Partenariat pour le Carbone Forestier (FCPF) de la Banque mondiale a eu lieu. L’accord permettra de débloquer sur une période de 5 ans, un montant de 50 millions de dollars.
En effet, à travers cet accord de paiement, le FCPF s’engage dans l’achat des crédits carbone sur la période de 2020 à 2024 à l’intérieur du Programme de réduction d’émissions « Atiala Atsinanana ». Les 50 millions de dollars débloqués permettront de réaliser des initiatives pour réduire la pauvreté au sein des communautés qui dépendent de la forêt, tout en réduisant les émissions de carbone dues à la déforestation. Avec ce contrat d’achat des réductions des émissions de carbone en place, Madagascar devrait réduire de 10 millions de tonnes les émissions de dioxyde de carbone de la côte Est du pays, riche en forêts tropicales. Etalée dans les régions SAVA, SOFIA, Analanjirofo, Atsinanana et Alaotra Mangoro, soit 117 communes, la zone du programme couvre 10% du pays, s’étendant sur près de 7 millions d’hectares le long de l’écorégion de forêt humide de l’est du pays. La vente de réduction d’émissions de carbone est destinée à continuer et pérenniser des actions contre la déforestation que les communautés mènent avec les promoteurs d’initiatives. Il s’agira également de récompenser les communautés et les communes contributrices de performance de réduction d’émissions et d’opérationnaliser les dispositifs de mise en œuvre et de respect des obligations environnementales et sociales.
Madagascar bénéficie de l’appui du « Fonds Vert pour le Climat » pour la mise en œuvre du projet « Paysages durables dans l’Est de Madagascar », qui sera réalisé par Conservation International avec la Banque Européenne d’Investissements (BEI).
Madagascar bénéficie de l’appui du « Fonds Vert pour le Climat » pour la mise en œuvre du projet « Paysages durables dans l’Est de Madagascar », qui sera réalisé par Conservation International avec la Banque Européenne d’Investissements (BEI).
Trois hectares de mangroves ont été reboisés dans le « Fokontany » Antsampilay, Commune Ampisikina, District Vohemar. C’était les 8 et 9 janvier derniers, lors des journées de reboisement initiées par la Direction Régionale des Ressources Halieutiques et de la Pêche de la Région SAVA (DRRHP-SAVA), en collaboration avec l’ONG Fanamby. 3.400 propagules ont été plantées durant ces journées de reboisement de mangroves. Selon les responsables auprès du Ministère de la Pêche et des Ressources Halieutiques, l’objectif de ce reboisement concerne la préservation, la conservation et la valorisation de l’habitat naturel des ressources halieutiques dans les forêts de mangroves. « L’atteinte de cet objectif permet d’améliorer la production halieutique, notamment l’accroissement du rendement en crabes de mangrove, le scilla serata. Telle est la politique prônée par le Ministère des Ressources Halieutiques et de la Pêche, dirigé par Augustin Andriamananoro. Une politique devant s’améliorer davantage pour cette année 2019 et les années à venir », ont-ils annoncé.
Madagascar fait partie des 15 pays qui bénéficient de l’appui de la Facilité « Adapt’Action » de 30 millions d’Euros pour la mise en œuvre des CDN (Contributions Déterminées Nationales). Hier, le ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts et l’Agence Française de Développement (AFD) ont signé un Protocole d’Entente pour soutenir les efforts de Madagascar dans l’atteinte des objectifs nationaux définis dans les CDN.
A quelques mois de l'interdiction de l'utilisation des sachets en plastique, la population n'est pas encore vraiment informée de cette mesure.
"La production pour le marché local, la commercialisation, la distribution et l'utilisation des sachets et sacs plastiquesont interdites sur le territoire de la République de Madagascarà partir du 1er mai 2015 et l'importation des sachets et sacs plaqtiques est interdite à partir du 1er février 2015"
Les habitants d’Ilaka-Est- commune rurale de l’Atsinanana (Région)- ont été informés sur les effets et sensibilisés sur la gravité du changement climatique. Ces actions ont été effectuées les 3 et 4 mai derniers, par les sortants de la promotion 2018 des « Young Leaders Fighting Climate Change », ou Jeunes leaders de la lutte contre le changement climatique (traduction libre) de la représentation de la fondation politique Friedrich Ebert Stiftung à Madagascar.
« Conservation des baobabs pour un développement économique durable ». Tel est le thème du congrès international sur les baobabs qui se tiendra au Kimony Resort, Morondava du 11 au 13 décembre prochain. Initié par le Groupe des Spécialistes et Passionnés de Baobabs de Madagascar (GSPBM) lequel regroupe des jeunes docteurs en biologie et écologie végétales de l’Université d’Antananarivo, ce congrès sera une occasion de plancher sur les moyens de concilier la conservation et la valorisation des baobabs.
L’île Sainte Marie est un de ses sanctuaires car elle vient se reproduire au large de ses côtes. Cette présence en a fait un événement touristique réputé, mise en exergue lors du festival des baleines. La population locale est très sensible à la préservation de l’espèce. Ce qui s’est passé cette semaine le montre
La ministre et sa délégation ont effectué une descente inopinée chez Holcim. L'objectif était la vérification des impacts environnementaux de l’exploitation et de contrôler la conformité de la mise en œuvre du cahier de charge environnementale (CCE) de la société. Elle a débouché sur une note positive toutefois le bémol c'est que la société ne reboise pas assez avec 3000 plants par an avec leur 3000 employés. Ainsi, il a été recommandé qu'Holcim fasse une campagne de reboisement plus poussée avec la collaboration des communes environnantes.
Le mercredi 4 décembre 2019, un pas a été franchi pour la protection de l’environnement. En effet, ce jour-là, un partenariat a été signé entre deux grands acteurs de leurs domaines respectifs. D’un côté, le directeur général de Vivo Energy Madagascar, société de distribution et de commercialisation de carburants et lubrifiants de la marque Shell à Madagascar, Mondher Bouhouche ; et de l’autre, le président de l’Alliance Voahary Gasy, organisation de la société civile œuvrant pour l’environnement, Ndrantomahefa Harivony Razakamanarina. Les partis concernés ont signé une convention de partenariat dans laquelle il sera question, pour l’acteur de l’énergie, d’apporter son soutien à l’organisme écologique dans les démarches qu’il mène dans l’éducation et la sensibilisation du public, en particulier des jeunes, sur la gestion des ressources naturelles et son empreinte écologique. Un engagement qui s’inscrit dans un esprit de continuité de la politique de bonne gouvernance et de protection de l’environnement prôné par Vivo Energy Madagascar.
Presque la moitié des espèces sauvages de café dans le monde existe à Madagascar. Mais, à l’heure actuelle, les forêts primaires où se trouve la plantation de caféiers, sont menacées par la déforestation et les feux de brousse.
Le thème " Le temps de la nbature " a alimenté la journée mondiale de l'Environnement dans la région Atsimo Andrefana. Des questions et des réponses apportées.
Loin d’être un effet de mode, la question du changement climatique mérite une attention particulière de tous les secteurs, de tous les acteurs et de toutes les organisations nationales et internationales. Une question d’actualité mondiale et nationale qui mobilise des financements colossaux de la part des bailleurs de fonds et des organismes internationaux œuvrant dans le domaine. L’environnement et le changement climatique sont actuellement au cœur des débats. Mieux, les discours, programmes et volontés politiques de tout bord avancent l’urgence de se pencher sur la question environnementale. Pour Madagascar en particulier, certains efforts se concentrent sur l’élaboration du Plan National d’Adaptation (PNA) et du Plan d’Action Nationale de Lutte Contre le Changement Climatique (PANLCC). Des plans qui traduisent la mise en œuvre de la Politique Nationale de Lutte contre le Changement Climatique (PNLCC) adoptée par le pays en 2011.
Madagascar a reçu 3,8 millions de dollars du « Forests carbon partenerships fund (FCPF) » de la banque mondiale pour élaborer la stratégie nationale sur la Réduction des émissions de gaz à effet de serre résultant de la déforestation et de la dégradation des forêts (REDD).
Ambatovy ne lésine pas sur les moyens. Elle utilise les technologies modernes autour de ses activités minières. C’est le cas, par exemple, dans ses activités de protection de l’environnement. Elle recourt à l’utilisation de la technologie de télédétection pour déterminer le taux de déforestation pour ses trois zones de compensation. À partir de l’analyse des images satellitaires, les responsables de la société disposeront des informations nécessaires et très précises sur ce sujet. Les images sont prises sur un intervalle de trois ans et feront l’objet d’une comparaison. Ce qui leur permet de prendre des mesures correctives. Pour obtenir des résultats précis, la société travaille avec plusieurs partenaires, comme l’Institut d’observation géophysique d’Antananarivo (IOGA). Les analyses des résultats font, d’ailleurs, l’objet de validation entre la société et ses partenaires. Les images prises, cette année, seront étudiées en comparaison avec celles de 2014. Les mêmes activités seront aussi réalisées en 2018 pour le quatrième site de compensation d’Ankerana dans la région.
La gestion de la fertilité des sols demeure vulnérable. L’érosion s’accentue. Un problème crucial. 200 000 tonnes de terre ont été emportées par l’érosion cette année, selon le rapport du ministère de l’Environnement, de l’écologie, de la mer et des forets, lors de la célébration de la journée mondiale des sols, au siège du centre national de la recherche appliquée au développement rural Fofifa à Ampandrianomby, hier. Ce chiffre équivaut à 500ha de terrain
Une bonne nouvelle durant la journée mondiale des zones humides. Le complexe des lacs Ambondro et Sirave (CLAS), dans la commune rurale de Belo sur Mer, à 90km au Sud de Morondava, dans la région de Menabe, est désormais inscrit sur la liste des sites Ramsar
Article paru dans le quotidien, l'express de Madagascar en date du 03/02/2015
Madagascar conserve de belles forêts de mangrove, selon le rapport des recherches effectuées par trois chercheurs japonais. Madagascar devrait préserver cette authenticité.
La récolte et le braconnage à l’intérieur des parcs nationaux censés être protégés continuent de s’aggraver. Très récemment, quelques dizaines de bébé tortues Angonoka ont été découverts morts et jetés par les trafiquants. Pourtant, ces reptiles uniques au monde ne se trouvent que dans le parc de Soalala qui, théoriquement selon les rapports de l’Ong qui y travaille, restent parmi les mieux protégés à Madagascar.
Et de cinq pour la communauté locale, après le quatrième prix mondial reçu par la communauté Anja Miray, de la région Haute Matsiatra, en 2012. La plateforme de concertation pour le développement durable d’Antongil, région Analanjirofo, a obtenu le prix Équateur. La remise officielle du prix avec un chèque de cinq mille dollars a été effectuée hier, à Anosy, en présence de l’Administrateur du PNUD, Helen Clark. Le prix Équateur est un concours lancé en 2002, en partenariat avec le PNUD, les gouvernements, la société civile, le secteur privé et les organisations communautaires
Article paru dans le quotidien Express de Madagascar en date du 24/06/2015
Le trafic de la biodiversité menace l’environnement. Une ruée de la population locale vers l’aire protégée de Maromizaha à Moramanga, constitue un réel danger Article paru dans le quotidien "l'express de Madagascar" en date du 15/07/2014 Auteur : Vonjy Radasimalala
Malgré l’annonce de la poursuite de la dégradation de l’environnement, la bonne nouvelle existe. Et elle vient de la mangrove et des forêts de palétuviers.
Après la vision de Durban de 2003, l’État lance un nouveau défi qu’est de tripler les aires protégées. Plusieurs obstacles restent à franchir pour y parvenir. Les aires protégées marines et côtières (AMPC) seront à multiplier par trois. Ce nouveau défis que nous avons lancé sera évalué au prochain sommet mondial des parcs dans dix ans. C’est la principale nouvelle apportée par le Président de la République, Hery Rajaonarimampianina, hier à Ivato, après le sixième sommet mondial des parcs tenu à Sydney cette semaine
La vente de carbone commence à rapporter aux communautés locales. L’accompagnement et la pérennisation de ces bénéfices est une autre paire de manches.
Interpellation. Cent millions de dollars, telles sont les dépenses engagées lors de la reconstruction suite au passage du cyclone Enawo à Madagascar. « Une telle somme devrait être affectée à la construction des infrastructures contribuant au développement du pays », a souligné le général de corps d’armée Herilanto Raveloharison, ministre de l’Économie et du plan pendant la journée dédiée au reboisement de son département.
Le parc Mantadia est actuellement inaccessible après le passage du cyclone Enawo, d’après le communiqué de Madagascar National Parks. En effet, le parc a été fermé à cause de plusieurs éboulements et de la destruction d’une passerelle qui se sont produits, la semaine dernière. Les reconstructions ont déjà commencé, vendredi. Pour le moment, les circuits Indri 1 et Indri 2 sont fonctionnels. En tout cas, le parc d’Analamazaotra est ouvert aux touristes, mis à part le pont qui est encore interdit de passage car il a été détruit à 70 %. « L’entrée du parc est ainsi déplacée provisoirement à environ 1km en amont de la zone de service, au niveau de l’entrée habituelle, en face de la bifurcation vers Rico lodge », rapporte le communiqué. Néanmoins, les terrains s’avèrent très glissants, ainsi les visiteurs sont priés d’être vigilants sur les lieux.
Sauver le reste de la forêt de l’Est, tel est l’objectif de Madagascar National Parks et les communautés locales, sous l’appui de l’Union européenne. Le parc de Marolambo a été inauguré jeudi, à Fandriana Publié le 25/01/2016
Madagascar recense chaque année en moyenne 16 000 hectares de surfaces reboisées contre 36 000 qui partent en fumée. L’écart de 20 000 hectares suppose ainsi une perte considérable de forêts qui nécessitent un reboisement, un regarnissage et surtout une restauration. Pendant deux jours, le Bureau de coordination des actions sociales (Bucas) à Antanimena a réuni différents acteurs afin de cogiter sur les manières de réduire la consommation excessive de bois de chauffe et de charbon afin de sauver les arbres.
L’ouverture officielle de la saison de reboisement aura lieu à Andekaleka le 16 décembre. La plantation des bois d’énergie sera mise en avant, en cette saison. « Les besoins en bois d’énergie augmentent. Selon des études, une personne consomme 100 kilos de charbon par an. Les ressources forestières existant ne répondent plus aux besoins », explique Mirana Robisoa, chef de division sylviculture au sein de la direction régionale de l’Environnement, de l’écologie et de la forêt (DREEF) du ministère de l’Environnement, de l’écologie et de la forêt
Le projet « Plan d’urgence pour le site du patrimoine mondial des forêts humides d’Atsinanana » s’est terminé mais les forêts de l’Est restent toujours en péril.Objectif non atteint. Les techniciens auront beau travailler sans volonté politique, le danger continuera de guetter les ressources naturelles du pays. Le projet « Plan d’urgence pour le site du patrimoine mondial des forêts humides de l’Atsinanana » a officiellement pris fin hier, mais les forêts de l’Est ne sont toujours pas sorties de la liste du patrimoine mondial en péril. « La sortie des forêts de l’Est de cette liste ne dépendait pas uniquement des résultats obtenus par le projet. Elle dépend aussi d’autres actions qui sont du ressort des autorités », a déclaré Rintsamahefa Rabemanantsoa, responsable du projet au sein de l’Unesco
Les mangroves garantissent la sécurité alimentaire des communautés locales. Elles contribuent également à l’atténuation des effets du changement climatique.
En juin 2017, l’association écologiste Sea Shepherd lançait à Mayotte l’opération Nyamba, tortue en mahorais. Les bénévoles de l’association se déploient sur les plages afin d’apporter soutien et expertise aux pouvoirs publics et aux citoyens désireux de lutter contre le braconnage des tortues sur les plages.
D’Antalaha à l’est, jusqu’à Ambanja, à l’ouest, Albin Isaksson, Elias Sjöberg, Alexander Gustavsson et Nicklas Lautakoski, tous de nationalité suédoise, vont marcher pendant six semaines, pour relater la beauté du paysage et de la richesse de la biodiversité Article paru dans le quotidien "l'express de Madagascar" en date du 11/07/2014 Auteur : Vonjy Radasimalala
Le troisième projet de soutien du programme environnemental (PE III) n’a pas donné les résultats escomptés. Malgré cet « échec », les bailleurs de fonds veulent poursuivre l’aventure.
Une enveloppe de 101 millions de dollars dépensée dans la protection de l’environnement durant une dizaine d’années, pour une note en-dessous de la moyenne ! L’évaluation finale du troisième projet de soutien du programme environnemental (PEIII) de Madagascar tenue, hier, à Anosy, n’a pas donné les résultats escomptés. « Moins de 50% des résultats attendus dans le PE III seulement, ont été atteints », a indiqué Giovanni Ruta, économiste principal de l’environnement, au sein de la Banque Mondiale. Celle-ci a octroyé 40 millions de dollar dans ce programme et a offert une somme de 50 millions de dollar, dans la phase additionnelle du programme depuis 2011. Paru le 23/12/2015
Madagascar National Parks vient de bénéficier d’un fonds d’investissement alloué par l’institut allemand de crédit pour la reconstruction. Ce don s’élève à dix millions d’euros.
Un coup de pouce. Les aires protégées figurent parmi les grandes victimes de la crise de 2009 avec la prise d’ampleur du trafic de bois de rose. Le retour à l’ordre constitutionnel a motivé les partenaires techniques et financiers à renforcer leur contribution dans la protection des ressources naturelles et de la biodiversité.
Rendre le droit environnemental accessible et compréhensible pour le simple citoyen. Le nouvel ouvrage juridique de l’Alliance voahary gasy intitulé « La bonne gouvernance environnementale en vingt-sept études de cas-Fitondrana tsara tantana ny harena voajanahary, fanadihadiana tranga miisa fito amby roapolo », a été présenté au DLC Anosy, vendredi.
Une juridiction à créer. Face au nombre important de pollutions marines auxquelles Madagascar fait face, l’État envisage de mettre en place un tribunal spécial pour traiter des affaires liées à cette problématique. Avec cette nouvelle juridiction, des procès devraient pouvoir être menés contre les auteurs de pollution. Un atelier de formation des magistrats sur ce thème s’est tenu hier à Ambatobe.
Elevés en captivité au centre Durrell d’Ankarafantsika, des jeunes « Rere » retrouvent leur milieu naturel. Cela fait partie de la restauration écologique du lac Article publié le 14/04/2015
Madagascar est une île riche en biodiversités, en faune et en flore. Ses espèces sont actuellement en voie de disparition. Les responsables des sites protégés et les gardiens forestiers font tout leur possible pour les préserver. Mercredi dernier, quatre personnes ont été appréhendées par les gardiens des forêts, chassant 12 lémuriens. Onze d’entre eux sont des Indri indri et le douzième est un Propithecus diadema, dans la forêt de Savorobe Iaroka commune rurale d’Andasibe.
Le programme de renforcement des conditions et de capacité d’adaptation aux changements (PRCCC) est en cours de mise en œuvre. Hier, une convention de don de 8 millions d’Euros a été signée par le Gouvernement représenté par le ministre des Finances et du Budget, Gervais Rakotoarimanana, avec l’Union Européenne et un don de 1 million d’Euros, signé avec la coopération allemande, ou GIZ (Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit). En effet, plusieurs interventions sont prévues dans le cadre de ce Programme dédié aux régions Analamanga, Boeny et Diana, pour une période de quatre ans. D’après le ministre de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts, Johanita Ndahimananjara, des appuis pour les populations locales et régionales seront opérés, après la mise en place de structure pour la mise en œuvre du Programme.
Le problème du changement climatique touche de nombreux pays à travers le monde, y compris Madagascar. Un problème dû à la dégradation environnementale qui constitue un élément clé en termes de survie. Notre environnement est considéré comme notre support de vie par toutes ses composantes : l’air, l’eau, l’atmosphère, les roches, les végétaux, les animaux… Toutefois, l’écosystème est fortement affecté par les activités humaines, le milieu naturel comme l’air, le sol et l’eau sont massivement pollués. En guise de sensibilisation en terme d’environnement une grande marche est prévue se dérouler ce jour dans diverses régions de la Grande Ile (Antananarivo, Morondava, Tuléar, Ambilobe…). « Une Heure pour la Terre » est un mouvement environnemental mondial lancé par le WWF en 2007 adopté par Madagascar. Il consiste à faire un geste envers la planète pour aller à l’encontre du changement climatique célébré simultanément dans 172 pays. Des citoyens des villes de Tana, Tuléar et Morondava sont ainsi invités à rejoindre des marches et partager ces éco-gestes à travers des banderoles, des affiches, des déguisements et même à travers la danse ou la musique. La lutte contre le changement climatique n’est pas seulement l’affaire des grandes organisations ou des gouvernements, mais c’est la responsabilité de tous. L’espèce humaine doit prendre conscience de ces actes et faire de petits gestes individuels en faveur de l’environnement.
Que peut-on faire pour assurer la survie à long terme de l’incroyable biodiversité malgache – potentiellement un atout économique clé pour le pays ?La réponse se trouve dans la société civile malgache, en particulier ses communautés locales, écrit Russell Mittermeier, président du groupe de spécialistes des primates de la Commission de survie des espèces (SSC) de l’UICN.
Article en anglais et était paru le 21 février 2019
Alors que la nuit tombe sur les forêts tropicales basses de Madagascar, des feuilles mortes et en décomposition trouvent une nouvelle vie, se déployant lentement dans la lumière qui disparaît. Mais alors que quatre pieds écailleux et des yeux larges et ininterrompus émergent derrière le voile plissé, les feuilles révèlent leur véritable identité : ce sont des geckos à queue de feuille, maîtres incomparables du déguisement. Aujourd’hui, les chercheurs ont décrit une espèce de ces lézards secrets totalement nouvelle pour la science, découverte dans un coin protégé de l’île.
Une nouvelle colonie de baleine bleue a été révélée au monde par des chercheurs durant la semaine du 28 décembre. Découverte de première importance, elle serait une habituée des eaux malgaches. Elle est actuellement menacée. Elle a été découverte grâce à un cri récemment enregistré, toutefois des vérifications sont encore menées.
La conservation de la biodiversité s’inscrit dans le processus de développement de beaucoup de pays dans le monde. La situation est tout autre dans la Grande Île. La richesse de notre de biodiversité est devenue problématique.
La maison d’exposition et d’éducation environnementale a été inaugurée à Tsimbazaza hier. Une infrastructure qui a pour rôle d’aider les malgaches à mieux connaître ses richesses en biodiversité et à s’en approprier.
« On estime à 28 000 le nombre de lémuriens gardés comme animaux domestiques à Madagascar depuis 2010 », selon l’ONG américaine Pet Lemurs Survey, lors d’une conférence sur les études menées par le Dr Kim Reuter et son équipe sur ces primates, organisée le week-end dernier au Chill Out Café d’Ambondrona. Il résulte que le but de cette étude consiste à recueillir des données auprès du grand public au sujet de ses expériences avec des lémuriens domestiques à Madagascar.
L’éthanol est en pleine promotion à Madagascar, en tenant la place d’un combustible écologique et rentable pour les foyers malgaches, comme alternative au charbon de bois. L’éthanol est un alcool composé d’oxygène, d’hydrogène et de carbone. Il est issu de la fermentation du sucre ou de la conversion de l’amidon que contiennent le manioc, céréales et d’autres matières agricoles ou agroforestières. Article publié le 10/08/2016
La gouvernance et la transparence. Tels sont les leitmotive du nouveau Directeur général de l’Office National pour l’Environnement (ONE), en la personne de Ampilahy Laurent depuis sa prise de fonction le 25 avril 2019
Les exploitants forestiers entendent tenir un sit-in demain devant le ministère de l’Environnement. Les différentes associations regroupées au sein de cette filière se plaignent que des permis ont été octroyés, pourtant cela ne devrait pas avoir lieu. Ces exploitants forestiers de rappeler également que le ministre avait annoncé lorsqu’il a pris son poste un an de cela, qu’il n’y aurait plus d’autorisation de permis délivrée, ce qui n’est pas le cas. Ils revendiquent, en outre, que les redevances qu’ils ont déjà payé soient remboursées au cas où leurs biens, plus précisément leurs bois ne soient pas restitués. Mais le problème c’est qu’il y avait eu un changement au niveau de ce ministère. Une affaire qui attend la nouvelle ministre mais qui a concerné plutôt son prédécesseur. L’on se demande toutefois, si le meeting va encore avoir lieu avec cette nouvelle tête au ministère de l’Environnement ?
A Madagascar, cela fait plus de deux ans que l’exploitation des crabes des mangroves (Scylla Serrata) n’a pas eu droit à une fermeture, même pas une petite semaine de pause. Une situation qui a impacté négativement sur la production, que ce soit en qualité ou en quantité selon les opérateurs. Ainsi, l’équipe du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP), menée par le Directeur de cabinet Lova RAMAROSON est venue rencontrer les acteurs de la filière à Mahavatsy II, Tuléar. Le but de cette visite est d’informer tous les opérateurs que désormais, l’arrêté 14 274/2019 sur la règlementation de l’exploitation des crabes des mangroves, stipule la suspension de toutes les exploitations du Scylla Serrata du 10 août au 31 octobre 2019. Une initiative du MAEP qui a ravi les exploitants de la filière crabe puisque selon ces derniers, deux mois et vingt jours ne peuvent que préserver la durabilité de cette filière.
L’Institut national des sciences et techniques nucléaires a affirmé qu’en général, l’existence de l’exploitation d’Ilménite à Mandena ne représente pas des risques vis-à-vis de la population environnante, les débits de dose mesurés sont inférieurs à la limite réglementaire en vigueur à Madagascar.
Dorénavant, le permis de gré à gré va être remplacé par le permis par voie d’adjudication ; c’est ce qui a été suggéré par les participants à l’atelier sur le bois qui s’est achevé le 21 novembre 2014 à Mahajanga
Reboisement avant coupure. Telle est la mesure prise par le ministère de l'Environnement et du développement durable pour la reprise de l'exploitation de bois précisux suspendue depuis janvier. Le ministre Alexandre Georget a partagé cette information lors d'une conférence de presse sur la présentation des cent jours du ministère sous son égide. " Il est impossible de faire une exploitation de bois sans faire du reboisement. C'est la base de reboisement qui va déterminer le fait de reprendre ou non l'exploitation", souligne le ministre.
L’exploitation, la circulation et l’exportation des produits forestiers, notamment les bois ordinaires issues des forêts naturelles ont été suspendues depuis le mois de janvier 2019. Hier, le ministère de l’Environnement et du Développement durable a assoupli ces mesures et a annoncé lors d’une conférence de presse que dans cinq régions : Bongolava, Alaotra Mangoro, Sofia, Analanjirofo et Melaky, 16 exploitants sont autorisés à procéder à l’évacuation de leurs stocks.
Face à la prolifération des exploitations illicites de ressources halieutiques, dont les concombres de mer, ou holothuries, dans la Grande île, le ministère de la Pêche et des ressources halieutiques a pris la mesure de suspendre temporairement toute forme d’exploitation des holothuries. Une décision en ce sens a été prise, hier, indique un communiqué du ministère. Ainsi, toute activité de pêche, de collecte et autres activités connexes sont suspendues jusqu’à nouvel ordre. Paru le 06/01/2016
Des campagnes de reforestation s’opèrent à Ambatovy. 7 hectares de surface ont notamment été reboisés vendredi dernier à Antanimietrikely, dans la partie Sud du site. Les riches espaces forestières rattachées à l’exploitation minière sont périodiquement sujets à de tels travaux, et ce depuis 2011. D’après les responsables de la société minière, le but est précisément de protéger et de conserver ce capital environnemental lié à leur site. Les activités de reforestation sont d’ailleurs faites annuellement par les exploitants miniers eux-mêmes, avec le concours des employés du ministère de tutelle (ministère en charge des Mines et du Pétrole) et les autres parties prenantes. Selon toujours les explications, le reboisement de vendredi consistait à des travaux de regarnissage des plants datant de 2015. Ceci cadre également avec l’objectif de la compagnie pour 2017, consistant à enrichir la densité de la plantation. 500 nouveaux plants environ ont ainsi été mis en terre pour remplacer ceux qui sont morts lors des campagnes précédentes. Ils sont composés de diverses espèces autochtones, à l’exemple du Voretra, du Volomborona, du Molotrangaka, ou encore de l’Ambovitsika.
Dans le nouveau site d’Ambodivoahangy dans l’Analanjirofo, sous la responsabilité de Madagascar National Parks, l’exploitation de rubis est strictement interdite. Mais depuis deux mois, l’État perd le contrôle de la situation, une grande ruée étant constatée du fait que les forces de l’ordre participent largement à cette violation de la loi Il y a deux mois, trois jeunes garçons dont un handicapé mental sont venus à Tanandava, dans le district d’Ambatondrazaka avec cinq petites pierres rouges. Ils les ont vendues à juste 150 000 ariary à un opérateur agricole. Ce dernier ne manque pas de leur demander de lui en rapporter. Satisfaits de ce prix car ignorant la valeur des pierres, les trois garçons retournent dans la forêt d’Ambodivoahangy, commune d’Ambodimangavalo, mais cette fois ils ne sont plus seuls. L’acheteur engage des espions pour les surveiller. Article paru dans l'hebdo du 30/08/2015
Une forte délégation malgache défendra le sort de la filière crocodile à la conférence des parties de la Cites. La chance serait minime pour la levée du moratoire
L’exportation de peau de crocodile sera encore sous embargo, c'est-à-dire que contre toute attente, le pays ne pourra pas encore exporter ce produit selon la décision de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 14/07/2014 Autur : Fanjarivo
Les bois précieux présentent un enjeu financier considérable pour l’économie nationale. Grâce à leur valeur marchande très élevée et la hausse incessante de la demande sur le marché international, la tonne de bois de rose est à 9 000 Euros contre 6 000 Euros en 2006 Article paru le 21 mai 2016
Une plateforme de discussion et de réunion en ligne a été déjà mise en place par le collège Commerce au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toamasina.
Les ressources forestières ne cessent de diminuer, et ce, à grande vitesse en raison des fortes pressions humaines. En conséquence, la biodiversité composée entre autres, des espèces faunistiques et floristiques, y compris les sources d’eau et la qualité de l’air, se dégrade de plus en plus. Puis encore, les produits de rentes destinés à l’exportation subissent les aléas du climat et n’atteignent plus la qualité exigée par le marché international. Face à cet état de fait, Faly Rasamimanana, directeur général de Faly Export, qui plus est, vice-président du collège Commerce au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toamasina, a pris l’initiative de mener des actions visant à l’équilibre de la biodiversité. En effet, « cela garantit la compétitivité des produits d’exportations face à la tendance du marché international de plus en plus stricte notamment en matière de respect de l’environnement », a-t-il expliqué lors d’une entrevue avec la presse.
Le réchauffement climatique n’est pas seulement un problème, c’est aussi une multitude de solutions. Des opportunités qui ont d’ores et déjà émergé dans différentes entités telles que la société civile, les entreprises, les collectivités et même chez les individus.
Certains possèdent une portée locale, d’autres exerceront une influence planétaire. La plupart d’entre eux permettent non seulement de faire face au réchauffement climatique, mais aussi de renforcer la société. Le coup de froid en été, la chaleur ardente en hiver, c’est le dérèglement climatique que l’humanité vit actuellement.
Dans le nord de Madagascar, les défenseurs de l'environnement sont inquiets. Les tests d'extraction du tantale continuent à proximité d'une aire protégée. Le tantale est un minerai rare, utilisé en électronique, et son extraction est très polluante. Inquiétude également des militants par rapport à ce qu’ils considèrent être des tentatives d'intimidations contre certains de leurs membres.
La Foire Internationale de Madagascar a pris fin hier au Parc des Expositions Forello, Tanjombato.
Une manifestation placée sous le signe de l’innovation pour la grande majorité des participants qui se sont déclarés satisfaits de cet événement économique ayant fêté son dixième anniversaire, cette année. A l’instar de GASYPLAST, spécialisée dans la transformation de matières en plastique, qui a lancé avec succès le sac biodégradable fait à base d’amidon nature.
A la veille de la finalisation de son schéma régional de la Formation agricole et Rurale ou FAR, le CRFAR Analamanga entend apporter sa contribution dans la protection de l’environnement et au développement
des sources de revenus des producteurs agricoles par la mise en place d’un Arboretum le 06 Mars dernier à Antanetibe Mahazaza du District d’Ambohidratrimo. Des milliers de jeunes plants forestiers et fruitiers en sont diffusés.
Les ignames figurent parmi les principaux produits de l'agriculture dans plusieurs pays africains dont Madagascar. Dans la Grande Ile, les ignames cultivées qui ont été introduites avec la banane par les premiers migrants, sont actuellement des plantes négligées et leur culture a périclité aux dépens du riz ou d'autres tubercules plus faciles à cultiver et pourtant moins intéressants du point de vue nutritionnel comme le manioc ou la patate douce.
Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 10 septembre 2013
Le déclin des espèces sauvages va à un rythme effréné ces dernières décennies, et l’index d’extinction montre une très forte accélération pour les vertébrés avec la disparition de plus de la moitié des populations de poissons, d’oiseaux, d’amphibiens, de reptiles et de mammifères, depuis 1970.
La préservation des espèces constitue, une des principales causes de la protection de la biodiversité. Les statistiques prouvent que les menaces d’extinction ne sont pas de simples théories mais des réalités existantes. L’extinction des espèces continue et s’amplifie pour devenir l’un des problématiques à l’échelle mondiale en ce début du 21è siècle. Près de 80% de la biodiversité malgaches en sont menacées. La situation semble beaucoup plus grave selon le département de biologie et de conservation de l’université de Berkeley en Californie, qui a publié dans le magazine américain « Science » que 2 315 espèces de faune et de flore malgache sont à protéger dans les meilleurs délais. Le rapport national de suivi des Objectifs Millénaire du Développement a, par contre, précisé que 75 espèces de poissons, 62 mammifères, et 281 végétales endémiques de Madagascar sont menacées.
Dans la continuité des activités menées depuis plus de 13 ans en milieu rural par l’association Jardins du Monde, et pour célébrer les dix ans de l’association AVUPMA, un événement majeur organisé en lien avec la DRS Diana intitulé « La santé par les plantes » est organisé le 23 avril prochain à Antsiranana
La 6e édition du « festival Angonoky », dédiée à l’espèce de tortue du même nom, a réuni le tout Soalala du 3 au 5 décembre 2015. Paru le 9 décembre 2015
La 6ème édition du festival Angonoky s’est déroulée à Soalala du 3 au 5 décembre derniers, un festival dédié à la tortue à éperon, l’animal fétiche des habitants locaux. Depuis quelques années, la protection de cette espèce est la raison d’être du Cofas ou Comité d’Organisation du Festival Angonoky, dans le district de Soalala. Les Angonoky captivent l’attention de ces derniers non seulement grâce à leur endémicité mais surtout parce qu’ils sont sujets à l’extinction. Actuellement, les trois pressions que ces chéloniens subissent s’accélèrent, à savoir les feux de brousse, le défrichement et les trafics illicites, les vouant, d’ici peu, à la disparition totale.
Le festival Indri vise à mobiliser des actions de sensibilisations pour la préservation de cette espèce fascinant qu'est l'Indri Indri tout en développant un Tourisme Communautaire Durable.
La petite bourgade d’Andasibe, très connue aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale par son parc national portant son même nom sera en fête à compter du 1er au 3 novembre 2019. En effet, le festival Indri-Indri y sera organisé durant cette période. Cette année encore, la conservation de cette espèce de lémuriens y sera à l’honneur ! Cet animal au pelage soyeux est le plus grand lémurien de la Grande Ile.
À l'initiative de : CETAMADA, une association de droit malgache pour la protection des mammifères marins et leur habitat, qui apporte son appui scientifique et environnemental ; L’OFFICE DU TOURISME DE SAINTE MARIE, (OTSM) organisme privé, ayant comme mission le développement touristique de l’île de Sainte-Marie ; La POPULATION LOCALE, actrice historique et sédentaire, côtoyant depuis toujours ces baleines séjournant de juin à septembre dans les eaux côtières d’une île authentique et hospitalière.
LE FESTIVAL DES BALEINES qui se déroulera du 8 au 16 juillet 2017 pour sa troisième édition est une occasion unique de fêter ces mammifères marins qui migrent chaque année vers les eaux chaudes et peu profondes de NOSY BORAHA ( île Sainte-Marie) au cœur du sanctuaire de l'Océan Indien.
À l'initiative de : CETAMADA, une association de droit malgache pour la protection des mammifères marins et leur habitat, qui apporte son appui scientifique et environnemental ; L’OFFICE DU TOURISME DE SAINTE MARIE, (OTSM) organisme privé, ayant comme mission le développement touristique de l’île de Sainte-Marie ; La POPULATION LOCALE, actrice historique et sédentaire, côtoyant depuis toujours ces baleines séjournant de juin à septembre dans les eaux côtières d’une île authentique et hospitalière.
LE FESTIVAL DES BALEINES qui se déroulera du 8 au 16 juillet 2017 pour sa troisième édition est une occasion unique de fêter ces mammifères marins qui migrent chaque année vers les eaux chaudes et peu profondes de NOSY BORAHA ( île Sainte-Marie) au cœur du sanctuaire de l'Océan Indien.
Le Festival des Baleines se tiendra du 11 au 14 juillet 2019, à Sainte-Marie. Cette 5e édition sera placée sous le signe de la protection de l’environnement.
En effet, les touristes, locaux et internationaux, pourront observer les mammifères marins durant ces quatre jours, tout en s’impliquant avec les communautés dans la préservation de l’environnement. La découverte du potentiel touristique de Sainte-Marie n’est pas en reste. Comme à l’accoutumée, le Festival des Baleines alliera tourisme avec une sortie en mer, sport pour ne citer que le trail, la course VTT, le Beach Soccer, la Zumba Géante et les Courses Pirogue, ainsi que l’éducation avec le CINEMADA. La promotion de la culture, suivie de nombreux divertissements, n’est pas en reste. Toutes les activités tourneront autour du thème « Baleines et Recyclage », selon les explications des organisateurs.
"Apprenons ensemble à protéger l’environnement et le milieu marin par le biais de l’Education au Développement Durable », c’est le message à véhiculer pour la participation du ministère de l’Education Nationale à la deuxième édition du festival des baleines."
38 espèces de lémuriens endémiques de Madagascar seraient actuellement en danger critique.
Signé Groupe d’Etudes et de Recherches sur les Primates (GERP), le festival mondial des lémuriens est prévu se dérouler du 21 au 25 octobre prochain. Un évènement qui se veut cette fois-ci être unique étant donné que son organisation entre dans le cadre de la célébration du vingt-cinquième anniversaire du GERP. Portant la casquette d’évènement culturel et éducationnel, le festival mondial des lémuriens est organisé dans l’objectif de renforcer les campagnes de sensibilisation déjà effectuées auprès des malgaches sur l’importance de conserver les lémuriens malgaches. Majoritairement endémiques, ces derniers sont qualifiés d’espèces en danger d’extinction. Une situation qui risquerait d’être irréversible si des mesures concrètes ne sont pas prises par tous les acteurs. Les activités humaines telles que les feux de brousse, la culture sur brûlis ou encore les exploitations sauvages des ressources naturelles détiennent les premières places de la longue liste des causes avancées par les scientifiques et les simples observateurs.
Le Groupement d’étude et de recherche sur les primates (GERP) célèbrera le Festival mondial des lémuriens les 28 et 29 octobre. Une célébration qui est à sa troisième édition. Sur les différents thèmes véhiculés, l’accent sera mis sur l’éducation environnementale.
La préservation des aires protégées marines a connu une grande avancée à Ambodivahibe, région Diana, grâce à l’adhésion des communautés locales. Une grande manifestation s’y tiendra la semaine prochaine, avec des activités touristiques et culturelles au programme. Article publié le 11/04/2017
Ce festival, organisé par la Région DIANA, l’ONG C3 et le CNGIZC (Comité National de Gestion Intégrée des Zones Côtières), a pour objectif de sensibiliser la population et les acteurs concernés à la protection de cette richesse
« Une tortue marine morte c’est une centaine d’œufs qui disparaissent, protégeons notre richesse », tel était le thème cette année du festival des tortues marines qui s’est déroulé le 4 et le 5 décembre à la mairie de Diego Suarez et à Ampasindava. Le parc marin de Nosy Hara était à l’honneur
Benohery Wilson Andriambololona, Directeur de la Valorisation des Ressources Forestières auprès du Ministère de l'Environnement, a été l'invité de l'émission "Ambarao", animée par Prisca Rakotomalala, sur Alliance 92
Depuis plusieurs années, Madagascar s’enflamme à grande vitesse. Environ 2 Millions d’hectares de forêts disparaissent dans toutes les régions malgaches chaque année. A cause de ces nombreux feux de brousse ainsi que des feux provoqués par les briques de constructions, l’île rouge souffre d’un changement climatique indifférent. Une solution s’annonce possible pour le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable face à la lutte contre ces feux de brousse. Une délégation composée du ministre ainsi qu’un conseiller technique s’est rendu à La Réunion vers la fin du mois d’Octobre pour une négociation. Un lobbying entre le MEDD ainsi que les autorités de l’île voisine s’avère être fructueuse.
74 zones affectées par des feux de brousse ont été identifiées le 10 août dernier par le système d’alerte de feux. Il s’agit de photos satellite capturées grâce au projet de collaboration entre différentes entités internationales. Elles montrent à quel point des aires protégées sont affectées par les problèmes de feux de brousse
Article paru dans le quotidien La gazette de la grande île le 13/08/2013
Depuis le début de l'année, le suivi en temps réel a permis de constater que les points des feux de brousse détectés à Madagascar ont régressé par rapport à l'année 2018.
Troisième source de devises de Madagascar dans les années 1940, le miel peine aujourd’hui à retrouver sa valeur économique. Le manque de structures, de professionnalisation et de politique apicole sont les principaux blocages, comme l’explique Fidy Andriamamonjy Harijaona, consultant en apiculture et président d’Apimadagascar.
Une conférence découverte axée sur les vertus médicinales et les dimensions socio-culturelles, anthropologiques et économiques du Bois, s’est tenue hier de 15h à 16h à la Maison de la Science à Ankaditapaka. Elle entre dans le cadre de l’exposition temporaire sur « le Bois et le Patrimoine » se tenant depuis le 1er mars jusqu’au 31 août 2017.
L’un des événements qui auront marqué le mois d’août dernier a été sans conteste l’incendie de la forêt d’Amazonie, considérée comme le poumon de la planète Terre. A Madagascar, les incendies sont monnaie courante aussi bien en ville que dans les campagnes avec les fréquents feux de brousse. Les images publiées par la NASA sont éloquentes quant à l’ampleur de ces incendies, laissant imaginer des dégâts sur l’environnement et les ressources abritées par la forêt. Le mois d’août a aussi vu le prix du charbon flamber, avec de multiples hausses du prix du sac.
Un atelier de formation s’est tenu à l’ESPACE MiouMiou Toamasina du 08 au 11 Septembre 2015. Le but est de faciliter l’accès au marché du litchi des petits producteurs de Madagascar et d’améliorer la vie des producteurs en considérant l’aspect genre. 50 producteurs participent à cette session de formation.
La France, la Réunion, Maurice, le Japon, les autres pays membres de l’Union Européenne et les Etats-Unis sont les principales destinations de notre production apicole. En dépit de l’existence de la maladie varroase affectant la filière apicole dans plusieurs régions de la Grande île, des coopératives de paysans apiculteurs et des entreprises privées continuent d’ exporter du miel.
La politique nationale de la filière bambou est actuellement élaborée et a été étudiée par l’ensemble des acteurs de cette filière pour être validée. Une politique qui servira de cadrage pour le bambou dont on recense plus d’une trentaine d’espèces encore mal exploitées à Madagascar, comme l’a soutenu le directeur général des forêts, Éric Rabenasolo, à Ankerana, hier.
Après l'atelier de validation de la politique et stratégie nationale de développement de la filière bambou en mars dernier, à la résidence Ankerana, "le document y afférent est actuellement en attente du conseil des ministres pour être officialisé, probablement pour cette semaine", de source auprès de la Direction de la Valorisation des Ressources Forestières (DVRF), hier à Nanisana.
« Pour une filière cacao durable à Madagascar ». Tel est le thème du séminaire sur le cacao qui se déroulera au Carlton à partir de demain. Organisé par le Conseil National du Cacao, le séminaire verra la présence de Jean Marc Anga, Directeur de l’Organisation Internationale du Cacao.
L’Organisation internationale du cacao (ICCO) qui regroupe les producteurs et les consommateurs de cacao offre aux membres toute une palette de services. Citons les ateliers de formation sur la maîtrise de la culture et les bonnes pratiques de culture, la certification, les conférences régionales et internationales pour mieux s’imprégner de la réalité du marché et de son évolution… Article paru le 22 août 2015
La filière du crabe Scylla serrata, basée sur l’exploitation traditionnelle de cette ressource au cœur des mangroves, a montré ces dernières années une bonne dynamique de développement. Mais cette pêcherie est également caractérisée par une forte mortalité des crabes manipulés à diverses étapes de sa chaine de valeur. Selon l’étude de filière réalisée par le Programme SmartFish, le taux de mortalité cumulé atteint le niveau moyen de 32% pour le pays entier Publié le 25/01/2016
La valeur économique des 1 300 tonnes de crabes enregistrées annuellement au niveau national est estimée à 4 500 000 euros. Selon les statistiques disponibles, pour la période 2012-2013, le taux de mortalité post capture tourne autour de 32%, et peut s’élever à 40 – 50% durant la saison des pluies
La crevette de Madagascar ne représente que 1% de la production mondiale, avec une production annuelle située entre 7000 et 9000 tonnes. Toutefois, ce 1% fait partie des meilleurs crevettes du monde. La majorité de la production crevettière malagasy est destinée à l'exportation des Etats-Unis, la Chine, le Japon, l'Afrique du Sud, la France, l'Espagne, le Portugal, l'Italie, l'Angleterre ...
Après un moratoire depuis 2010, les intervenants de la filière crocodile pourront dorénavant développer leurs activités. La CITES a reconnu les efforts déployés pour améliorer la gestion. Article paru dans le quotidien "l'express de Madagascar" en date du 17/07/2014
La particularité de Madagascar, outre le fait de combiner une biodiversité endémique mondialement reconnue et un niveau de pauvreté élevé et récurrent, est d’avoir mis en place une politique environnementale ambitieuse. Appelée Plan National d’Actions Environnementales, elle a été développée dès 1990 et a consisté à coordonner l’action des bailleurs de fonds en vue d’une part de créer les institutions de gestion de l’environnement et, d’autre part, de proposer des solutions de gestion durable de la biodiversité à travers des projets spécifiques…
Les apiculteurs ruraux de Mangaika se sont professionnalisés dans la filière en partenariat avec le secteur privé. Ils se tournent actuellement vers La Réunion. Ceux qui ont traversé la route nationale 12A connaissent bien le village de Mangaika dans la commune rurale d’Ampasy Nahampoana, très connu pour sa production de miel Article paru le 23/03/2016
Les stands ayant proposé des plantes ornementales ont foisonné lors de la dernière Foire de l’économie rurale ou Fier-Mada au début de ce mois à Mahamasina.Un cactus d’une dizaine de centimètres orné d’une belle tête ronde de couleur rouge ou jaune y était proposé à 15 000 Ar. De quoi offrir aux horticulteurs un revenu décent. Et les clients potentiels étaient ravis, rien que pour contempler les merveilles pouvant orner les jardins et cours. L’homme a toujours tout fait pour retrouver le jardin d’Eden. Les plantes constituent un des moyens pour y parvenir. Par la même occasion, l’homme a causé, volontairement ou non, la dissémination de nombreuses espèces floristiques
A peu près 10% des pêcheurs de la région Anosy bénéficient du soutien de la compagnie minière Rio Tinto QMM. Plus de 760 pêcheurs de Libanona, Ambinanibe, Andrakaraka, Lanirano et Evatraha ont reçu des appuis financés par cette compagnie.
D’après la direction régionale de la pêche et des ressources halieutiques, la région compte environ 8 000 pêcheurs. Cette direction fait partie des acteurs concernés par le soutien aux pêcheurs. De 2008 à 2012, QMM a mis en place un programme de développement pour accompagner les communautés riveraines de ses sites miniers. La promotion de la filière pêche en fait partie. Et depuis mars 2013, un programme baptisé « Passerelle » apporte des améliorations et réajustements au 1er programme pour établit une charte des responsabilités déterminant les rôles de chaque partenaire-clé. La mise en œuvre de ce programme a été signée sous l’égide de la région Anosy en mars 2014. « Passerelle » s’explique par la nécessité de maximiser les retombées positives de la présence de QMM auprès des communautés de base dont les pêcheurs
Afin de combattre l’insécurité alimentaire, la production de ricin doit être mieux exploitée. Les partenariats se forment pour la promotion. La production à augmenter. « Le ricin est sous exploité bien qu’il soit une source de revenu prometteuse pour la population qui le produit », a mentionné Hasina Rakotobe, gérante du cabinet Esprit d’entreprise (EDE), spécialisée dans cette filière. Cette sous-exploitation est souvent due à un manque d’expertise ou de matériel de production en général
L’acquisition de ces équipements de laboratoire fait partie intégrante des dispositifs mis en place par le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, pour éradiquer les cas de refoulement aux frontières de nos produits d’exportation.
Située dans la partie Est de Merimanjaka, la forêt protégée d’Antsapia est la pharmacie de la région, surtout dans le versant oriental du Fanongoavana. « Il est possible d’en faire un parcours touristique », reconnaît Fréderic Randrianjafy. Au bout des allées entre les monts et les bois se trouve un endroit sacré, le tombeau d’Andrianefitany. « Lors des fêtes liées au calendrier lunaire, des demandeurs de bénédiction viennent ici. Il arrive qu’ils font la veillée festive ici, le tsimandrimandry », ajoute le natif d’Amoronkay, également spécialiste des plantes médicinales qu’il conserve jalousement dans un cahier.
.« Même moi, il ne me donne pas le droit de fouiller dans son cahier », ironise son fils . Quand on lui pose la question, quand il va léguer tout ce savoir et à qui, Fréderic Randrianjafy répond d’un ton solennel. « Je suis encore en train d’y réfléchir ».
Hier dans les locaux de la Fondation Tany Meva à Ambatobe, 10 projets environnementaux à forts impacts socio-économiques ont été récompensés par l’octroi de financement, scellé par la signature de conventions entre la fondation et les promoteurs de projet hier.
La Fondation Tany Meva est une institution de financement durable de projets à vocation environnementale et à but communautaire par la génération de ressources financières et le financement de projets.
Quatre programmes bien distincts sont développés par la Fondation Tany Meva, incluant la gestion durable des ressources naturelles, l'énergie, l'éducation environnementale appliquée et reboisement-reforestation. Dans ces programmes, il y a des projets que la fondation finance, subventionne ou dans lesquels elle intervient
La Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM) est née au lendemain du dernier congrès mondial des parcs à Durban en 2003. Bientôt âgée de 10 ans, la FAPBM est aujourd’hui la première fondation environnementale d’Afrique subsaharienne avec un capital de 52 millions USD.
La participation de la délégation malgache conduite par le ministre de l’Environnement Anthelme Ramparany à la 5e Assemblée générale du FEM (Fonds pour l’Environnement Mondial) qui s’est tenu à Cancun (Mexique) du 28 au 29 mai dernier a porté ses fruits. En effet, le FEM vient d’accorder à Madagascar une enveloppe de 30 140 000 Usd à titre de don pour les 4 ans à venir Article paru dans le quotidien "Midi madagasikara" en date du 07/07/2014
Le Fonds pour l’environnement mondial vient en aide à cinq aires protégées de la région Boeny. En effet, le fonds en question vient d’accorder un financement de 4,5 millions USD en faveur du capital de la Fondation pour les aires protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM). Un geste qui a été chaleureusement accueilli par le numéro Un de ladite fondation. « Nous sommes reconnaissants au Fonds Mondial pour l’Environnement et à Conservation International pour leur généreuse donation. Depuis 15 ans, nous rêvons d’un Madagascar plus vert, et nous souhaitons ardemment préserver notre biodiversité unique pour les générations futures. Nous nous efforçons d’assurer la durabilité de notre financement. Aujourd’hui, grâce à cette contribution, nous nous rapprochons de cette vision. À partir de 2022, les intérêts de ce fonds de dotation financeront les aires protégées du Boeny pour environ 130 000 USD par an, couvrant ainsi 50 % de leurs charges récurrentes», a lancé Alain Liva Raharijaona, Directeur Exécutif de la FAPBM. Ainsi, le fonds de dotation devrait générer des revenus annuels à travers lesquels le financement durable de cinq aires protégées, d’une superficie de plus de 580 000 Ha de la région en question pourrait s’effectuer. Une initiative qui arrive à point nommé face aux pratiques telles que la déforestation, les feux de forêts, les cultures itinérantes sur-brûlis, la convention des terres pour l’agriculture de subsistance ou encore l’abattage des arbres pour la production de charbon. Mais surtout face au manque manifeste de financement dont sont victimes les cinq aires protégées de Boeny, à savoir : le parc national d’Ankarafantsika, le parc national Baie de Baly, le Complexe Mahavavy Kinkony, le site Bioculturel d’Antrema et enfin le site Bombetoka Belobaka. Un manque de financement qui impacte de façon conséquente sur les activités de conservation mais surtout sur les actions sociales en faveur d’alternatives sociales pour la population.
Les exploitations illicites ont repris dans la forêt de Didy, d’après les informations retransmises par le secrétaire d’Etat de la gendarmerie, le général Randrianazary, hier au cours d’une conférence de presse à Betongolo
Dans le cadre de la mise en œuvre au sein de la Direction Générale des Douanes (DGD), du Projet d’Appui pour la Gouvernance Institutionnelle (PAGI) et faisant suite au Protocole d’Accord entre la Direction Générale de l’Environnement et (DGE) et la Direction Générale des Douanes (DGD), le module de formation sur les Substances Appauvrissant la couche d’Ozone est dispensé aux Douaniers par Mr Rivo RABEMANANJARA, Point Focal National Ozone du Bureau National Ozone au sein du Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts (MEEF).
C'est une formation organisée par l'Office National pour l'Environnement (ONE), Madagascar dans le cadre du partenariat avec l'Institut royal des Sciences Naturelles de Belgique
L'atelier va se dérouler du 7 au 10 février 2012 dans la salle de conférence de l'ONE, Antaninarenina, Antananarivo
Le 14 juin 2017, la 5ème édition du Forum de la Recherche a ouvert ses portes en présence du Premier Ministre, Mahafaly Olivier Solonandrasana, de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Marie Monique Rasoazananera, de la Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Toto Lydia et de l’Ambassadeur de France, Véronique Vouland-Aneini. Etaient également présents les partenaires de l’évènement : l’Université d’Antananarivo, l‘IRD, le Cirad, le MNHN et l’OIF Article publié le 27 juin 2017
La plupart des pratiquants de la conservation des ressources forestières évoquent qu’il faut les protéger pour éviter le tarissement des sources d’eau, ou car c’est l’habitat des faunes et des flores. Mais nombreux défenseurs de l’environnement ont une autre motivation : c’est d’avoir un sentiment agréable d’être en contact avec la nature
Un feu de forêt s’était déclaré dans la forêt de Vohidrazana, à l’Est de l’aire protégée de Maromizaha, la semaine dernière. Les premières estimations font savoir que 20 ha de la forêt de Vohidrazana sont partie en fumée. L’extinction des feux a duré quatre jours.
Le Groupe d’étude et de recherche sur les primates de Madagascar (GERP) a convié la presse, hier dans la matinée dans les locaux de l’Alliane Voahary Gasy, pour un rapport sur la préservation de la nouvelle aire protégée de « Maromizaha ».
A travers cette conférence de presse, les membres du GERP attirent l’attention des Malgaches sur la situation qui prévaut dans cette forêt pluviale : des exploitations sauvages auxquelles les membres de cette association font face
Article paru dans le quotidien "la gazette de la grande île" en date du 15/07/2014
Tout au long de la RN2, l’atmosphère est toujours alourdie par les fumées. Elles proviennent pour la plupart des feux de forêts en tout genre. La rétention des pluies auraient dû amorcer un profond changement de comportement auprès de la population malgache.
La richesse et la beauté de la nature sont en décadence à Maromizaha Andasibe ! Les exploitations illicites de ressources forestières y font d’énormes dégâts, malgré la protection. La situation s’aggrave, avec l’implication des immigrants et de certaines hautes personnalités Article paru le 14/07/2014 dans le quotidien "Midi madagasikara" Auteur : Antsa R.
Les ressources naturelles sur place ne sont pas suffisamment valorisées, alors qu’elles devraient d’une manière rationnelle, servir d’alternatives pour un développement durable et sortir la population de la précarité.
La cohabitation des espèces végétales endémiques et introduites à Madagascar était au centre des débats, lors d’un atelier à l’hôtel Panorama mercredi. Organisé par le MAEP, le MEDD, le Cirad, l’Université d’Antananarivo et le FOFIFA, cet atelier était l’occasion de se concerter pour les experts nationaux et internationaux de l’environnement et de l’agronomie.
A l’occasion de la célébration de la Journée du patrimoine mondial africain, une série de conférences ont été organisées à l’Ikm (« Ivon-toeran’ny kolontsaina malagasy »), Antsahavola. Lors de son intervention, le directeur général de Madagascar National Parks, Guy Suzon Ramangason a affirmé : « Depuis août 2010 jusqu’à ce jour, les forêts humides de la Région Atsinanana sont inscrites dans la liste des patrimoines mondiaux en péril. Article paru le 13/05/2016
La superficie forestière de Madagascar est estimée à près de 12 millions d'hectares, dont le rythme moyen de déforestation est de plus de 0,5 pour cent. Or, la plupart des textes législatifs et réglementaires qui régissent le secteur forestier datent de la fin des années 1990, au mieux du début des années 2000, et ne correspondent plus aux exigences actuelles du secteur. Le projet avait pour but d’aider le Gouvernement à élaborer un code forestier, jusqu’alors inexistant, et à réviser la politique des forêts du pays, de façon à disposer de référents clairs, précis et cohérents pour guider l’action publique.
Un lémur couronné, une espèce rare et menacée de primate, est né mi-avril au Muséum de la Citadelle de Besançon. Le petit effectue ses premières sorties en extérieur, agrippé sur le dos de sa mère.
Dans le cadre de la 3ème édition du festival des lémuriens, le Groupe d'Etude et de Recherche sur les Primates de Madagascar (GERP) a organisé une conférence débat portant sur le thème « Les lémuriens et les enjeux économiques ». En ce sens, les lémuriens désignent des patrimoines naturels malgaches appelés « Varika, Babakoto ou akomba » ce sont des espèces uniques à Madagascar.
« Un arbre pour demain ». Tous les employés de la société Galana ont effectué un reboisement, samedi dernier. Effectivement, dans le cadre de la reforestation de la Grande île, un programme privé d'engagement communautaire a été mis en place en coordination avec le ministère de l'Environnement, de l'Ecologie et des Forêts, les entreprises privées ainsi que les communautés villageoises.
Aux termes d’un communiqué, il est mentionné que propriétaire d’une concession de 1000 ha de forêt à Analamanja Moramanga depuis 1991, la filiale de VISION MADAGASCAR, la société VIMA WOOD INDUSTRY est un acteur majeur dans l’exploitation forestière et l’industrie du bois Article paru dans le quotidien "la gazette de la grande île" du 11 mars 2014
Madagascar a bénéficié d’un financement de 3,9 millions de dollars du Global Environment Facility pour améliorer ou plus précisément pour renforcer la gestion des aires protégées créées récemment. Ainsi, Le ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts a consacrera ces fonds à la mise en œuvre d’un projet baptisé « Renforcement du Réseau des Nouvelles Aires Protégées de Madagascar »
7 milliards d’ariary vont être alloués à 31 gestionnaires des aires protégées dans le cadre des financements annuels. Les subventions annuelles des gestionnaires des aires protégées ont connu une hausse pour cette année. Ce sont là les propos de Gérard Rambeloarisoa, Directeur Exécutif auprès de la Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM) à l’hôtel Ibis hier, lors de la cérémonie officielle de signature des subventions desdits financements. A cette occasion, le directeur exécutif a fait un état de la situation actuelle des financements des gestionnaires des aires protégées.
Discussion mouvementée. Une quarantaine de participants, constitués de représentants des ministères et de la société civile concernés ainsi que les communautés de base ou VOI, se sont retrouvés dans un atelier multisectoriel. Le thème a été axé sur l'amélioration des textes qui touchent la gestion des ressources naturelles renouvelables ou TGRNR
La Banque mondiale et du Fonds pour l’environnement mondial (Fem) ont accordée à Madagascar le 23 mars dernier une subvention de 78,7 millions de dollars afin d’améliorer la gestion intégrée des ressources naturelles dans quatre régions du pays.
La baie d’Ambodivahibe, un endroit paradisiaque offrant un paysage splendide, est surtout une zone exceptionnelle de biodiversité marine et terrestre située à une trentaine de kilomètres de la ville d’Antsiranana, région DIANA, dans la partie Nord de Madagascar. Ce lieu qui, par ses caractéristiques uniques, comporte des écosystèmes naturels incluant d’une part les mangroves, les récifs, et surtout la baie, et d’autre part, la forêt littorale, est devenu depuis décembre 2015 une Aire marine protégée (AMP). L’ONG Conservation International (CI) s’est particulièrement investie dans les démarches permettant d’obtenir ce statut. Des activités visant à préserver l’environnement marin y sont menées par CI auprès des populations locales depuis plus de dix ans. La dernière en date est la mise en place d’une centrale solaire au profit des pêcheurs d’Ampondrahazo et d’Ambavarano, deux fokontany de la Commune de Mahavanona, pour leur permettre de conserver leurs produits de pêche, et d’en améliorer ainsi le prix tout en gardant la qualité. Par la même occasion, cette centrale solaire permet d’alimenter en électricité les habitations environnantes.
Une usine de transformation de déchet pour produire des charbons et des sachets écologiques est construite sur une surface de 8 000m² à Tomasina. Grâce à cette usine, l’exploitation des forêts de l’Est diminuera sachant que la production pourra amplement couvrir les besoins en charbons de la population à Toamasina, les impacts du changement climatique sont réduits, des opportunités d'emplois sont créés et Toamasina servira de ville exemple en gestion de déchets. Financé par l'Etat, les travaux sont encore en court mais il est prévu que l'usine soit fonctionnelle avant la fin de l'année. Récemment, La Ministre Baomiavotse Vahinala Raharinirina est venue constater l’évolution des travaux, accompagnée du DREDD Atsinanana et de l’Adjoint au Maire de Toamasina.
Le girofle est très prisé sur le marché international étant donné que ce produit est utilisé pour la parfumerie, la dentisterie et surtout pour la fabrication de cigarettes. Après l’Indonésie, c’est Madagascar qui est le 2e producteur mondial de ce produit de rente. La majorité de notre production est destinée à l’exportation. La Grande Ile détient ainsi une part de 42% du marché mondial avec une quantité exportée de l’ordre de 16 000 tonnes l’an dernier. Article publié le 18/08/2016
Le programme de repeuplement d'Andasibe en grenouille Mantella aurantiaca, une espèce endémique et menacée d'extinction, a été couronné de succés compte tenu des résultats obtenus à l'issue du premier essai, en octobre. Il s'agit de l'initiative de la campagne minière Ambatovy, avec la collaboration de l'association Mitsinjo.
La reforestation est une préoccupation du monde actuel. Les étudiants de l’INSCAE ayant pris conscience dece problème, ont décidé de reboiser samedi à Ampangabe.
Etant une entreprise révolutionnaire dans l’agriculture biologique, Guanomad lance toujours des recherches sur les nouvelles tendances dans ce domaine. Après la mise aux normes du processus de production et de l’assurance qualité, les produits Guanomad répondent désormais aux normes internationales. Le PDG du groupe, Erick Rajaonary, l’a évoqué lors de la présentation de son plan d’action annuel, dans le cadre de la présentation de vœux de ce groupe dernièrement chez les Hérons à Vontovorona. En plus, il est le fervent promoteur de l’agriculture biologique à Madagascar. A preuve, tous les engrais biologiques de Guanomad sont certifiés ECOCERT Paru le 11/02/2016
Après les feux qui ont ravagé Ankarafantsika, Madagascar n’est pas prêt d’abandonner la lutte contre la déforestation. Au contraire, le gouvernement prévoit de rendre sa beauté à ce pays en recouvrant plusieurs hectares de forêts. Ainsi, la jeune entreprise « Bôndy » va relever le défi du plus gros nombre d’arbres plantés en une journée au mois de janvier 2020. La mission consiste à planter 1 million de jeunes plants en 24 heures, ce qui va permettre au pays de s’afficher fièrement dans le Guinness World Records. Mais comment réussir un tel coup diront certains ? « C’est parfaitement faisable » nous a dit Max Fontaine, le jeune Malgache co-fondateur de « Bôndy ». « Nous allons réussir cet exploit grâce à l’aide de 300 militaires qui vont planter chacun 3.330 plants » selon ce dernier. Au départ, ils ont voulu faire appel à des jeunes volontaires pour ce reboisement de masse. Mais pour battre le record, le cahier des charges impose que ce soit 300 personnes qui assurent la plantation du million de jeunes plants. « Ceci ne signifie pas que les volontaires ne participeront pas ; nous avons encore d’autres missions et projets à concrétiser » nous ont confié les deux jeunes garçons venus dans nos bureaux.
Même si la situation des lémuriens s’améliore à Madagascar, elle est toujours critique. Certaines espèces sont classées de « vulnérable » à « critique » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Un investissement de plus de 38,4 milliards d’Ariary est nécessaire pour pouvoir aménager les bassins versants d’Andekaleka. Une action qui s’avère urgente pour les deux parties.
La combinaison de ces deux systèmes sert à réaliser un modèle de développement agricole réussi à Madagascar auquel les acteurs œuvrant dans le même sens sont tous sollicités.
Après Foulpointe qui a été choisie pour être la commune pilote en Afrique dans la mise en œuvre de l’approche conjointe HOREB-KAIZEN, les promoteurs de ces deux systèmes ont ensuite lancé une autre activité dans la commune d’Ampefy et ce, en collaboration avec le ministère en charge de l’Environnement
Des présidents des communautés locales des villages des deltas de Manmbolo Tsiribihina, région Menabe ont ggné leur pari. Ils ont réussi à sensibiliser les populations locales à replanter des mangroves dans le cadre de campagne de la restauration, cette année.
La hausse exponentielle de la demande globale dans le marché du sable engendre de graves conséquences sur l’environnement et une démarche durable est impérative. Avec ses exploitations de sable et de terres rares houleuses, ses exploitations minières et sa course aux projets infrastructurels , Madagascar est plus que jamais concerné.
L’huile essentielle de Ravintsara est un produit principalement utilisé en aromathérapie, une médecine douce basée sur l’usage des plantes. Selon ses adeptes, comme les autres huiles essentielles, elle aurait des vertus physiques et psycho-émotionnelles, c’est-à-dire qu’elle agirait directement sur le corps et sur les émotions. Un remède pour la santé et le bien-être ! Elle est d’ailleurs considérée comme l’une des plus intéressantes car l’une des plus riches et vertueuses ! Article publié le 7 février 2017
Après le succès de la première phase du projet de l’INBAR pour la promotion de la filière bambou à Madagascar, le pays a reçu un financement de l’Union Européenne et du FIDA pour la mise en œuvre de la deuxième phase dont l’atelier de lancement s’est déroulé le 09 et 10 avril 2015 au MAE Anosy.
1948-2018. l’IRD et Madagascar comptent sept décennies de coopération scientifique, mises au service du développement.
Sur les 17 objectifs de développement durable (ODD) sur lesquels la planète travaille si ardemment, la science ne figure nulle part, du moins, pas de manière claire et significative ! Cette remarque du Pr Jean-Paul Moatti, président directeur général de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) lors de la cérémonie d’ouverture hier, de la célébration des 70 ans de coopération scientifique entre l’IRD et Madagascar, met face à une réalité qui se résume ainsi : la science est dans bien des cas, négligée, voire oubliée, alors que d’elle dépend la quasi-totalité de ce que l’humanité entend par « progrès ».
Le prix de la reconnaissance. La société Knitwear a le devoir de compenser la grande quantité des bois qu'elle consomme pour sa production. En collaboration avec la commune rurale d'Ibity, dans le district d'Antsirabe II, representée par les élèves de l'école primaire publique et du collège d'enseignement général, elle vient accomplir son devoir à l'égard de l'environnement qu'elle doit préserver.
Le saviez-vous ? Si rien ne change, les lémuriens disparaitront d’ici une vingtaine d’années. En effet, la déforestation, les coupes de bois précieux et la culture sur brûlis font des ravages sur la Grande Île à un tel point que d’ici quelques années, ces petits primates n’auront plus d’habitat naturel. Mais il n’y a pas que des coupeurs d’arbres et des pyromanes à Madagascar. Pendant que certains s’appliquent à détruire, d’autres essaient de recréer les forêts malgaches.
Le traditionnel reboisement annuel du ministère auprès de la présidence en charge de l’Agriculture et de l’élevage (MPAE) s’est déroulé à Fonenana Imerintsiatosika, dans la région Itasy. Deux mille cinq cent plants d’Acacia mangium, essence forestière originaire d’Asie et du Nord de l’Australie ont été mis en terre.
2,6 milliards d’ariary. Tel est le total des sommes engagées par SOCTAM, filiale de l’Imperial Tobacco, dans le reboisement ces deux dernières années. Plus de deux millions d’arbres ont ainsi été plantés par l’entreprise sur près de 1 100 hectares, actuellement gérés par l’entreprise. L’objectif étant d’assurer une reforestation des zones concernées mais aussi une autonomie. « Notre pays est aujourd’hui menacé par le changement climatique dont la principale cause est la déforestation.
Le reboisement est donc un engagement sur le long terme pour améliorer notre quotidien, mais surtout pour offrir un avenir à nos générations futures », a assuré un responsable auprès de l’entreprise. En dehors de cela, l’engagement social de l’entreprise s’étend également dans la réhabilitation de puits ou encore de centres de santé de base, et cela afin d’améliorer le quotidien des populations qui vivent près des plantations réalisées par SOCTAM.
En tout cas, avec ses huit fermes industrielles, SOCTAM fournit actuellement la majeure partie de la production de tabac dans le pays. Pour faire fonctionner leurs infrastructures, ces fermes travaillent notamment avec plus de 1 100 planteurs encadrés et près de 32 000 saisonniers. Le tabac produit par SOCTAM est ensuite transformé en cigarettes par SACIMEN pour être revendues par PROMODIM. Toutefois, même si le tabac n’est pas bon pour notre santé, il est bon pour notre économie. A lui seul, le groupe Imperial Tobacco prévoit une contribution à hauteur de 1 000 milliards d’ariary dans les caisses de l’Etat sur trois ans. Un objectif qui se concrétisera cette année.
A Malagasy civil society group recently relaunched a hotline for people to report environmental crimes while avoiding the reprisals that often follow when they make such reports to the authorities - The group hired four environmental lawyers to answer the phones and investigate the cases, referring some to government agencies for enforcement - An anonymous caller told hotline lawyers about a classified ad for endangered tortoises in a Malagasy newspaper. The call led to the arrest in March of the seller, a government worker who is now in prison awaiting trial - Many governments have online and telephone reporting options for environmental and wildlife crimes. However, in countries with corrupt institutions and weak law enforcement, NGOs and civil society groups often run the hotlines.
A dam project in Madagascar’s central highlands, still in its planning stages, would submerge several villages, forcing hundreds or thousands of people out of their ancestral homes.
Residents at risk of being displaced oppose the dam, and civil society groups argue that its potentially large size and social impact are not justified by the relatively small amount of power it would produce
The Italian company behind the project insists it’s not yet clear if the project is feasible and has made no definitive plans to build the dam.
Tsarasaotra Park, located in the center of Antananarivo, is one of the few remaining refuges for the waterbirds of Madagascar’s highlands. - The park is the first private site to be classified as a wetland of international importance by the Ramsar Convention. - The fast pace of urbanization in the capital is degrading the park’s biodiversity and putting the birds at risk.
Though Madagascar officially has just under 1,800 reported infections and 16 deaths from COVID-19, the pandemic’s socioeconomic effects will be catastrophic for the country, the U.N. has warned. - One tangible impact has been the fire season, which has started early and is likely to be fiercer this year as rural residents deprived of tourism revenue, employment opportunities and access to food markets turn to the forest to survive. - The environment ministry registered 52,000 forest fire incidents from January until the start of June, with the western flank of the country, which hosts its unique dry forests, being the worst-affected. - A reduction in NGOs’ and state agencies’ field activities has made forest patrols more challenging and affected the critical task of creating fire breaks.
Avec plus de 12 millions d’individus en 2005, la tortue étoilée de Madagascar ou Astrochelys radiata a connu un déclin rapide. Elle est actuellement sur la liste rouge des espèces établie par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature). Elle risque de disparaitre d’ici 20 ans de son habitat naturel, dans le sud de Madagascar, face à la recrudescence actuelle des tentatives d’exportation de cette espèce.
Face aux multiples incendies dans l’enceinte du parc national d’Ankarafantsika, le président de la République, a ordonné le gouvernement à chercher une solution durable. Les feux sont maintenant maîtrisés.
« Nous attendons les résultats des investigations. Les enquêtes sont en cours et nous devrons bientôt tirer cette affaire au claire ». Ce sont là les propos d’un responsable auprès de l’Office National de l’Environnement pour faire état de la situation de l’incident qui a causé l’asphyxie de quelques dizaines d’emplois d’une société œuvrant dans la confection de T-shirt et de Polo sise à Anosizato le 4 janvier dernier. Le responsable de l’ONE de faire savoir : « les descentes effectuées par l’administration environnementale au CHUJRA, à Anosizato ont permis de conclure qu’il y a une responsabilité partagée dans l’affaire ». Ainsi, l’ONE reproche à la société productrice de T-shirt et de polo « l’inexistence de contrôle de servicesfaits par ses prestataires ». L’ONE trouve également que le système de protection des employés est « ineffectif ». La société qui a effectué l’épandage d’insecticide a également été pointé du doigt par l’Office National de l’Environnement. « La confrontation des informations recueillies au CHUJRA, chez les victimes, les responsables de la société sise à Anosizato et enfin chez les responsables du prestataire de service responsable de l’épandage d’insecticide a permis de savoir que la société qui a dispersé les insecticides n’a pas respecté les protocoles en vigueur », note le responsable auprès de l’ONE. Pour l’heure, la responsabilité des diverses sociétés est engagée. Les enquêtes sont encore en cours et avec elles, l’on attend les éventuels verdicts.
Une dizaine de personnes dont des responsables auprès du ministère de l'Environnement et des Forêts, et des journalistes ont bénéficié d'une session de formation de trois jours. Publié le 08/05/2015
Les données scientifiques au service de la recherche et de la conservation depuis maintenant trois ans, l'initative TEAM (Tropical Ecology, Assessment and Monitoring), un réseau de stations de recherche sur les écosystèmes forestiers tropicaux, est implanté à Madagascar, et son premier site est établi aux abords du Parc National de Ranomafana. L'implantation d'un second site est en gestation.
Le bio est en vogue. Les consommateurs s’y intéressent. Non seulement au niveau de la nourriture mais aussi des …insecticides. Fidahoussein Karmaly, promoteur et chercheur dans le domaine du bio insecticides et du bio pesticides chez Biozen répond avec conviction à nos questions sur le produit Tchik. Un produit miraculeux qui révolutionne les pratiques habituelles.
Depuis 2013, un programme triennal sur des luttes préventives contre l’invasion de criquet a été mené à Madagascar, notamment dans la partie Sud de l’île. C’était la FAO qui est chargée de la gestion du programme.
Un coût estimatif de 60 millions USD est évoqué par les experts internationaux pour éradiquer totalement ces espèces invasives sur une période de 5 à 7 ans.
Une superficie de 120 km², soit près de 12 800ha sont maintenant envahis par les crapauds asiatiques toxiques dénommés « Radaka boka » au sud de Toamasina. « Selon les estimations en 2015, la population actuelle compte près de quatre millions de crapauds compte tenu de la densité approximative moyenne de 400 crapauds par hectare Paru le 04/02/2016
En 2005, des agriculteurs d'Antananarivo ont découvert une créature inconnue dans leurs rizières. Il s'agissait d'une écrevisse unique en son genre à Madagascar, qui s'est rapidement répandue sur les hauts plateaux du centre du pays.
Lorsqu'une équipe de chercheurs du Centre allemand de recherche sur le cancer de Heidelberg a séquencé son génome une décennie plus tard, ils ont confirmé qu'il s'agissait d'une espèce entièrement nouvelle et, fait remarquable, d'une espèce qui avait évolué au cours des 30 dernières années. D'une manière ou d'une autre, une mutation chez les écrevisses élevées en aquarium en Allemagne avait produit une progéniture entièrement femelle qui était un clone de la mère, capable de se reproduire sans mâles. Cette capacité rare se retrouve chez environ une espèce de vertébré sur mille ; il est encore plus rare qu'elle soit le seul moyen de procréer, comme c'est le cas pour l'écrevisse marbrée (Procambarus virginalis).
Chris Milligan, directeur général par intérim de l'Usaid à Madagascar, a remis hier du matériel au Bureau de coordination pour la réduction de la déforestation et de la dégradation des forêts (BNC-REDD), relevant du ministère de l'Environnement, de l'Ecologie et des Forêts (MEEF).
Ces outils vont permettre de mener un inventaire des forêts de mangrove et de mesurer la séquestration du carbone à Madagascar. "Les équipes BNC-REDD les utiliseront immédiatement sur le terrain pour des travaux effectués sur plus de quatre mois", de source auprès du MEEF.
Le secteur privé peut considérablement contribuer à maintenir la viabilité des ressources naturelles. Un engagement plus fort de sa part, combiné à des actions concrètes de gestion durable des ressources naturelles, pourrait largement renverser la perte de la biodiversité
Quand les coupes illictes d'arbres dégarnissent les forêts, il n'y a que le reboisement qui les sauve.
Campagne de reboisement à point nommé. " La déforestation est une des pressions majeures qui causent la pete de la biodiversité unique de notre aire protégée", déplore Jean Jacques Rakotoarivelo, directeur du Parc national Isalo.
As Madagascar’s recently elected president completed his first 100 days in office, experts identify five priority areas for conservation - In a new comment piece in Nature Sustainability, the experts highlight the need for setting conservation goals that are aligned with the sustainable development of the country - Strengthening the rights of local people and the rule of law is key to successful conservation, the authors say - Urgent steps include tackling environmental crime, investing in protected areas, and mitigating environmental impacts from infrastructure development.
10 projets programmés avec zéro budget au départ ! Ce genre de défi n’est plus nouveau pour les membres de la Jeune Chambre Internationale (JCI). Pour 2013, la JCI Antananarivo projette de poursuivre certains projets qui ont connu une réussite ces dernières années Article publié le 28 février 2013
La région Diana a célébré la Journée mondiale de l’alimentation. L’accent a été mis sur les capacités d’adaptation des populations au climat changeant.
A l’occasion de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement 2016 placée cette année sous le thème « Luttons ensemble contre le commerce de nos espèces sauvages », des manifestations ont été organisées dans les Nouvelles Aires Protégées gérées par Asity Madagascar.
Une trentaine de stands ont été érigés afin d’exposer les différentes initiatives des acteurs locaux visant à gérer d’une manière rationnelle les ressources naturelles.
« Sept milliards de rêves, une seule planète, consommons avec modération». Tel était le thème choisi dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement (JME) qui a eu lieu la semaine dernière à Manakara
Le Jardin Tropical a accueilli une quarantaine d’élèves le 15 décembre, en collaboration avec l’ONG Azimut, pour les sensibiliser au respect de l’environnement. Deux groupes de 20 élèves ont passé un après-midi au Jardin Tropical. Le premier groupe était composé des élèves de CM2 du Collège français, le second des élèves des classes de première et de terminale du Lycée mixte. Tous ces élèves se sont montrés très impressionnés par la découverte de ce lieu dédié à l’environnement en plein cœur de la ville Paru le 26/12/2015
Des membres du secteur privé ont été conscients depuis 2010 que les sources d’eau servant à faire fonctionner les turbines de la Jirama peuvent se tarir sans une prise de mesures immédiate. « Puisqu’il s’agit d’un intérêt général de la population, nous avons pris l’initiative de prendre en considération le problème environnemental de la Jirama surtout au niveau de la centrale d’Andekaleka », a expliqué Faly Rasaminanana, le Directeur général de Faly Export, lors d’une rencontre avec la presse. « Nous avions étudié à cette époque le financement du projet de restauration des forêts aux alentours de la centrale, au niveau du Conseil d’Administration du groupement des exportateurs de litchi, dans le cadre de la mise en œuvre des activités de Responsabilité Sociétale d’Entreprise. Plus de 60% des membres ont déjà donné leur accord », a-t-il rajouté.
La Région Analamanga, fait partie des régions extrêmement vulnérable aux effets néfastes du changement climatique. Depuis quelques années, elle a subi des événements météorologiques extrêmes et victime d’épisodes d’inondations répétitives, entravant le développement économique et accentuant la pauvreté et l’insécurité alimentaire. Toutefois, la population de la région démeure largement inconscient de la cause, des effets mais aussi des mesures à prendre face au changement climatique.
La Journée Internationale des Données Ouvertes (JIDO) est célébrée le 04 Mars au niveau mondial.
La JIDO est une grande opportunité à partager des informations sur les avantages des Données environnementales ouvertes, Données scientifiques ouvertes, Données sur le suivi des flux d’argent public ouvertes et des Données ouvertes sur les Droits Humains.
La journée du 17 juin de chaque année a été adoptée par les Nations Unies comme « Journée Mondiale de lutte Contre la désertification » date à laquelle la convention de Nations Unies sur la lutte contre la désertification a été adoptée à Paris en 1994. L’ouverture officielle de cette journée a été faite ce 15 juin 2018, par le Directeur de Cabinet du Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts, Monsieur Dera RANDRIATSARAFARA.
Chaque année, le 11 mai est consacré à la Journée Mondiale des Espèces Menacées. Selon une étude de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN), 20 000 espèces de plantes et animaux sont en danger de disparition imminente. En ce qui concerne la Grande Ile, elle est placée à la 5ème place. Le lémur aux yeux turquoise, originaire du pays, est considéré comme « en danger critique d’extinction » par l’UICN. Il est classé parmi les 25 primates les plus menacés au monde. Ceci s’explique par son aire de répartition très réduite et presque entièrement déboisée.
Sous le slogan « … Et lorsque le ciel sera réduit au silence ? », la Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2016 (JMOM 2016) souligne le nombre invraisemblable d’oiseaux migrateurs perdus chaque année à cause du braconnage et du commerce illégal. Les motivations sous-tendant ces activités illégales sont diverses mais leur impact est énorme – des millions d’oiseaux sont tués chaque année. Des prélèvements insoutenables qui s’ajoutent à d’autres pressions telles que la perte d’habitat et le changement climatique, poussant ainsi beaucoup d’espèces jadis communes au bord de l’extinction.
Partout dans le monde, des gouvernements ont adopté des lois nationales et des traités internationaux qui réglementent, et dans certains cas interdisent, l’exploitation de ces animaux. Ces lois doivent être respectées et appliquées si nous voulons éviter de perdre une précieuse part de notre patrimoine naturel commun.
Sous le slogan « … Et lorsque le ciel sera réduit au silence ? », la Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2016 (JMOM 2016) souligne le nombre invraisemblable d’oiseaux migrateurs perdus chaque année à cause du braconnage et du commerce illégal. Les motivations sous-tendant ces activités illégales sont diverses mais leur impact est énorme – des millions d’oiseaux sont tués chaque année. Des prélèvements insoutenables qui s’ajoutent à d’autres pressions telles que la perte d’habitat et le changement climatique, poussant ainsi beaucoup d’espèces jadis communes au bord de l’extinction.
Partout dans le monde, des gouvernements ont adopté des lois nationales et des traités internationaux qui réglementent, et dans certains cas interdisent, l’exploitation de ces animaux. Ces lois doivent être respectées et appliquées si nous voulons éviter de perdre une précieuse part de notre patrimoine naturel commun.
La Journée Mondiale de la Météorologie (JMM) est célébrée chaque année le 23 mars. Cette édition portera le thème « Temps et climat, prêts parés ! ». Cette année, la deuxième édition de la « Marche pour le Climat », laquelle portera le slogan « Mitsitsy mba haharitra », coïncidera avec la célébration de la JMM. En effet, la marche vise à sensibiliser le public à lutter contre le changement climatique et la destruction des habitats naturels à travers l’utilisation quotidienne de foyers économes ou « fatana mitsitsy ». Comme le climat est étroitement lié avec la vie des futurs héritiers de cette planète, les objectifs de la Météo Madagascar et ceux de WWF dans ces contextes sont conjoints.
Enfin une bonne nouvelle pour notre environnement. Après 32 années de lutte acharnée pour la protection de la couche d’ozone ou ozonosphère, les efforts commencent enfin à prendre forme. Effectivement, hier, durant la Journée internationale de la couche d’ozone, sous le thème « 32 ans et en voie de guérison », la mise en application du Protocole de Montréal relatif aux substances appauvrissant la couche d’ozone (SAO) a porté ses fruits. Les substances polluantes ont bien été réduites. L’ozonosphère est alors en cours de rétablissement, et devrait se reconstituer d’ici le milieu du siècle.
Là où se concentrent les trafics de bois de rose et d’ébène ! Mais le ministère de l’Environnement, de l’Ecologie, de la Mer et des Forêts a opté pour l’Analamanga pour célébrer la journée internationale des forêts (21 mars). Cette région ne dispose pas des mêmes richesses forestières que la SAVA et toute la côte Est et Nord-est du pays, que ce soit en termes de couverture ou de variétés. L’Analamanga compte quelques bandes de forêts denses humides à l’Est, et sa couverture forestière souvent issue du reboisement sert essentiellement à la production de bois de chauffe et de charbon de bois. Par contre, le parc national de Masoala est riche en bois précieux, en faune et flore endémiques… C’est d’ailleurs l’une des plus grandes aires protégées du pays avec ses 235 000 ha. Fortement bouleversé par les trafics de bois précieux, Masoala devrait faire l’objet d’attentions particulières des autorités concernées dont le ministère. Ainsi, la célébration de la journée internationale des forêts devrait s’y tenir.
Assurer l’accès à une énergie propre, durable et abordable pour tous à Madagascar, tel est l’objectif du Ministère de l’énergie et des hydrocarbures pour la célébration de la journée mondiale de l’énergie du 04 au 06 Novembre à l’Hôtel Carlton Anosy
Tous les 5 juin, les pays du monde entier célèbre la journée de l'Environnement. Cette année, la commémoration se focalise sur la biodiversité en accordant plus d'attention sur le slogan " le temps de la nature ". Juin coïncide aussi au mois de la nature et les défenseurs de cette nature sont conviés à partager leur engagement en envoyant des vidéos amateurs sur les réseaux sociaux.
L’Empire du Milieu accueillera la Journée mondiale de l’Environnement le 5 juin prochain. Pour cette année, la célébration se focalisera sur la pollution atmosphérique, une urgence sanitaire et environnementale mondiale.
Dans trois semaines, le 05 juin prochain, la Journée mondiale de l’Environnement sera célébrée en Chine. Pour cette année, la célébration se focalisera sur la pollution atmosphérique, une urgence sanitaire et environnementale mondiale.
La Journée mondiale de l’environnement a été célébrée samedi dernier au lycée Pôle de Taolagnaro avec l’inauguration du nouveau jardin botanique. C’était une occasion de célébrer son acquisition du lauréat « Bronze » du Programme Eco Ecole. Actuellement, le lycée Pôle devient le premier Eco Ecole certifié au niveau bronze à Madagascar.
« Protégeons notre environnement ». Cette formule résonne toujours autant surtout en cette période de l’année. Le 5 juin étant la journée mondiale de l’environnement, les activistes du monde entier s’allient pour assainir et protéger notre chère planète. A Madagascar, une pépinière de protecteurs de l’environnement s’active déjà depuis février. Des lycéens entre 14 et 17 ans, encadrés par l’Association Aframadij sont des jeunes engagés dans la protection de mangrove
Qui d’entre nous n’a, au moins, une fois dans sa vie, laissé couler l’eau du robinet tout en se brossant les dents ?
Si 10 personnes dans une famille font pareil 3 fois par jour, la facture de la Jirama aura un goût d’eau plutôt « salée ». Et le cas de cette surconsommation inutile n’est pas isolé, car plus d’un laissent la télé allumée alors qu’on s’occupe ailleurs ou comme disait un comique : « La télé m’a regardé, cette nuit ! » Ou encore cette gargotière qui laisse le vent consumer une fournée de charbon ardent tout en préparant la pâte à beignets qu’elle doit frire sur ce feu. Sans parler de ces innombrables bouteilles vides d’eau naturelle qui jonchent le canal d’Andriantany tant et si bien que les murets du pont d’Ampefiloha n’arrivent plus à les cacher. A l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement (JME) à célébrer le 5 juin prochain, le Programme des nations unies pour l’environnement (PNUE) invite tout un chacun à prendre conscience des conséquences des habitudes inconsidérées de consommation. Notons que le slogan de la JME 2015 est « Sept milliard de rêves. Une seule planète. Consommons avec modération ».
Les forestiers de la direction régionale de l'Environnement et du développement durable du Vakinakaratra, n'ont pas manqué de célébrer la Journée mondiale des forêts. Ils ont mis à profit la journée du vendredi pour débuter officiellement, l'entretien sylvicole des sites de reboisement de la région.
De nombreux rapports ont signalé ces dernières années l’augmentation des activités illégales dans les parcs nationaux de Madagascar. Déforestation, exploitation de bois précieux, exploitation minière, braconnage des espèces menacées d’extinction…
La crise de l’eau que vit depuis des décennies la population dans le Sud de Madagascar, et le problème d’eau que subissent de plein fouet actuellement les habitants de la Capitale, se transforment en cri de détresse au moment où l’on célèbre la Journée mondiale des zones humides, placée sous le thème « L’eau et les zones humides, indispensables à la vie ».
Célébrées chaque année le 2 février – en commémoration de la signature, le 2 février 1971, de la Convention de Ramsar, traité intergouvernemental pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources – les zones humides deviennent au fil des années des zones de plus en plus menacées. A l’occasion de la journée mondiale des zones humides (JMZH), les conséquences des activités humaines, sources de dégradation de ces zones humides, sont à nouveau pointées du doigt sans que des résultats palpables sur l’inversion de la tendance ne soient observés.
Le sac en plastique est toujours utilisé à grande échelle dans notre pays et ce malgré l’interdiction de commercialisation dudit produit. L’on se demande même à quoi peuvent bien servir les lois si ce n’est pour être appliqué.Il est clair que les sacs en plastique constituent un vrai dilemme, question environnemental. Effectivement, les sacs en plastique mettent beaucoup de temps à se désintégrer, un seul sac plastique prend 100 et 500 ans pour se désintégrer. Comme les sacs en plastique constituent une vraie menace pour l’environnement, la date du 03 juillet a été décrétée journée mondiale sans sac en plastique et ce depuis déjà quelques années, le souci est que cela reste totalement méconnu au niveau de la Grande Ile alors que cela a instauré dans un but de conservation environnementale. La majorité de la population de la Grande Ile n’a même pas connaissance de la célébration dudit journée mondiale. Certes, un décret contre la production pour le marché local et international a été instauré, mais malheureusement cela n’est nullement respecté vu que les sacs en plastique de moins de 50 microns regorgent toujours les marchés
Dans le cadre de la protection de l’environnement, en partenariat avec la Norvège, la commune urbaine d’Antsirabe organise depuis l’année dernière l’évènement « Clean air day » ou « Journée de l’air pur ». Pour 2012, cette journée sans fumée aura lieu demain, mercredi 25 juillet.
Les informations sur le capital naturel malgache font défaut. QUand il s'agit de données et de statiqtiques, tout le monde se heurte à "nous ignorons" ou "nous estimons à".
Journées scientifiques organisées par La Représentation de l’IRD à Madagascar, le laboratoire de recherche français GRED (Unité mixte de recherche IRD et Université Paul Valery Montpellier 3) et ses partenaires scientifiques (CNRE, Université d’Antananarivo, Université de Fianarantsoa). Les invités ont déjà reçu un mail
Il s’agit de rencontres et d’échanges visant à :
présenter les résultats des travaux ainsi que la valorisation (publications, films, soutien aux jeunes chercheurs malgaches) menés dans la Grande Île depuis le milieu des années 1990 à travers différents programmes et projets de recherche (DESPAM, GEREM, MEM, FPPSM, EGER, SERENA) ;
débattre des nouvelles orientations de recherche prioritaires à développer et à réaliser en partenariat à court et moyen terme.
D’après les récentes informations publiées par Transparency International, Madagascar se trouve au 158e rang sur les 180 pays étudiés en matière de perception de la corruption. Et parlant des secteurs les plus corrompus, la Justice et les Forces de sécurité caracolent en tête du peloton. Tout récemment, un employé du ministère de la Justice a été pris en flagrant délit en possession de tortues de type « radiata » qu’il prévoyait de vendre à 55 millions d’ariary. Il a déjà été placé sous mandat de dépôt. Son jugement sera prononcé ce lundi 23 mars. Face à cette situation, l’Alliance Voahary Gasy réclame l’application effective de la loi en vigueur tout en évitant le corporatisme.
Afin de mieux gérer les exploitations des ressources environnementales et analyser les enjeux de celles-ci, la notion de justice environnementale est l’outil adapté selon Barry Ferguson, conférencier qui a présidé la conférence débat sur le thème de la justice environnementale ce samedi 9 juillet à l’Alliance française
Les cours mondiaux du cacao continuent de baisser. La situation inquiète au plus haut point les pays producteurs. Madagascar n’est évidemment pas épargné par cette crise. Bien que Madagascar ne soit encore qu’un petit pays dans le marché mondial du cacao avec une production estimée entre 6000 et 8000 tonnes par an, contre une production mondiale de plus de 4 millions de tonnes, cette filière joue quand même un rôle prépondérant dans l’économie du pays
Désormais, les communautés de base seront pleinement impliquées dans la gestion des ressources marines dans la localité de Katsepy, dans le district de Mitsinjo, région Boeny.
Depuis le 20 juin, date de la signature à Antrema, des documents y afférents, l’Etat cède officiellement la gestion de 2 000 km² de surface marine dans cette partie du Boeny aux communautés de base par le biais de la confédération FMT « Fikambanan’ny Mpanjono Tanteraka ».
Troisième réserve de biosphère de Madagascar après Mananara-Avaratra et Sahamalaza, Kirindy Mite intègre le réseau mondial des réserves de l’Unesco en la matière. Elle figure parmi les 20 nouvelles réserves de biosphère du monde, portant ainsi à 669 leur nombre total dans 120 pays.
La capture illégale d'espèces endémiques pour le commerce international menace l'intégrité de certaines des zones et des espèces rares les plus emblématiques du monde. Le trafic illégal de la faune se produit dans près de 30% des zones les plus protégées du monde. Il s'agit notamment du site du patrimoine mondial des forêts humides de l'Atsinanana à Madagascar, menacé par le commerce du bois de rose et du palissandre. Article publié le 18/04/2017
Forte mobilisation de tous les acteurs. Autorités maritimes et portuaires, école de formation maritime, les compagnies maritimes, les autorités en charge de la protection de l’environnement en Afrique, se sont réunies à Toamasina. Ceci en vue de discuter des dispositions pour faire face aux dangers que présentent les allées et venues effectuées par les bateaux sur les côtes africains, en marge de l’atelier national du centre de Coopération de technologie maritime en Afrique (MTCC).
Comme chaque année, la grande famille du Groupe de la Gastronomie Pizza a tenu une journée de reboisement, le 11 février dernier. Cette fois, 2 000 pieds d’eucalyptus ont été plantés à Imeritsiatosika. Pour les représentants de la société, il s’agit d’un devoir envers l’environnement, que tout le monde devrait accomplir.
Des échanges fructueux se sont déroulés entre la Première Dame, Mialy Rajoelina et la professeure Kazue Fujiwara, enseignante chercheyr de l'université d'Ykohama, spécialiste de la réforestation, hier durant son séjour au Japon. Lors de son entretien, elle a confié qu'elle regrette le fait que Madagascar, avec sa richesse en biodiversité, soit un pays aussi ravagé par la déforestation. Elle a suggéré la reforestation pour pallier ce problème. L'éducation environnementale est la meilleure manière d'atteindre cet objectif.
La baie des Sakalava, joyau de la Côte des Baies et une des plages les plus visitées de la région, attire de plus en plus d’investisseurs alléchés par la manne économique que représentent les nombreux touristes ou habitants de la région qui la fréquentent. De nouvelles constructions, que ce soit pour l’habitation ou des activités économiques ont été érigées sans toujours respecter les normes et règles imposés par le statut de zone sensible.
La 5ème édition du Forum de la Recherche sous le thème « La biodiversité et les objectifs du développement durable » a été ouverte officiellement ce 14 juin 2017 par le Premier Ministre, Mahafaly Solonandrasana Olivier, en la présence du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Rasoazananera Marie Monique ; du Ministre de l’Emploi, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Toto Raharimalala Marie Lydie ; de l’Ambassadeur de France, Madame Vouland-Aneini ; de la Représentante Résidente de l’Union Africaine à Madagascar, Madame Hawa Ahmed Youssouf ; des représentants des Chefs d’Institutions ; de Parlementaires ; ainsi que d’ enseignants chercheurs et de chercheurs enseignants.
A Madagascar, la faible production de la cacaoyère chez les petits producteurs de la région du Sambirano (Nord Ouest), en comparaison avec les entreprises industrielles, serait due à plusieurs facteurs: notamment le vieillissement des arbres, la disparition des arbres d’ombrage, la pratique d'autres cultures dans la cacaoyère, le manque d’entretiens, l’indisponibilité des moyens financiers chez les paysans ou encore l'absence de procédés post-récolte adaptés.C’est pour vérifier ces écrits que le réseau Qualireg du Cirad en collaboration avec le FOFIFA a réalisé cette étude pour avoir une situation de la réalité du terrain en 2013 et pour identifier les actions à entreprendre sur les dispositifs de plantations des producteurs afin de déterminer les éléments pour une relance de la production cacaoyère dans le Sambirano
La journée mondiale des herbiers marins a été célébrée le 1er mars. Une occasion pour l’ONG C3 Madagascar (Conservation Centrée sur la Communauté) pour organiser une activité de sensibilisation sur les écosystèmes marins menacés par l’exploitation côtière et la pollution d’origine humaine. Cette célébration met en valeur le rôle en tant de poumon vert inestimable pour la planète et l’humanité attribué à cette biosphère.
La chasse et le trafic de lémuriens ne faiblissent pas, une nouvelle menace se profile à l’horizon. Les primates subissent une domestication contre leur « gré ». Appel solennel. Les primatologues invitent le public à relâcher dans leur milieu naturel, au moins, les vingt huit mille deux cent cinquante trois lémuriens domestiqués illégalement.
La surveillance aérienne a été un grand appui dans l’organisation des patrouilles et l’application des sanctions dans six aires protégés de Madagascar : les parcs Kirindy-Mite et Tsimanampetsotse, la réserve spéciale d'Andranomena et les nouvelles aires protegées de Amoron’ny Onilahy, Ankodida et Nord Ifotaky.
« Le taux annuel de la déforestation de la côte Est du pays est de 0,94% », avance un responsable ade l’Office National de l’Environnement. Ce chiffre provient des études réalisées par cette institution sur le suivi de la déforestation à Madagascar.
Une étude scientifique a observé l’évolution de la déforestation dans le Menabe central (incluant la Nouvelle Aire Protégée Menabe Antimena) entre 1973 et 2010. Selon cette étude, l’ensemble de la forêt du Menabe central risque de disparaître complètement avant 2050 si le rythme actuel de déforestation continue. En effet, entre 2008 et 2010, la moyenne annuelle de déforestation dans le Menabe-Antimena est estimée à 1820 ha. Cette étude a été partagée lors des discussions d'acteurs de la conservation qui on eu lieu la semaine passés dans la Région Menabe. Des actions de sensibilisation et d'information au niveau de la Région sont mises en oeuvre pour alerter sur la situation.
Le draft de loi nationale sur la bioénergie et le décret spécifique sur le bois énergie, élaboré par un comité interministériel appuyé par WWF, ont été finalisés en 2017 et partagé au niveau des acteurs concernés pour feedback. La loi sur la bioénergie et le décret spécifique sur le bois énergie est prévu pour adoption au parlement en 2018. L’élaboration d’une stratégie nationale pour une gestion durable de la filière bois énergie à Madagascar, le développement de dispositifs réglementant la filière, ainsi que des normes pour les équipements de cuisson pour qu’ils soient économes en bois énergie, font partie des chantiers bien avancés.
Hier, la journée mondiale de l’Environnement a été célébrée dans le monde entier. Ce fut l’occasion d’interpeller citoyens, décideurs politiques et leaders économiques sur l’énorme danger que représente la pollution atmosphérique sur la santé publique et toutes les pollutions ainsi que d’autres domaines qui lui sont corollaires : pollution maritime, changement climatique, exploitation à outrance des combustibles fossiles. Il importe également de souligner la responsabilité de chacun, des citoyens comme des leaders, car elle est égale. Le citoyen manquant de civisme-jetant des ordures partout, pratiquant des feux de brousse et la déforestation à outrance, utilisant des moyens de locomotion dont les gaz d’échappement n’ont pas été soumis à contrôle- est tout aussi coupable que les leaders autorisant cette gabegie en plus d’autoriser et de ne pas règlementer l’industrie massive et tous ses déchets, ou encore de limiter progressivement l’exploitation des énergies fossiles, principal facteur de pollution atmosphérique.
Le cas d’Antananarivo : Parmi les villes les plus polluées au monde
Selon une analyse tirée d’un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS/WHO) sur la pollution atmosphérique, la pollution de l’air à Antananarivo est de 60 μg/m3,, cela est trois fois plus supérieur au taux recommandé par l’OMS et place donc la Ville des Mille parmi les villes les plus polluées du monde. Ci-dessous un extrait (ayant fait l’objet d’un petit « re-editing ») d’un article paru dans nos colonnes le 31 octobre 2018, en parallèle avec la tenue du premier sommet mondial sur la pollution de l’air ayant eu lieu à Genève au même moment; expliquant plus en détails cela, en plus de rappeler les dangers de la pollution atmosphérique sur la santé mondiale.
La population locale vivant autour de la réserve de Mandraka lance un avis d’alerte sur l’état de leur forêt, selon nos sources hier. Ceci du fait que plus de 60% de la population dans cette région pratique l’agriculture sur brûlis et l’exploitation des produits de la forêt. Face à cet usage dont les habitants en dépendent, la réserve de Mandraka est actuellement menacée.
Le MEDD vient de finaliser une stratégie nationale de gestion des feux en utilisant des outils de gestion des feux efficaces, tout en considérant la multiplication des facteurs impliqués et la diversification de leurs origines
Il s’agit d’un label international, obtenu à travers un processus de certification, qui reconnait les sites protégés gérés équitablement et efficacement, avec des impacts positifs sur la conservation et le développement durable. Améliorer la gestion et la gouvernance des Aires Protégées. Tel est l’objectif de Madagascar National Park à l’issue de l’organisation d’un atelier d’échange et de formation sur les outils y afférents dernièrement à Isalo, en partenariat avec WCS (Wildlife Conservation Society), le ministère de tutelle et le programme de gestion de la Biodiversité et des Aires Protégées (BIOPAMA) de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature
C'est un reportage réalisé avec la collaboration de Conservation International (fonds Usaid), AJE, RFDIM
Les petits animaux appelés « bandro », de leur nom scientifique « Hapalemur griseus alaotrensis » trouvent leur milieu naturel dans les forêts de roseaux. Ces espèces endémiques de Madagascar se trouvent aux alentours du lac Alaotra (725 000 hectares dont 43 000 hectares de roseaux), l’une des zones qui figurent dans la liste du site Ramsar. Ce site est actuellement menacé de danger avec les occupations illicites et les trafics de terrain à son insu
Il y a à peine un an, la production piscicole a fortement diminué dans le lac Alaotra. La pêche n'était pas du tout rentable pour la population locale qui a même dû consommer des produits inqualifiables. Faute de mieux
Dans le dessein de rempoissonner le lac, l'association Fizalaotra et le Groupe d'Action au Développement (GAD) y ont introduit 6000 alevins
L’Initiative pour la Finance de la Biodiversité (BIOFIN) a été lancée officiellement ce jeudi au Carlton Anosy sous l’égide du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, du Ministère de l’Economie et des Finances et du Programme des Nations Unies pour le Développement. L’objectif de cette initiative est d’identifier des solutions de financement pour la mise en œuvre des stratégies et plans d'action nationaux pour la biodiversité et d'autres plans liés à la biodiversité.
L’atelier de lancement officiel du projet « Mise en œuvre mutuellement soutenue du Protocole de Nagoya et du Traité sur les Plantes », initié par Biodiversity International et financé par Darwin Initiative s’est tenu le 15 Juillet 2015au Development Learning Center à Anosy.
Avec un financement du Fonds pour l’Environnement mondial, le PNUD et le ministère de l’Environ-nement, de l’écologie et des forêts ont procédé, hier à Toliara, au lancement officiel du projet « Approche paysage pour la conservation et la gestion de la biodiversité menacée de Madagascar, axée sur le paysage forestier sec et épineux de la région Atsimo Andrefana ». Ce projet va permettre de conserver et de gérer de manière durable la biodiversité des districts de Toliara II, Betioky et de Morombe.
« Madagasikara rakotra ala no tanjona », tel est le thème véhiculé par le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD) pour contribuer au projet de l’Etat afin de reverdir la nation. S’inscrire dans le cadre de la célébration du 60ème anniversaire de l’indépendance de Madagascar, 60 millions de jeunes plants seront plantés à partir de ce jour. Reverdir Madagascar est une assignation pour laquelle l’Etat a pris plusieurs initiatives pour appuyer : (i) tous les démembrements du Ministère de tutelle et (ii) les autres départements ministériels qui vont prêter main forte à ce projet de grande envergure nationale, ainsi que (iii) toutes les collectivités du pays et surtout tout individu de bonne volonté voulant œuvrer de concerter pour cette noble tâche.
C'est un évènement organisé par le Programme WWF à Madagascar et dans l'Océan Indien Occidental le jeudi 14 novembre 2013 à partir de 8h30 à la salle de nouvelle thèse de l'Université d'Antananarivo, Ankatso
A Madagascar, les langoustes hors taille capturées et donc retirées du marché de l’exportation sont estimées à 200 tonnes, ce qui représenterait une perte équivalente à 3 millions de dollars par an, soit 5,6 milliards d’Ariary
Le Club Vintsy émet un nouveau haut le cœur pour la protection de l’environnement. Il s’agit là du Club Vintsy créé au niveau des instituts supérieurs dénommé UVV. Son président met en avant la notoriété de ce club et ce qu’il tient à véhiculer. "Le Club Vintsy est surtout connu pour l’organisation de reboisement et le ramassage d’ordure"
Un feu s'est déclenché hier 14 Octobre 2016 vers 13h au Parc National d'Isalo. Madagascar National Parks, en se basant sur sa stratégie efficace de lutte contre le feu et avec la participation massive de la communauté locale, a pu éteindre ce feu.
1,2 hectare de forêt tropicale hébergeant plus de 150 espèces végétales, des lémuriens, des crocodiles, des caméléons, des écrevisses, et ce en plein centre ville : c’est un dépaysement garanti que vous offre le Jardin Tropical nouvellement aménagé dans le Ravin Froger, à 200 m de la rue Colbert
Diego Suarez est une ville qui réserve bien des surprises au promeneur qui se donne la peine de la découvrir. A quelques dizaines de mètres de la rue Colbert, la principale rue commerçante de la ville, au fond de la rue Villebois Mareuil qui prolonge l’Avenue de France à partir de la rue de la Marne, s’ouvre le ravin Froger dans lequel 1,2 hectare de forêt ont récemment été aménagés en un jardin botanique et zoologique, pour le plus grand bonheur des promeneurs
L'évaluation du projet de riziculture intensive en Afrique de l'Ouest a permis de constater que 50.000 agriculteurs ont été formés en deux ans aux techniques de SRI (système de riziculture Intensive). Dans un contexte marqué par des difficultés en matière de souveraineté alimentaire en riz (59% en 2010 et 54% en 2016/2017) [1] -, le SRI se distingue comme une arme efficace pour contribuer à relever le défi de l'autosuffisance alimentaire dans la région.
Les conditions climatiques extrêmes ne seraient pas étrangères à l’épidémie de la dengue qui a touché certaines régions du Burkina Faso et du Sénégal il y a quelques semaines. C’est en tout cas ce qu’affirme Alioune Badara Ly, le directeur adjoint du Centre des opérations d’urgence sanitaire (COUS) au ministère de la Santé et de l’action sociale du Sénégal.
L’histoire de ces 70 dernières années atteste que croissance et commerce vont de pair. En effet, le commerce permet d’engendrer les conditions propices à plus de création de richesses. Il permet aussi une allocation efficace des capitaux. Des pays tels que le Japon, le Brésil, le Botswana ou encore la Chine, le démontrent amplement.
Une cellule d’urgence pour lutter contre le crapaud épineux d’Asie a été mise en place. Une menace d’invasion de cette espèce se profile Article paru dans le quotidien "l'express de Madagascar" en date du 3 mai 2014
Les différentes missions scientifiques que nous avons organisé, ont permis de recenser pas moins de neuf espèces de lémuriens dans le massif du Makay. Les plus présents sont le Propithèque de verreaux (Propithecus verreauxi) appelé localement « Sifaka » qui est le plus grand lémurien du Makay et le Lémurien à front roux(Eulemur rufifrons), reconnaissable par la bande noire qu’il porte sur son visage. Ces deux espèces diurnes et curieuses évoluent souvent en groupe et viennent jusqu’à nous observer sur nos camps de base.
L’impact de l’exploitation incontrôlée de saphir dans l’Ankarana sur l’environnement se ressent, pourtant interdire purement et strictement l’accès ne suffit pas. Le dialogue entre les décideurs étatiques et les petits exploitants s’impose
Ambatovy, la plus grande industrie de Madagascar a adhéré depuis le mois de février à l’initiative « Vers le développement minier durable ». La transition vers les démarches visant à créer et à soutenir un développement durable, est dictée par le marché. Aucune entreprise ne peut se développer de manière pérenne sans y adhérer, c’est ce qui ressort des récentes études en management. C’est la raison pour laquelle, Ambatovy, a adopté récemment, depuis le 1er février 2018, le « VDMD », afin de raffermir son engagement en matière de développement durable
Permettre aux membres du système SEA/Club Unesco tels que les ONG, les associations et les établissements scolaires de participer pleinement aux activités ayant pour objectif la lutte pour la sauvegarde de l’environnement, tel est l’objectif premier de la signature de la convention entre la commission nationale de l’UNESCO à Madagascar et le centre national de recherche sur l’environnement (CNRE) hier. Entrant dans le cadre du projet de redynamisation et recensement du système des Ecoles associées et clubs de l’UNESCO, l’initiative entreprend « une prise de conscience des citoyens quant aux responsabilités qui les incombent face à l’avenir ». Notamment, par l’intermédiaire d’activités tournant autour des valeurs de l’écocitoyenneté qui vont à leur tour permettre d’accentuer la lutte pour la réduction des effets des changements climatiques. Lesdits effets étant perçus et vécus de plus en plus dans la Grande Île actuellement.
Les Hautes Terres du Nord n’échappent pas au changement climatique. Dans ce paysage où les communautés locales sont fortement tributaires de l’agriculture, le climat a un impact sensible sur les revenus des ménages. Pour préparer les communautés à s’adapter aux conséquences du changement climatique, WWF s’attelle à vulgariser l’esprit d’une exploitation résiliente du sol et encourage les populations à adopter une « climate smart agriculture ». En effet, La perte de terres fertiles, la déforestation et la raréfaction des ressources en eau sont de plus en plus visibles, en raison de pratiques agricoles nuisibles et d’une mauvaise exploitation des sols.
« Polisin’Ala », lit-on sur le dos de l’uniforme du patrouilleur. Il porte un GPS et sillonne le corridor forestier. Depuis quelques années, ces vigiles volontaires assurent la surveillance du corridor forestier qui relie Marojejy, Anjanaharibe Sud et Tsaratànana (COMATSA), dans les Hautes Terres du Nord. Leurs missions : contrôle les usages illicites des produits forestiers et consigner les espèces de faune et de flore en vue d’inventaires et de suivi de surveillance.
Ils ont été 65 au total à avoir pris le temps de réfléchir ensemble sur des solutions durables pour intégrer l’adaptation au changement climatique dans la gestion de leurs forêts.
Les bois précieux Dalbergia et Diospyros de Madagascar (bois d'ébène et bois de rose) sont désormais inscrits à l'Annexe II de la CITES. Leurs exportations ou réexportations nécessitent des certificats.
Les six containers de bois de rose saisis à Maurice, en juin 2011, ont été rapatriés au port de Toamasina hier. Le gouvernement compte les vendre à travers un appel d’offres international si la CITES l’autorise. Article paru le 01/04/2016
C'est une séance de présentation du livre intitulé "Les chauve-souris de Madagascar" qui est le premier d'une série de guides publiés par l'Association Vahatra sur la diversité biologique de Madagascar
« Valoriser les tourbières pour la population et la planète ». Les tourbières sont des zones humides qui retiennent le carbone. Les deux Congo ont donc décidé de s'engager dans cette voie. La ministre brazzavilloise du Tourisme et de l'Environnement, Arlette Soudan Nonault, a traversé le fleuve pour retrouver son collègue de Kinshasa Amy Amba Tobe. Les deux personnalités et leurs délégations respectives ont réfléchi sur les stratégies de sensibilisation des populations autour de la protection des tourbières.
Madagascar est le 8e pays le plus menacé par le réchauffement climatique selon l’Indice mondial des risques climatiques 2017. Sécheresses, inondations, cyclones, tous ces événements météorologiques se sont accrus ces dernières années. En 2015, la Grande Ile a même enregistré un réchauffement record de 1°C par rapport à l’ère préindustrielle. Lors de sa visite en France cette semaine, le président malgache a appelé à une plus grande coopération internationale pour parer aux changements climatiques sur l’île. Un message bien relayé vendredi 30 juin lors de la conférence organisée par l’Union européenne dans le cadre de la Semaine de la diplomatie climatique, mais également nuancé.
La saison des feux de brousse tend vers sa vitesse de croisière. L’outil pour les détecter a été perfectionné mais les actions concrètes se font attendre.De Taolagnaro à Mahanjanga, en passant la région de Menabe, Haute Matsiatra, Amoron’i Mania, Bongolava et Betsiboka, les feux de brousse commencent à gagner du terrain
La forêt recule. C'est le cri d'alarme poussé par le Congrès forestier mondial organisé tous les six ans par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et qui se tient pour la première fois sur le sol africain à Durban. La planète a perdu 129 millions d'hectares de forêts en 25 ans, soit l'équivalent de la superficie de l'Afrique du Sud. Et le continent africain n'est pas épargné. Article publié le 08/09/2015
Madagascar possède 2% de la mangrove mondiale. La déforestation et la dégradation de ces mangroves commencent à se généraliser. Ces dégradations s’aggravent par les effets de changement climatique et la dépendance des communautés locales vulnérables.
Le ministère de l’Environnement et du Développement durable a publié un rapport relatant les points de feux détectés entre le 21 et le 28 octobre de cette année. 22 120 points de feu auraient été observés dans des zones non forestières.
C’est au cours de journées bien ensoleillées que les jeunes du Consortium Mahery de Morondava, dans la région Menabe, ont fait des sensibilisations éco-gestes dans les établissements scolaires de la ville.
Dans le cadre de Earth Hour 2017, la campagne nationale des éco-gestes "Namako Ny tany", mon amie la Terre, les jeunes du Consortium Mahery ont fait des descentes dans le CEG Centre, le Lycée Pôle Morondava, le CEG Tsimahavaokely et l'EPP Namahora Nord. Près de 400 élèves, collégiens et lycéens ont été sensibilisés. La campagne bi-hebdomadaire a démarré le 6 mars et durera jusqu'au 23 mars.
Un village remplacé par un lac et ses habitants réincarnés en crocodiles, une jeune fille emportée par la chute dont le nom lui fut donné en son souvenir… Découvrez les légendes autour de quelques lacs, tombeau, chutes… Article paru le 19/04/2017
Les mangroves de Madagascar d'une superficie d'environ 236,402 ha (WWF, 2019) sont un des écosystèmes les plus productifs de la grande île. Les productions halieutiques et forestières issues des mangroves, s'élèvent en moyenne à 23 613 $ / ha / an et 38 115 $ / ha / an (Salem & Mercer, 2012). Selon les données du ministère de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche en 2021, Elles génèrent un PNB de 24,8 milliards d'ariary en une année si on ne parle que des revenus issus de la pêche aux crabes, tributaire de cet écosystème. La gouvernance de ces ressources n'est pas encore effective malgré les efforts déployés. Depuis 1995, et ce jusqu'à aujourd'hui, on observe une perte importante de couverture : 74,050 ha au total pour l'ensemble du pays, soit 23,85% de la couverture totale (WWF, 2019)
La protection des lémuriens a débuté depuis les années 80. Cependant, les 103 espèces de lémuriens répertoriées, qui sont à 100% endémiques du pays, sont aujourd’hui à 100% menacées d’extinction. Pour le cas du plateau Mahafaly à Betioky-Sud, aux environs du Parc national de Bezà-Mahafaly, la structure mise en place pour la conservation de la forêt, principal habitat des lémuriens, engendre des antagonismes ethniques, ainsi que des rivalités entre les organisations
Le nouveau rapport Planète Vivante Océans de WWF est clair: les océans souffrent de la surexploitation et du changement climatique. Deux phénomènes alarmants, qui mettent à mal la santé de la mer et la survie des espèces.
La surpêche, de plus en plus agressive, fait fondre les stocks d’espèces marines. Le rapport souligne : les populations d’animaux marins (mammifères, oiseaux, reptiles et poissons) ont été réduites de moitié au cours des quatre dernières décennies. Certaines ont même vu leur effectif fondre de près de 75 %.
[ANTANANARIVO] Cent vingt chercheurs et étudiants provenant de 22 pays ont fait le point sur leurs connaissances au cours de la 12e édition du symposium sur les petits mammifères d’Afrique (ASMS) organisée à Mantasoa, Madagascar, du 12 au 18 avril.
La conférence scientifique intitulée "La biologie, la conservation et la recherche médicale" a amené les spécialistes à partager des informations à jour sur ces vertébrés.
Le requin-baleine, le plus grand poisson au monde, est aujourd'hui en voie d'extinction, directement exposé à de nombreux risques dans nos océans, compromettant directement sa survie.
A Madagascar, les récifs coralliens couvrent une superficie de plus de 2 000 km2. De Toliara à Antsiranana et du cap d’Ambre à Toamasina, ils longent environ 1 400 km de côte. A l’heure où le projet de gestion communautaire de la Mer d’Emeraude peine à se mettre en place et à être accepté par les populations de pêcheurs riveraines, notre journaliste a mené l’enquête à Tulear dans le cadre de sa formation sur la gouvernance des ressources naturelles proposée par le PGM-E/GIZ en collaboration avec la Fondation Friedrich Ebert.
Vingt sept ans après le premier bilan de santé du Grand Récif barrière de Toliara et la première alerte lancée aux responsables environnementaux et autorités sur le danger qu’encoure la survie du Grand Récif, cet écosystème unique continue de se déteriorer. En cause ? Les hommes et leurs activités.
Des représentants de 43 réserves de biosphère de 32 pays se sont réunis à Minorque, en Espagne, du 22 au 26 mai 2018 pour célébrer la 8e réunion du Réseau mondial des réserves de biosphère dans les îles et les zones côtières. Le Réseau couvre actuellement plus de 70 réserves de biosphère insulaires et côtières, soit l'équivalent de 10% des réserves de biosphère dans le monde. Malgré des caractéristiques différentes en termes de situation et de dimension, ces sites partagent la vulnérabilité face aux effets du changement climatique, parmi d'autres défis communs tels que l’espace limité, la concentration de la population mondiale dans les territoires côtiers et la gestion des déchets.
Les sept espèces de tortues marines du monde entier sont en danger. La chute de leur effectif présage leur disparition imminente au rythme de la destruction des zones de ponte et du braconnage, sachant également que les nouveau-nés sont des proies faciles pour les chiens, les oiseaux et les crabes
Les trafics de tortues s’enchainent dans le Sud. Au total, 122 tortues ont fait l’objet d’une tentative de trafic ce mois de novembre. Le dernier remonte au 26 novembre dernier, à Beahitsy, district d’Ampanihy Andrefana. 36 tortues ont été découvertes, cachées dans une grotte, après l’interpellation de 12 adolescents qui s’apprêteraient à les vendre. Ils auraient ramassé les tortues dans la nature et les ont caché dans leur repaire en attendant des potentiels acheteurs.
Le constat n’est pas nouveau : les zones humides, berceaux de la diversité biologique, sont en déclin, menaçant la biodiversité pourtant essentielle pour la survie de l’humanité.
L’igname ou « oviala », du nom scientifique Dioscorea spp et qui fait partie des lianes possède jusqu’à 33 espèces autochtones selon la base de données catalogue du projet Vahinala du Missouri botanical garden (MBG). D’aucuns connaissent la riche composition de ce tubercule pour l’alimentation humaine. En fait, les lianes constituent environ 9% de la flore de Madagascar toujours d’après les données catalogue du MBG. Plusieurs plantes comestibles sont catégorisées comme des lianes. Elles sont de la famille des Cucurbitaceae Article paru dans le quotidien la gazette de la grande île en date du 8 mai 2014
Les dernières mises à jour de la liste rouge des espèces menacées de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), publiée le mois dernier, placent le bois de rose et le palissandre de Madagascar parmi les espèces les plus menacées.
Si toutes les conditions sont favorables, la campagne de litchis sera ouverte vers le 10 et le 12 novembre pour cette année 2016, pour la région Atsinanana. C’est ce qui annoncé dans le rapport du Centre Technique Horticole de Tamatave (CTHT) sur la fructification des litchis. Le CTHT effectue des prospections et estimations sur plusieurs périodes de l’année. La dernière prospection s’est déroulée le 28 septembre 2016, dans la partie Nord de Toamasina (Toamasina, Antsikafoka, Anjahambe, Soanierana Ivongo) et dans la partie Sud (sur la RN 2 Toamasina, Analila, Brickaville, Vatomandry, Mahela). L’objectif est d’obtenir des informations sur le développement des fruits afin de déterminer les périodes de récolte des produits répondant aux besoins du chargement des bateaux conventionnels.
Les déversements d'hydrocarbures en mer constituent un grand danger pour la faune sous-marine et pour les régions côtières. Des exercices de lutte et de préservation ont été organisés à Toliara pour prévenir ce genre de catastrophe.
Hery Rajaonarimampianina a mis en place un « Dinam-pirenena » pour lutter contre la dégradation de l’environnement, hier. « L’impact de la dégradation de l’environnement sur les infrastructures dont dépendent le développement du pays, commence sérieusement à se faire sentir, comme ce que l’on peut constater à Andekaleka. L’objectif est d’arriver à un développement équilibré et durable », indique-t-il. Les communes seront encouragées dans le reboisement, la protection de la forêt et la lutte contre les feux de brousse.
Le changement climatique touche quasiment toute la planète terre et Madagascar n’échappe pas à cette fatalité. Effectivement, tous les pays du monde sont témoins des graves répercussions du réchauffement climatique et les effets ne vont pas en s’améliorant étant donné que la lutte contre le phénomène n’est pas encore tout à fait effective.
Le refus de témoigner du Gouvernement malgache a été l’une des causes ayant conduit le Secrétariat de la CITES à recommander l’embargo des espèces sauvages en provenance de Madagascar. Le geste, ou plutôt le manque de geste, des autorités malgaches durant le dernier procès de Singapour coûtera cher à la Grande île. À la veille de la 67ème session du Comité permanent de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, les gesticulations de dernière minute pourraient ne pas servir à grand-chose.
Les lois seront appliquées pour qu’il y ait des résultats cette année, tandis qu’un cabinet d’avocats international sera engagé pour entamer des procédures judiciaires au niveau international.
L’Etat via le ministère de l’Environnement se dit avoir fait de nombreux efforts pour éradiquer les trafics de faune et flore de Madagascar, y compris les bois de rose. La Banque Mondiale a déjà remis quatre vedettes rapides pour assurer le contrôle aux frontières. Raison pour laquelle, les Etats-Unis s’engagent à l’appuyer pour atteindre les objectifs fixés par la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) avant la soumission d’un rapport le 25 juillet 2016 auprès du Secrétariat de cette organisation internationale. En outre, le gouvernement américain apportera également un soutien technique et financier pour les poursuites judiciaires au niveau international. Le ministre de l’Environnement, Beboarimisa Ralava l’a annoncé lors de sa rencontre avec l’Ambassadeur des Etats-Unis à Madagascar, SEM Robert T. Yamate hier à Antsahavola Paru le 10 février 2016
Les efforts en matière de sécurisation du recouvrement des redevances et de ristournes en matière de ressources naturelles, ou du recouvrement des recettes et l’engagement des dépenses publiques au niveau des communes, sont également à mettre en avant, dans les réalisations du Volet Prévention du BIANCO.
Tous pensionnaires au musée de Mulhouse dont trois espèces de lémuriens de Madagascar pointent dans la triste liste des 25 primates les plus menacés de la planète.
Madagascar est l'un des pays les plus pauvres du monde, et le bien-être de la population dépend fortement du maintien du capital naturel du pays.
La pauvreté des populations favorise l’exploitation sauvage des faunes et des flores. Depuis quelques années, et jusqu’en 2016, la conservation des espèces en voie d’extinction est désormais renforcée, et l’une des stratégies est la sortie de la liste rouge des lémuriens. Ainsi, sur les 103 lémuriens existant ; 96 ont été réévalués, tandis que 7 ont été nouvellement évalués selon les critères de la liste rouge de l'UICN. Cet état indique que les lémuriens sont probablement le groupe des mammifères le plus menacé dans le monde entier.
La connaissance de l’état de la biodiversité s’est beaucoup accrue ces dernières années, aussi bien au niveau mondial qu’au niveau national pour Madagascar réputé pour sa biodiversité. Avec le changement de l’environnement, on est contraint de mettre certaines espèces dans les parcs pour leur préservation, mais aussi pour le développement du tourisme, d’après Sahondra Rabesihanaka, chef de service de la gestion de la faune et de la flore au sein du ministère de l’Environnement.
La « Journée de l’Agroécologie » organisée le 26 mars dans les districts de Betafo et Mandoto, suivie par la séance de restitution le 27 mars à Antsirabe, Région Vakinankaratra ont montré les avancées et les acquis en termes de sauvegarde de l’environnement et d’augmentation de la productivité agricole.
Savez-vous que si l’on n’agit pas maintenant, l’Allée des Baobabs pourrait disparaître dans les prochaines décennies ?
L’aire protégée Menabe Antimena, l’un des plus importants blocs de forêt sèche de Madagascar, a perdu 7% de sa surface totale pour la seule année 2017 ! Une situation que confirment des études de 2014, qui mettent en évidence que Menabe Antimena subit une déforestation effrénée et incontrôlable depuis 2010.
La communauté de base Madiorano Mahomby (« Eau potable, réussite » en malgache) ont bien choisi le nom de leur regroupement en 2010. Pour les membres de l’organisation communautaire « Madiorano Mahomby », du village d’Ampanitelo, dans le corridor forestier Fandriana Vondrozo au sud-est de Madagascar, c’était clair que leur objectif principal pour améliorer leur qualité de vie, c’était de faire ressurgir des sources d’eau taries.
Si les lémuriens de Madagascar disparaissent, alors de nombreux arbres disparaitront avec eux. L’extinction des lémuriens va provoquer la disparition des forêts sur le long terme.
Nadja est française, elle est en charge de la coordination de la Ferme École de Tambohomandrevo du programme Bel Avenir à Fianarantsoa. On parle avec elle en rélation à la campagne « Plus de légumineuses ! »
Depuis 2012, le partenariat RSE entre Orange Madagascar et l’Alliance Voahary Gasy a permis de mettre en place la ligne verte 512, accessible gratuitement à tous les abonnés Orange, pour dénoncer l’exploitation illicite des ressources naturelles de Madagascar.
Vers un élevage moderne axé sur le marché. « Le système d’élevage caprin des régions de Sud et Sud-Est reste encore traditionnel », comme l’a confié Johanna Sibbert, conseillère technique du Deutsche Gesellschaft fur Internationale Zusammenarbeit (GIZ).
Un protocole d'accord a été signé, à Antsahavola, entre le ministère de l'Environnement, de l'Ecologie et des Forêts (MEEF) et la FAO afin de promouvoir et d'encourager le commerce légal des bois précieux
Plus de 3.000 personnes issues des 24 villages avoisinant le parc national Sahamalaza-Île Radama, se trouvant sur la côte Nord-Ouest de Madagascar, ont été mobilisées dernièrement pour planter 1.500.000 propagules de mangroves, avec l’appui du ministère de tutelle.
Le Dr Mamy Rakotoarijaona, est maintenant nommé officiellement Directeur général de Madagascar National Parks (MNP) si auparavant il assurait l’intérimaire. A cette occasion, il a réitéré que la conservation est une nécessité et non plus un choix. « Donnons-nous ainsi la main pour instaurer cette culture de conservation. En fait, les activités de MNP ont été et seront encore plus focalisées sur la conservation de nos 43 Aires Protégées », a-t-il évoqué. Et comme défi, le nouveau Directeur général de MNP a soulevé qu’il fera tout son possible pour réduire les pressions, tels que les feux et les coupes illicites, qui s’abattent sur les joyaux de la biodiversité jusqu’à 75 voire même 80 %. Des consignes ont été données aux premiers responsables des Aires Protégées d’agir dans ce sens pour la nouvelle année 2020», a-t-il enchaîné.
« Madagascar National Parks » (MNP) et l’Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques (ESSA) renforcent leur partenariat dans le domaine de la recherche et de la formation. L’objectif consiste à promouvoir la recherche au niveau de la Réserve spéciale de Bezà-Mahafaly, afin de conserver la biodiversité locale. Ce sera ainsi un site de référence en matière de recherche sur la conservation de la biodiversité à Madagascar. En effet, cette réserve spéciale constitue une vitrine de la réussite de la collaboration de MNP avec les chercheurs nationaux et internationaux, a-t-on évoqué.
L'édition 2017 du Festival des Baleines aura lieu du 8 au 16 juillet 2017 à Sainte Marie. Une occasion unique de découvrir cette petite île paradisiaque de l'Est de Madagascar, son authenticité et son incessant défilé de baleines.
Des scientifiques ont retrouvé une espèce de caméléon, qui a été repérée pour la dernière fois à Madagascar en 1913, le caméléon de Voeltzkow.
Des chercheurs de Madagascar et d’Allemagne ont ainsi découvert lors d’une expédition dans le nord-ouest de la Grande Île plusieurs spécimens vivants du caméléon de Voeltzkow.
Un rapport a déclaré que l’analyse génétique effectuée démontrait que l’espèce était étroitement liée au caméléon de Labord. Il semble que ces deux espèces soient des espèces éphémères, ne vivant que pendant la saison des pluies par une éclosion des œufs, une croissance rapide, des combat avec des rivaux, des accouplements pour mourir ensuite au bout de quelques mois.
Au même titre que plusieurs autres espèces d’animaux et de plantes endémiques de Madagascar, l’habitat des caméléons de Voeltzkow est menacé par la déforestation.
Menacé, le bois précieux malgache va-t-il désormais être mieux protégé ? C’est en tout cas ce qu’espèrent les associations de conservation de la nature après la décision de la CITES
Favoriser l'autonomie financière des aires protégées de Madagascar, pérenniser leur financement, et impliquer davantage le secteur privé font parties des perspectives de l'avenir de la Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar
Article paru dans le quotidien Midi Madagasikara le 14/08/2013
Le Président de la République est porteur d’une grande ambition : recouvrir Madagascar de forêts et transformer l’île rouge en île verte. Le cap a été donné par une Communication adoptée le 27 février 2019 en Conseil des Ministres. En faisant du 19 janvier 2020 une journée nationale de lancement du reboisement marquée notamment par la plantation de 1,2 million d’arbres dans la région d’Analamanga, le Gouvernement a donné un signal fort d’une mobilisation destinée à se poursuivre. Cet élan est remarquable, il doit être reconnu et salué. Il confirme avec force les engagements pris par Madagascar de restaurer 4 millions d’hectares de terres dégradées et de forêts d’ici 2030, et s’inscrit parfaitement dans la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes.
Écrit par Pierre-Yves Babelon, Madagascar vu de l’Intérieur met en valeur la beauté et les différents attraits de la cinquième plus grande île du monde à une superficie de près de 600 000 km². Composé de deux volumes à savoir l’eau et la terre, cet ouvrage de 160 pages est le fruit de 7 ans de prises de vue et de 3 ans de préparation.
La chenille légionnaire d’automne (Fall armyworm - FAW) qui crée depuis début 2016 des ravages dans les champs d'Afrique, infeste et menace les plantations de maïs de la Grande Île.
Between August and September 1,300 hectares (3212 acres) of forest land in Ankarafantsika National Park in northwestern Madagascar was burnt. Bush fires from slash-and-burn cultivation, in which forestland is burnt and cleared to plant crops, caused the most damage. The fires impacted forests not just in the buffer zone of the park but also the core area. The Malagasy government has called on the international community to aid its fire-fighting efforts.
Pendant tout le week-end, le parc zoologique et botanique de Mulhouse est passé à l’heure malgache pour attirer l’attention du public sur la biodiversité menacée et unique de « la Grande île » de l’océan indien.
Du 10 au 15 novembre 2014, à l’hôtel « Le Pavé », Antananarivo, a été organisé un atelier de formation et d’information, axé sur l’évaluation d’impact environnementale de projets pétrolier et le recyclage du C.T.E
Des millions d'années d'isolement ont dessiné un chemin d'évolution unique pour les plantes et les animaux sur la Grande Ile, mais ils sont aujourd'hui face à la menace du changement climatique mondial.
La 69ème réunion du comité permanent de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et flore sauvages menacées d’extinction (CITES) s’est déroulée à Genève du 27 novembre au 1er décembre 2017. Durant cette réunion, le cas des bois précieux de Madagascar a suscité de longues discussions. D’ailleurs, une session a été consacrée aux questions spécifiques à ces espèces, dont les bois d’ébène (Diospyros spp.), et palissandres et bois de rose (Dalbergia spp).
Madagascar’s environment minister has criticized the way protected areas are managed in the country, setting the stage for a potential overhaul of the system to make conservation more people-centric - The stand has flustered some in the conservation community in Madagascar because it could mean reorienting their efforts in one of the planet’s most biodiverse countries, which is also extremely poor with high rates of environmental destruction - At a two-day meeting in late June, protected area managers, including a quasi-governmental agency and several international and local NGOs, shared details of their work, financial position, and challenges, with ministry officials - The ministry is expected to collate and analyze this information as a first step toward a broader evaluation and potential overhaul of the protected area system that could happen this year.
Article published by Rivonala Razafison and Malavika Vyawahare on 20 August 2020
Madagascar has withdrawn its demand to be allowed to sell illegally harvested rosewood timber that it had previously seized.
The move aligns Madagascar’s position more closely with that of the international community, which wants the country to crack down on the illegal logging and timber trade before a relaxation or lifting of the ban is even considered.
However, the government hasn’t ruled out seeking permission for a sale in the future, raising concern among observers about the message this could send to illegal traders and to other countries also seeking to offload stockpiles of trafficked contraband.
The unique biodiversity of the world’s oldest island, including its 110 lemur species, remains as imperiled as ever - Though the country has tripled the terrestrial area under protection since 2003, the quality of the protection is inadequate - Madagascar is lagging in the creation of marine protected areas with less than 1% of its total marine area of 1.2 million km2 (433,000 mi2) currently safeguarded under national law - Tourism could boost conservation efforts in important biodiversity areas, but it calls for greater investment from the government and private players.
Du 22 au 28 mai 2017, Madagascar organisera le salon baptisé « des lémuriens aux pays des cigognes » à Strasbourg, Place dauphine, pour faire la promotion des produits malgaches auprès du public alsacien.
Unique en son genre, cette manifestation mettra en avant la diversité culturelle, la biodiversité, l’artisanat et surtout les potentialités touristiques de la Grande île, d’après la Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI), initiatrice du projet.
Le IVe Congrès du Global Green, une rencontre des Verts mondiaux, s’est tenu à Liverpool (Royaume-Uni) du 30 mars au 02 avril 2017. Madagascar y a été représenté par une délégation du parti Vert Hasin’i Madagasikara composée de son président national Alexandre Georget et du membre du bureau politique Dr Ratafika. Plusieurs thèmes ont été débattus durant le Congrès dont entre autre, la démocratie, la santé vert et la Mer. Il incombait à Alexandre Georget, qui est, à la fois vice-président de la Fédération des Verts Africains (FEVA), d’exposer sur ce dernier thème. Il a surtout mis l’accent sur la nécessité de préserver la Mer. « La Mer est depuis des millions d’années le siège de prodigieux phénomènes naturels qui, aujourd’hui encore, modifient lentement ou avec violence l’aspect de notre planète. Elle occupe presque les ¾ de notre continent. Il est donc tout à fait naturel que sa préservation doit constituer une priorité pour toute l’Humanité, car elle est source de vie pour l’Homme. », a déclaré Alexandre Georget samedi dernier à la tribune du IVe Congrès du Global Green.
La Grande île est tristement connue pour ces nombreux trafics de bois précieux et notamment de bois de rose, exportés très souvent vers la Chine, même si la coupe et l’exportation sont interdites. Madagascar s'est engagé à ne plus en vendre, « pour le moment ».
La Ministre de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts Mme NDAHIMANANJARA Johanita et la Représentante Résidente ajointe du PNUD, Mme Marie Dimond ont présidé ce jour l’atelier de lancement du Projet « Renforcement des capacités nationales pour le respect des obligations environnementales mondiales dans le cadre des priorités de développement durable » financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Le projet est financé à hauteur de 2 150 000 dollars pour une durée de 05 ans. Il sera mis en œuvre par le Gouvernement de Madagascar à travers le Ministère l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts avec l’appui du PNUD et touchera l’ensemble du territoire national.
La coopération entre Madagascar et le Japon est au beau fixe. Celui-ci est prêt à soutenir la Grande Ile surtout dans son développement agricole. La preuve, le gouvernement japonais a confirmé l’octroi d’un financement non remboursable d’un montant de 30 millions USD pour démarrer le projet de réhabilitation du périmètre irrigué et du bassin versant du PC 23 au Lac Alaotra. Article publié le 26/03/2016
Les autorités malgaches doivent libérer immédiatement et sans conditions un militant écologiste détenu pour des raisons politiques, a déclaré Amnesty International dans une lettre au gouvernement.
Cela fait aujourd’hui six mois que Clovis Razafimalala a été arrêté pour la destruction présumée de biens et de documents publics au cours d’une manifestation à laquelle il n’a pas participé. Il a par la suite été inculpé de rébellion, de destruction de documents et de biens publics et d’incendie volontaire.
À Madagascar, la consommation de viande de tortue sur la côte ouest de l’île a intoxiqué une soixantaine de villageois. Quatre personnes sont décédées à Belo-Sur-Mer, au sud-ouest de la région du Menabe, dans le district de Morondava. Sept personnes sont toujours hospitalisées, indique la gendarmerie. Une enquête a été ouverte.
D'une pierre deux coups. Dans la ville de Tuléar, dans le sud-ouest de l'île, soixante-seize tortues radiées et 3,5 kilos de cannabis ont été saisis dans la même maison par la gendarmerie nationale. Les trois trafiquants ont été incarcérés.
International environmental NGOs working in Madagascar assume a relatively narrow role of supporting local conservation and development in line with government strategy - The nature of the NGOs’ legal relationship with the Malagasy government, which has close ties to the extractive industries, and the restrictions that come with international funding make it difficult for them to take a broader role or push for systemic environmental reforms -The result, some critics say, is that international NGOs fail to address the country’s most serious conservation challenges -Homegrown civil society groups have more room to operate in Madagascar and do some of the most important conservation work.
Sur la Grande Île, une nouvelle loi va désormais doter la justice et la police de véritables moyens pour lutter contre le trafic de bois précieux. Une avancée sans précédent rendue possible par la société civile malgache.
Les organisations environnementales malgaches l’attendaient depuis longtemps. Jeudi 17 décembre 2015, l’Assemblée nationale de Madagascar a définitivement adopté un projet de loi visant à lutter plus efficacement contre le trafic de bois précieux dans le pays Publié le 11/01/2016
A Madagascar, le groupe minier Rio Tinto s'est engagé de manière volontaire à compenser les dégâts environnementaux de ses activités extractives.
L'industriel entend même montrer que sa présence sur l'île a un impact positif sur la biodiversité. Un récent rapport de deux ONG dénonce les impacts sociaux de cette logique, qui se fait selon elles au détriment des plus pauvres.
Depuis fin 2008, une filiale de Rio Tinto exploite une nouvelle mine d’ilménite (un mélange de fer et de titane) au sud-est de Madagascar. Les 40 ans d'exploitation minière à venir vont détruire environ 1700 hectares de forêt littorale. Or, cette forêt abrite des dizaines d'espèces endémiques menacées à Madagascar. Pour contrebalancer les impacts environnementaux de sa mine et verdir son activité, le groupe a choisi de monter l'un de ses plus gros projets de compensation écologique.
Les 18 et 19 août dernier, a eu lieu à Madagascar l'atelier de lancement de l'exploitation du satellite VisibleInfrared Imaging Radiometer Suite (VIIRS) qui va aider à une meilleure prévention des feux de brousse.
Avec ce nouvel instrument, il est désormais possible de prévenir et de signaler en temps réel et avec plus de précisions les feux de brousse à n'importe quel endroit du pays
People in the highlands of central Madagascar have long buried their loved ones in shrouds of thick wild silk, typically from the endemic silkworm known as landibe (Borocera cajani). With support from NGOs, traditional silk workers have widened their offerings to include scarves made of wild silk for sale to tourists and the country’s elites. In recent years, the price of raw materials has shot up as the forests the landibe grows in succumb to fire and other threats, making it difficult for silk workers to continue their craft. However, where there are forest-management challenges, there is also opportunity: the silk business provides an incentive for local people to protect their trees. Some well-organized and well-supported community groups are cashing in on conservation, in spite of the broader silkworm recession.
Le contexte est toujours tendu entre les communautés villageoises et la société d’extraction minière australienne Base Toliara, installée dans le sud-ouest de Madagascar. Dans un communiqué publié, ce lundi 6 mai, deux organisations de la société civile de défense des terres malgaches ont appelé à la libération de neuf villageois accusés d’avoir dégradé des installations de la société. Une partie de la population locale conteste avec vigueur ce projet minier.
A Madagascar, cinquième île la plus vaste du monde, plus de 60% du territoire correspond à des terres cultivables. Un potentiel agricole énorme mais peu exploité aujourd’hui. Alors que la population est à 80% rurale, on estime à moins de 10% la surface cultivée. L’engrais industriel n’a pas encore inondé les champs de la Grande Île. On est à moins de 5 kg par hectare, quand on atteint les 200 kg en Europe ou en Asie. Mais en contrepartie, le rendement est très faible. Un homme s’est lancé le défi de permettre aux petits producteurs malgaches d’augmenter leur rentabilité, tout en préservant les sols. Il veut faire de son engrais biologique, l’engrais du futur de l’Île, ou mieux, du continent africain.
À Madagascar, des forêts et des aires protégées sont menacées par des migrants climatiques. Depuis plusieurs semaines, Madagascar National Parks, la structure chargée de la gestion des parcs nationaux, tire la sonnette d’alarme face aux défrichements des forêts, notamment des aires protégées. Des centaines d’habitants du Sud migrent vers des forêts du Nord, à la recherche de terres fertiles.
Des tortues étoilées, en voie d’extinction, étaient vendues aux enchères, sur Facebook. Le trafiquant à l’origine de cette vente a été placé sous mandat de dépôt, ce lundi 9 septembre.
A Madagascar, le tourisme représente moins de 10% de son PIB. Cependant, parmi ceux qui espèrent que cela va changer et que cette part va augmenter, il y a Madagascar National Parks qui gère les quelques 50 aires protégées de l'ile. L’organisme mise sur l’écotourisme pour attirer plus de visiteurs, étrangers comme Malgaches, dans ses parcs nationaux, y faisant cohabiter écologie, économie et social.
A Madagascar, la protection de la biodiversité et le développement durable sont au cœur de la recherche scientifique. La cinquième édition du forum dédié à la recherche en la matière s'est clôturée, vendredi 16 juin, à l'Académie malgache, à Antananarivo. Plus de deux cents chercheurs malgaches et étrangers y ont participé dans ce pays où 50000 hectares de forêts disparaissent tous les ans
Catastrophe écologique en vue à Madagascar. A l’allure où vont les choses, Vohibola, une petite forêt humide primaire de l’île, pourrait bien disparaître d’ici cinq ans. Situé sur la côte sud-est, aux abords du très touristique canal des Pangalanes, ce sanctuaire de faune et de flore endémiques a perdu plus de la moitié de sa superficie en 15 ans. Aujourd’hui, ses 1 000 hectares restants sont la cible de trafiquants locaux de bois, protégés voire complices avec certaines autorités de la zone. Face aux coupes illégales et aux menaces, les habitants des villages environnants s’organisent et interpellent l’Etat pour protéger ce qui leur reste de leur forêt, classée aire protégée depuis 2016.
Les cheptels de bovins ne cessent de diminuer à Madagascar. Pour améliorer le rendement des troupeaux de zébus, l’Agence internationale de l’Energie Atomique en collaboration avec le département de recherche vétérinaire du Centre National de recherche appliquée au développement rural (Fofifa) a délivré cette semaine une formation particulière à une poignée de vétérinaires malgaches. Comment la technologie nucléaire peut-elle améliorer la reproduction des bovidés ?
Dans le canal Sainte-Marie sur la côte est de Madagascar, la saison hivernale marque le retour des baleines. Ces mammifères marins ont quitté les eaux froides de l’Antarctique fin mars et viennent dans les eaux tropicales pour mettre bas ou se reproduire. L’occasion pour les scientifiques de les étudier.
Depuis toujours, l'océan Indien est un endroit privilégié pour l'observation des baleines à bosse. Madagascar, la Réunion, les Seychelles, les Comores, de juin à octobre, les baleines qui ont migré de l'Antarctique se retrouvent dans ces eaux plus chaudes pour s'accoupler et mettre bas. Depuis deux ans, les baleines se faisaient moins nombreuses dans la zone. Mais cette saison, elles sont revenues en masse. Un phénomène que les scientifiques, réunis début juillet à la Réunion pour le 2e Humpback Wale World Congress, ont pour la première fois tenté d'expliquer.
A Madagascar, les ONG de protection de la nature tirent une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Depuis son Indépendance en 1960, la Grande Île a perdu presque la moitié de ses forêts. Et les choses ont empiré à partir des années 2010 où près de 10% de leur superficie ont disparu. Dans sa dernière étude, Global Forest Watch annonce qu’un pic sans précédent a été atteint en 2017. Cependant, le nouveau président de la République compte bien s’atteler à ce problème environnemental. C’est en tout cas ce qui est inscrit dans son plan d’action présenté durant sa campagne. Comment les défenseurs de la nature appréhendent-ils les propositions faites par le chef de l’Etat ?
Vendredi 30 octobre, à l'occasion de la Journée mondiale des lémuriens, les guides touristiques de Madagascar se sont mobilisés pour sensibiliser, dans le cadre de plusieurs manifestations, les visiteurs sur cet animal endémique, emblème de la Grande Ile et en danger d'extinction.
À Antananarivo, la gendarmerie a interpellé deux individus en possession de tortues radiées, une espèce endémique du sud de Madagascar. Ils sont placés sous mandat de dépôt en attendant leur jugement prévu le 9 avril. Bien que l’espèce soit protégée, rien ne semble endiguer le trafic de tortues sur la Grande île.
Mettre un terme aux pillages de la biodiversité à Madagascar, c'est la demande du Centre de recherches et de publications sur les relations entre le tiers-monde et l'Europe (CETIM) au gouvernement malgache. Dans un compte-rendu adressé au rapporteur spécial des Nations unies sur l'environnement et les droits de l'homme la semaine dernière, l'organisation dénonce le pillage des ressources naturelles dans la Grande Ile, notamment par les concessions minières et les trafiquants de bois précieux. Des pratiques que les autorités malgaches doivent refuser une bonne fois pour toutes, estime le CETIM.
Une otarie venue d'Afrique du Sud s'est échouée sur une plage de Fort-Dauphin à Madagascar, vendredi 15 juillet. L’animal a été retrouvé vers 3 h du matin par des jeunes qui rentraient de soirée. Un événement rare, mais pas unique.
La brigade police routière (BSR) de la gendarmerie nationale à Maevatanàna resserre la vis. Pendant deux nuits successives, des transports illicites de produits forestiers et de ressources halieutiques ont été mis à nu. Au total, cinq balles de fibre de raphia pesant 350 kilos ainsi qu’une centaine de kilos de crevettes ont été interceptés
L’Alliance française de Mahajanga, en collaboration avec le Centre de recherche français agronomique pour le développement (Cirad) a organisé du 9 au 20 juillet une exposition sur le baobab. En fait, Madagascar est l’un des pays où est présente la majorité des espèces de cet arbre.
Valorisation de la migration des baleines-à-bosse le long des côtes malgaches durant l'hiver austral. Ainsi s'intitule le projet financé par l'Union Européene et la Commission de l'Océan Indien. C'est pourquoi l'Association CETAMADA met en place des actions en lien avec l'éctoursime baleinier durable et responsable, l'éducation environnementale auprès des établissements scolaires, le développement commnautaire (artisanat et la science participative sur les mammifères marins dans quatre sites, dont Mahajanga.
Le colloque international sur les Mangroves de l’Océan indien occidental (MOIO) a été lancé le 18 septembre à Mahajanga. Il ne prendra fin que mercredi. L’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) est à l’initiative de ce colloque, organisé à l’Hôtel Roches rouges, avec le concours de partenaires techniques et financiers, nationaux et internationaux.
Alerte au déversement d’hydrocarbure. À la suite de l’échouage lundi, du bateau immatriculé ARMAS-I MT00-.020, dû à son mauvais état, le gasoil contenu dans le réservoir et dans les bidons Jovenna s’est déversé dans la mer. L’embarcation devait partir pour les Comores le même jour.
La célébration de la Journée mondiale de l’environnement a été marquée dans la région Boeny par diverses manifestations. Elle a été clôturée lundi, dans la commune urbaine d’Ambato Boeny. « Luttons ensemble contre le commerce de nos espèces endémiques sauvages », un thème pour faire face à la recrudescence des exploitations abusives et illicites des espèces protégées dans la région.
Suite à la suspension de ses activités par l’Etat malagasy, la société MainLand a procédé aux démarches pour l’obtention de son permis environnemental. De leur côté, les personnes qui s’opposent au projet poursuivent leur lutte et avancent davantage de nouveaux arguments.
Les effets du changement climatique sont inquiétants pour la région sud de Madagascar. Pour contribuer à l’atténuation de ces impacts menaçants, l’ONG Bel Avenir organise régulièrement des journées de reboisement de la mangrove dans l’aire réservée de Tsingoritelo non loin de Toliara. Le 27 novembre, 3000 nouvelles jeunes pousses de palétuviers (Rhizophora mangle) ont été plantées par des jeunes de Bloco Malagasy, Malagasy Gospel et de la fanfare du Centre d’Art et Musique, accompagnés de volontaires et employés de l’ONG. Les Mangroves, ces forêts longtemps sous-estimées, hébergent de nombreuses espèces marines et protègent les côtes vulnérables aux tempêtes et à l’érosion des sols. Elles sont donc ainsi vitales pour la planète, selon l’ONG. Pour cette organisation, le reboisement et la protection de ces mangroves visent à conserver une des dernières mangroves existant dans le sud de Madagascar.
L’état des lieux des mangroves à Madagascar est alarmant. En effet, entre la période de 1995 à 2018, une perte de l’ordre de 13% de cet écosystème forestier est observée. Le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Alexandre Georget, l’a évoqué lors de la signature de l’acte de l’atelier national sur les mangroves de Madagascar hier, à l’hôtel Carlton. C’est dû notamment aux activités de production de charbon, de coupes illicites des bois pour la construction et à la conversion des forêts de mangroves en parcelles de culture. Cependant, les mangroves jouent à la fois un rôle de production de bois, de miel, de soie sauvage, de protection contre l’érosion et les aléas climatiques et de régulation en matière de séquestration de carbone.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement Rural ne ménage pas ses efforts afin de relancer l’agriculture dans des zones à fortes potentialités agricoles. Publié le 15/05/2015
Un séminaire international sur l’amélioration de la filière cacao se déroule pendant trois jours à Antananarivo. Le contexte du cacao est catastrophique.
La plateforme des petits Etats insulaires s'est réunie à Balaclava, Maurice, afin d'explorer les opportunités des partenariat. Le tourisme durable a été évoqué.
Cent trente tortues de Madagascar ont été interceptées à Maurice. Les policiers, les douaniers malgaches ainsi que les responsables de la sécurité aérienne n’ont vu que du feu. Un trafic qui s’effectue sous les yeux et à la barbe de la Police de l’Air et des Frontières ainsi que des douaniers malgaches. Après avoir réussi à faire sortir cent trente bébés tortues par des moyens qui laissent rêveur à l’aéroport international d’Ivato, une Malgache a été interpellée à Maurice, lundi, avec les animaux qu’elle a réussi à faire passer. Article paru le 13/05/2016
Environ 1 000 espèces ou près de 85% ou plus précisément 84,9% des orchidées dans le monde selon la base de données du catalogue du Missouri botanical garden (MBG).
C’est l’importance de la richesse des orchidées de Madagascar. Considérées comme des espèces phares tant par leur beauté et la couleur de leurs fleurs que leur parfum, les orchidées qui prospèrent dans les forêts sont toutefois menacées par la variabilité climatique et l’exploitation forestière Publié le 06/01/2015
Les grandes ruées et même les explorations et exploitations légales de ressources minérales contribuent à la dégradation de l’environnement. Face à ce constat, des actions doivent être menées, selon le ministre Joéli Lalaharisaina Valérien.
Une sensibilisation sur le respect des réglementations sera menée par la Direction des études environnementales stratégiques, au sein du Ministère auprès de la Présidence en charge des Mines et du Pétrole (MPMP). Paru le 6 février 2016
Des montants exorbitants. C'est ainsi que des membres du syndicat des agents forestiers et de l'administration forestière, ont résumé les détails de la facture afférente à la cérémonie d'ouverture officielle du reboisement national et de l'aménagement du quartier vert du lac Anosy organisée le 29 janvier.
La ministre de l’Environnement et du Développement durable, Vahinala Raharinirina BAOMIAVOTSE, a effectué une descente sur terrain le samedi 14 novembre 2020 dans la ville de Morondava afin de constater les actions menées par FANAMBY dans l’aire protégée de l’Allée des Baobabs et ses environs, mais aussi pour voir de plus près les actions sociales au profit des communautés locales assurées par SAHANALA.
Saisies de tortues endémiques du pays, arrestation d’équipages d’un navire exportateurs de bois de roses ou encore tendance à la baisse en matière de feu de brousse, les réalisations du ministère de l’Environnement durant l’année 2018 sont encourageantes.
Le 20 avril dernier, quatre personnes ont été appréhendées en flagrant délit de coupe illicite de bois de palissandre dans une zone tampon d’Ankarafantsika. Elles ont été, tout de suite, traduites en justice et ont été placées en détention préventive. Le ministère de l’environnement et du développement durable ne perd pas sa vigilance malgré la crise sanitaire qui sévit actuellement. Et même durant la période de confinement, la ministre Vahinala Raharinirina a rassuré que les démembrements de son ministère restent à l’affût de toute tentative de destruction de la nature. Elle a annoncé, dimanche dernier à Alasora, l’« opération tolérance zéro » contre les crimes environnementaux. Et elle a réitérée cette annonce lors de son entretien, mardi dernier à son bureau à Antsahavola, avec l’ambassadeur Japonais, Yoshihiro Higuchi. Ce dernier a exposé à la ministre malgache de l’Environnement et du développement durable, la volonté de son pays de consolider davantage ses relations avec Madagascar en matière de développement durable.
Les communautés villageoises, surtout celles résidant aux alentours aux alentours des Aires Protégées sont également touchées par la crise sanitaire car leurs moyens de subsistance sont affectés. Face à cela, Missouri Botanical Garden (MBG), a créé des emplois verts en faveur de ces communautés riveraines des deux aires protégées sous sa gérance (Aire Protégée de Makirovana-Tsihomanaomby et celle d’Ankarabolava-Agnakatrika).
Ce programme a été financé par le biais des subventions octroyées par l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) Save our species. Il s’agit d’un fonds d’urgence servant à atténuer les effets de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19. Ce fonds d’urgence est ainsi utilisé pour améliorer le système de contrôle et de suivi communautaire des ressources forestières tout en fournissant des revenus par la création des emplois verts. Plus de 1 000 familles membres des communautés riveraines de ces deux aires protégées gérées par Missouri botanical garden, en sont les bénéficiaires. A titre d’illustration, une équipe de patrouille est organisée par un réseau de communauté locale, en vue d’assurer la protection des forêts. Cette approche fournit aux populations locales un revenu supplémentaire pendant la période difficile de la crise sanitaire. Elle favorise également l’engagement local dans la conservation de leur patrimoine naturel.
Si depuis près de dix ans, des organismes d'appui travaillent à la mise en place d'une nouvelle aire protégée, le retrait en 2009 des principaux bailleurs de fonds agravé par les effets de la crise a engendré un véritable pillage de ces ressources, en particulier forestières. Le développement d'activités écotouristiques associées à des actions de conservation pourraient alors se présenter comme une alternative
Situé à quelques kilomètres seulement de Diego Suarez, et offrant un panorama exceptionnel sur tout le nord de Madagascar, le massif de la montagne des français abrite un patrimoine culturel, historique, faunistique et floristique exceptionnel. Alors que le processus d’obtention de l’arrêté de protection définitive de la Nouvelle Aire Protégée Ambohitr’Antsingy Montagne des Français est de nouveau d’actualité avec la mise en place récente de nouveaux partenariats, celle-ci fait depuis plusieurs mois voire plusieurs années l’objet d’une exploitation sauvage intensive pour en extraire du charbon mettant en péril tout l’équilibre de l’éco-système local, engageant la survie même de la forêt et des espèces qu'elle abrite à brève échéance. Les autorités réagissent
Le reboisement constitue une des grandes priorités de l’Etat a annoncé d’emblée le président de la République AndryNirina Rajoelina, lors du lancement officiel de la campagne de reboisement à Moramanga, le 02 février dernier. Une occasion également pour le chef de l’Etat d’exhorter tout un chacun à adhérer à cette noble tâche.
Un appel du président de la République qui n’est pas resté sans suite à en croire l’implication du secteur privé dans le cadre du partenariat public-privé, pour ne citer entre autres, que l’établissement BEAM Paulownia-Madagascar qui, pour l’occasion, s’est distingué de ses pairs dans le lancement du reboisement à croissance rapide dans la promotion de la variété d’arbre dite « Paulownia » où 25.000 jeunes plants ont été mis en terre pour la circonstance.
Madagascar… Cette île située au large du continent africain abrite une faune et une flore extrêmement riches ! Son isolement géographique, sa diversité de reliefs et de climats ont permis l’apparition de plusieurs milliers d’espèces animales et végétales… et on en découvre encore de nouvelles aujourd’hui ! Parmi les plantes répertoriées sur l’île, nombreuses sont celles auxquelles on attribue des vertus médicinales. Article publié le 3 mars 2017
Malgré la place importante que la société malgache accorde à la médecine traditionnelle, la formalisation de celle-ci reste encore incertaine. Actuellement, cette pratique pousse sur tous les coins de rue.Les guérisseurs traditionnels tiennent un grand rôle dans la société malagasy actuelle Article paru le 16 mars 2016
Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la météorologie (JMM), des centaines d'élèves seront sensibilisés sur l'impact du changement climatique. Quarante-sept élèves vont bénéficier d'une sensibilisation au changeent climatique cette semaine. "Nous formons ces élèves de la région d'Analamanga, en collaboration avec le club Vintsy de l'école polytechnique de Vontovorona. Il s'agit de faire connaître aux enfants les habitudes quotidiennes à prendre pour faire face au changement climatique". explique Falitiana Ramindrasoa; directeur du transport et de la météorologie. Soixante-quatorze animateurs interviendront dans les écoles. Une vingtaine d'élèves seront sensibilisés, la semaine prochaine.
The four-yearly World Conservation Congress of the International Union for the Conservation of Nature has just taken place in Hawai’i. The congress is the largest global meeting on nature’s conservation. This year a controversial motion was debated regarding incorporating the language and mechanisms of “natural capital” into IUCN policy.
Un rapport des autorités malgaches sur l’échouage du navire panaméen MV New Mykonos, signale une sédimentation de poussière de charbon de terre dans ce site à fort taux d’endémicité de faune et de flore marines. Sort incertain pour les près de trois mille espèces de faune et de flore marines, répertoriées dans la zone d’échouage du gros-porteur panaméen MV New Mykonos. Transportant à son bord 160 000 tonnes de charbon de terre, ce navire, dont la proue s’est brisée lors d’un violent impact avec un monticule sablonneux, depuis son naufrage le 29 février, laisse échapper des particules de houille. Article paru le 25/05/2016
Selon un communiqué publié par l’APMF, le navire échoué à Faux cap risque de « perte » du bâtiment. La missive « avise », aussi, d’une menace imminente de pollution de la mer et du littoral. Menace imminente. C’est le terme que l’Agence portuaire, maritime et fluviale (APMF), annonce sur le risque d’une pollution de la mer et du littoral de l’extrême sud de Madagascar. Par le biais d’un communiqué de presse publié, hier, l’entité en charge de la surveillance et régulation du commerce et trafic maritime avertit que la « perte » du navire échoué au large de Faux cap, dans la région Androy, est à craindre. Article publié le 11 mars 2016
Un groupe de primatologues qui étudie essentiellement les lémuriens de Madagascar ont conclu que 95% des lémuriens de Madagascar sont en voie de disparition et auront définitivement rejoint les légendes comme le rhinocéros blanc d’ici quelques années si rien n’est fait.
La nouvelle édition de Madagascar en fête se déroulera les 29 et 30 avril 2017. Ce sera l'occasion de faire connaissance avec le tout dernier né du zoo de Mulhouse : Nofy, un lémur aux yeux turquoise, aussi rare qu'attachant.
Nofy, un petit lémur aux yeux turquoise (Eulemur flavifrons), est né le 23 février. Sa maman s'appelle Jaune, elle s'occupe de lui depuis sa naissance. Âgée de 14 ans, elle est arrivée au Parc zoologique et botanique de Mulhouse en 2011. Cette naissance récente est précieuse puisque l'espèce est considérée comme en danger critique d'extinction par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Elle figure d'ailleurs parmi les 25 primates les plus menacés au monde.
Suite au conseil des ministres du 30 juillet 2014 dernier, Monsieur ANDRIANARIJAONA Jean Joseph est nommé directeur à la direction régionale de l'environnement, de l'écologie et des forêts de la région Anôsy.
Trois cents pieds d’acacias ont été plantés, le samedi 9 février, au Mont Passot, un endroit situé dans la partie nord de l’Île aux parfums, plus précisément sur le versant du lac Antsidihy. C’était lors de la journée de reboisement initiée par la Jeune chambre internationale (JCI) de Nosy Be.
Dans le cadre de l’embellissement de la ville et pour faire de Nosy Be une des villes les plus fleuries de Madagascar, la Commune Urbaine de Nosy-Be, en partenariat avec le GIHTNB (Groupement Inter professionnel de l’Hôtellerie et du Tourisme) propose un aménagement de tous les espaces verts d’Hell-ville, en commençant par le centre ville et le Cours de Hell
Une signature de convention de collaboration entre le fokontany d'Ampasindava, le projet C3 et Madagascar National Parks a été effectuée le 1er février dans le cadre d'un projet impliquant la communauté locale dans la gestion et la conservation de la biodiversité marine dans le Parc de Nosy Hara
Nosy Tanikely est la plus petite île dans l’archipel de Nosy-Be. Cet îlot est inhabité mais il est reconnu sur le plan mondial par sa richesse en biodiversité marine.
Classé en septembre 2011 comme étant une Aire Protégée marine et côtière, il est maintenant le site le plus visité par les touristes, aussi bien nationaux qu’étrangers dans l’île aux Parfums. En effet, « nous avons enregistré plus de 44 000 visiteurs en 2018 contre environ 38 300 visiteurs l’année précédente. C’est toujours en nette évolution puisqu’on n’a recensé que près de 20 000 touristes par an lors de sa création. Et pour cette année, les statistiques enregistrées sont également en nette progression. En effet, on a enregistré plus de 35 000 visiteurs à la fin du mois de septembre alors qu’on est en pleine période de haute saison touristique ». Randimbison Landisoa, l’a expliqué lors d’une visite organisée avant-hier par la Fondation Tany Meva au profit des bénéficiaires du Fonds de partenariat pour les écosystèmes critiques (CEPF) à Nosy Tanikely.
Pour une deuxième fois, le site de Tripadvisor a choisi Nosy-Be comme l’une des 10 plus belles îles en Afrique. Cette année, cette île malgache est en troisième position.
Nosy-Be, ce sont les belles plages de sable blanc typique de carte postale avec l’eau cristalline et de la mer turquoise, une vie de fête au rythme de la musique locale à Ambatoloaka, la découverte de ces îlots faisant le succès de Nosy-Be. Ce n’est pas pour rien que l’Ile au « parfum » a été élue plus belle île de l’Afrique. Ce sont également des ballades à cheval dans des circuits atypiques et des voyages inédits proposant de découvrir la faune et la flore de ce sanctuaire de la nature, mais aussi de découvrir la culture au quotidien des malgaches sakalava qui y vivent.
L’atelier de lancement officiel du Projet Rice Advice qui est un outil d’information, d’aide à la décision pour conseiller les riziculteurs dans la gestion de la fertilité des sols et l’élaboration de calendriers rizicoles, s’est tenu le mercredi 06 mai à l’Hôtel Flower Palace à Antsirabe.
Une conférence débat portant le thème « La Nouvelle Politique de l’Energie (NPE) » pour la vision 2015-2030 s’est déroulée la semaine dernière pendant la célébration de la journée mondiale de l’énergie Article paru le 13/11/2015
Après des années d’études et de concertation entre les ONG de protection de l’environnement, le gouvernement, et les populations locales, la baie d’Ambodivahibe, zone exceptionnelle de biodiversité marine et terrestre, a obtenu le statut d’aire marine protégée de catégorie.
Helpsimus est l’origine du 3ème atelier technique international pour la conservation du grand hapalémur grâce à ses partenaires : le Cotswold Wildlife Park et la SECAS !Un rendez-vous important pour la conservation de l’espèce qui n’avait pas eu lieu depuis 2011 Publié le 19 août 2015
La cérémonie d’inauguration de la nouvelle prise d’eau de Bevoay ainsi que la pose de la première pierre dans le cadre du Projet d’Extension du Périmètre de Bas Mangoky (PEPBM) cofinancé par la Banque Africaine de Développement( BAD) et le Gouvernement Malagasy se sont déroulées en présence de son Excellence Monsieur le Président de la République de Madagascar, Hery RAJAONARIMAMPIANINA accompagné du Ministre de l’Agriculture, Roland RAVATOMANGA, du Ministre des Finances et du Budget, François Gervais RAKOTOARIMANANA et de Monsieur le Représentant Résident de la BAD, Abdelkrim BENDJEBBOUR le jeudi 04 juin 2015.
Petriky, Mandena et Sainte-Luce ou Ambatoatsinana.
Ce sont les Nouvelles aires protégées (NAP) situées sur un site minier, soit à Fort-Dauphin, là où travaille la compagnie minière Rio Tinto QMM. Le coordinateur de la NAP d’Ambatoatsinana, Jimmy Andrianirina rappelle : « Avant de devenir une NAP, ces sites ont été des zones de conservation gérées par le « dina » (ou le pacte communautaire). Lorsqu’elles deviennent des aires protégées, le côté conservation est renforcé avec des règles plus strictes. Et avec toutes les parties prenantes dont la direction régionale en charge de l’environnement et des forêts, nous continuons à sensibiliser les communautés locales et à identifier les méthodes pour améliorer les activités génératrices de revenu. Avec cette approche, il est plus aisé de convaincre les communautés de protéger ces aires. Elles sont d’ailleurs convaincues de cette conservation qui rapporte pour l’écotourisme ».
31,5 hectares de terrains. C’est la surface totale reverdie par l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (Omnis) durant ses campagnes de reboisement annuelles, menées depuis 1986. En effet, cet organisme rattaché au ministère des Mines et des ressources stratégiques organise, tous les ans, une journée de reboisement avec la participation de ses partenaires des secteurs public et privé. De grandes compagnies prennent, en effet, part à ces actions. Pour l’Office, il s’agit de donner l’exemple, selon son DG par intérim, Lalanirina Ranoroarisoa. Lors de la journée de reboisement vendredi dernier à Ampangabe, le DG p.i. de l’Omnis a annoncé l’obtention de six certificats fonciers pour six parcelles où l’Office a mené ses reboisements annuels. « Nous sommes également en train d’effectuer les procédures pour l’obtention de titres. Il faut une responsabilisation. C’est pour cela que l’Omnis veille à ce que les arbres plantés soient entretenus. Il y a des suivis assurés par des techniciens », a indiqué le DG p.i. Lalanirina Ranoroarisoa.Celle-ci a ajouté que l’Omnis poursuivra ses actions en faveur de l’environnement. Pour cette année, c’est la parcelle dénommée Amboavahy, touchée par un feu de brousse, qui a été regarnie avec 2.000 jeunes plants d’olive.
Depuis le début de l’année jusqu’au 20 juin 2017, l’Office National de l’Environnement (ONE) a délivré 31 permis environnementaux pour des projets d’investissement implantés dans différentes régions de Madagascar.
Une évaluation environnementale stratégique doit être mise en place afin d’étudier si la politique de développement du pays a des impacts sur l’environnement.
L’Office National pour l’Environnement (ONE) célèbre actuellement les 20 ans d’application du Décret MECIE (Mise en Compatibilité des Investissements avec l’Environnement)
L’Office National pour l’Environnement a délivré huit permis environnementaux lors du quatrième trimestre de l’année 2018. Cela concerne plusieurs secteurs d’activité, dont entre autres, l’exploitation minière, le traitement de déchets, l’agriculture, l’industrie et l’élevage. Les projets des promoteurs touchent cinq régions, à savoir Analamanga, Vakinankaratra, Atsinanana, SAVA et Atsimo-Andrefana.
Pour le cas de Tiko, les autorités locales notamment le maire s’opposent à sa fermeture compte tenu de ses retombées socio-économiques dans sa zone d’implantation, pour ne citer que la création d’emplois.
Pour prendre en main la protection de l’environnement dans la région DIANA, l’ONG C3 en collaboration avec ses partenaires a effectué plusieurs évènements dans toute la région.
Une école primaire basée surtout sur l’environnement dans la commune de Sabotsy Namantoina, district d’Ambatolampy. C’est le premier projet fruit de la récente collaboration entre deux organisations non gouvernementales : le Réseau Fivoarana Développement (RFD), présidé par Bearisoa Rakotoniaina, et la Humanity Foundation Madagascar (HFM), dirigée par un opérateur indien, Mohammed Shabbir, ayant pignon sur rue à Antananarivo. Une collaboration qui entend contribuer au développement du pays en mettant en exergue l’importance de l’environnement dans le processus en question. Effectuée lundi dernier, la signature de la collaboration attend atteindre une bonne partie des objectifs du développement durable (ODD) définis par les Nations-Unies, notamment ceux qui sont liés à l’éducation, à la pauvreté, aux inégalités, au climat, à la dégradation de l’environnement, à la paix et à la justice. Pour ce faire, la HFM sera présente à Paris lors d’une manifestation organisée par le RFD en juin 2020. Soit lors de la célébration du 60ème anniversaire de l’indépendance de Madagascar dans la capitale française, avec le soutien – pour la première fois – de l’Ambassade malgache à Paris. Et pour donner plus d’éclat au programme, Bearisoa Rakotoniaina vient d’inviter les différents départements ministériels, comme ceux des Affaires étrangères, de l’Environnement, de la Culture et la communication, de l’Industrie et de l’artisanat, ainsi que l’Université d’Antananarivo et la Mairie de la capitale. Il conviendrait de dire que le principe de l’école verte a été appliqué depuis un certain temps par certaines organisations œuvrant dans la protection de l’environnement, mais à petite échelle. Il serait pourtant intéressant d’étendre – voire d’intégrer – ce principe dans le programme d’éducation malgache, étant donné que nous sommes en plein dans l’ère des questions relatives aux enjeux climatiques.
Les effets des changements climatiques ne sont plus à démontrer dans la grande-île. Lesdits changements se manifestant aussi bien à l’intérieur des terres que dans les fonds marins.
L’équipe du secrétariat du fonds de partenariat pour les écosystèmes critiques (CEPF) ou « Critical Ecosystem Partenership fund » et l’équipe régionale de mise en œuvre représentée par la fondation Tany Meva, organise un atelier de rencontre des récipiendaires de fonds, pendant 2 jours depuis hier, à l’hôtel Ibis, Ankorondrano.
La ville de Vohémar, dans la région SAVA (Sambava, Antalaha, Vohémar, Andapa) connaît une recrudescence de la chasse illégale de tortues marines. Face à cette situation, la société civile de la région est intervenue directement pour sauver onze tortues des braconniers. Avec l’aide de la direction régionale de la pêche et la gendarmerie, les tortues ont été saisies et mises en quarantaine. C'est une nouvelle bienvenue pour la célébration de la Journée Mondiale des tortues marines, ce 16 juin.
Une conférence débat concernant le changement climatique, s'est tenue hier à l'hôtel le Pavé à Antaninarenina. Elle a été organisée par le FES (Friedrich Ebert Stiftung) et l'Ylfcc (Yaoug Leader Fighting against Climate Changement).
Les experts ont ajouté 817 espèces à des catégories menacées de la Liste rouge de l'UICN dans la dernière mise à jour. Ceux ajoutés comprennent 51 mammifères, la plupart des lémuriens et plus de 400 plantes. La nouvelle mise à jour estime que plus de 90% de lémuriens et 79% des orchidées tempérées sont menacées d'extinction
Durant toute la semaine du 22 août, une formation en Système d’Information Géographique (SIG) a été donnée pour ceux qui œuvrent dans ce domaine par le biais du PAGE/GIZ.
Projet pilote de Réduction des Émissions issues de la Déforestation et de la Dégradation des forêts et d’accroissement des stocks de carbone forestiers (REDD+) à Madagascar, le Programme Holistique de Conservation des Forêts (PHCF) s’apprête à démarrer sa phase II après un bilan très positif de la phase I
Conformément au Plan Sectoriel de l'éducation (PSE), le minsitère de l'Education national et de l'enseignement technique et professionel (Menetp) vient de renouveler l'accord de collaboration avec Conservation centrée la communauté (C3) sur l'intégration du concept de l'éducation environnementale, surtout celui de la conservation de la biodiversité marine, dans le programme scolaire.
La Fondation Tany Meva contribue à la mise en œuvre de la politique nationale de l’électrification rurale en finançant cinq projets de construction de cinq pico-centrales hydroélectriques, à Anjozorobe, à Antsohihy et à Ambositra.
La déforestation massive dans la partie Nord-Est de Madagascar, notamment à Andapa, grenier à riz de la région SAVA (région regroupant quatre districts dans la partie Nord-Est de Madagascar qui sont : Sambava, Andapa, Vohémar et Antalaha), entraîne l’érosion des bassins versants et l’ensablement de la plaine rizicole. En amont du bassin versant de Sahamazava, la culture sur brûlis forestier participe à une stratégie de survie des ménages agricoles les plus démunis. Ces pratiques perturbent également l’approvisionnement en eau potable de la commune urbaine d’Andapa. Un système de Paiements pour Services Environnementaux (PSE) a été envisagé en vue de réorienter le comportement des agriculteurs défricheurs. Le mécanisme promeut l’abandon de l’agriculture itinérante sur brûlis forestier (tavy) au profit de la pratique de cultures pérennes en amont du bassin versant.
Toutes les régions de Madagascar sont aujourd’hui sujettes à des exploitations de différentes sortes. D’ailleurs, celles minières à Madagascar sont de plus en plus nombreuses et les cas atteignent un niveau de préoccupations élevé.
Dans le Sud-ouest de Madagascar, l'élevage (zébus, chèvres, moutons) est une source majeure de revenus pour la population et représente une importance culturelle. Dans cette région subaride, le système d'élevage est soumis à un climat extrêmement sec et fait face à un manque de nourriture et d'eau pendant plusieurs mois par an. Pour faire face à ces difficultés, les éleveurs pratiquent la transhumance et laissent divaguer le bétail dans la forêt du Parc National de Tsimanampesotse ; cette stratégie a ainsi ouvert une piste qui traverse le parc. Paru le 08/01/2016
Différents acteurs conjuguent leur compétence pour optimiser la protection des tortues marines dans le Parc marin de Nosy Hara et de leur habitat. Il s'agit en l'occurrence de Madagscar National Parks (MNP), de WWF, de l'ONG Concservation Centrée sur la Communauté (C3), des Comités Locaux du Parc (CLP), des pêcheurs locaux, de la faculté des Sciences de l'Université d'Antsiranana et des étudiants de l'Institut Halieutique et des Sciences Marines (IHSM) Paru le 28/11/2015
La protection de l’environnement ne se limite pas uniquement à la préservation des forêts. Cela concerne également ceux qui s’en servent en guise d’habitation, les animaux endémiques devraient faire l’objet de protection spécifique.
L’exploitation illicite de saphir qui dure depuis plusieurs années dans le parc national de l’Ankarana menace gravement l’environnement de cet éco-système protégé. Un dialogue pour réduire ces exploitations dans le noyau dur du parc a eu lieu ce jeudi 14 avril afin de trouver des solutions.
La Grande Ile, qui est un véritable paradis desbirdwatchers ou des ornithologues, est à l’honneur dans ce parc qui accueille plus de 280 000 visiteurs chaque année.
Plus de 275 espèces de coraux, 260 espèces de poissons, lémuriens, crocodiles, oiseaux de mer, etc. Nombreux sont les espèces à préserver dans la réserve marine d’Ambodivahibe. Face à l’efficacité des actions de protection, Conservation International a reçu d’autres financements supplémentaires des bailleurs, pour poursuivre ses actions dans cette zone, pour trois ans de plus. Pour pérenniser les actions de préservation, un nouveau circuit touristique a été lancé Article paru le 15 mars 2016
C’est un phénomène qui a perduré au niveau de certaines zones protégées à travers la Grande Ile mais auquel il a été difficile de trouver un remède. Des populations chassent souvent les lémuriens, une espèce protégée et endémique de la Grande Ile.
Des chasseurs ont été récemment interpellés dans les environs du parc d’Andasibe, au centre-Est de la Grande Ile. Les autorités locales tiennent à afficher la fermeté, face à ce fléau. Deux hommes ont été arrêtés et incarcérés tandis qu’un autre a pu prendre la fuite selon le ministère de l’Environnement.
Tous ceux qui ont visité le parc national d’Andasibe connaissent le lémurien Indri Indri qui fait la renommée de la faune dans cette partie du centre Est de Madagascar. Chaque année, plus de 25 000 visiteurs nationaux et étrangers se rendent dans le parc national d’Andasibe pour une visite guidée afin de découvrir les particularités de sa faune et de sa flore.
Le parc national Isalo reste le parc le plus visité de la Grande Ile. On y enregistre 25 000 à 30 000 visiteurs par an, ce qui représente environ le 1/10 du nombre de touristes enregistrés aux frontières malgaches en une année
25 années de lutte contre les feux de brousse pour protéger le parc national de la Baie de Baly qui sont réduites à néant.
Neuf jours durant, le feu a consumé les forêts du parc national de la Baie de Baly. Plus de 200 hectares de forêts se sont ainsi embrasés, emportant de précieuses espèces faunistiques et floristiques protégées
Deux nouveaux circuits éco-touristiques sont proposés aux adeptes de la randonnée sein du Parc national de l’Isalo. Il s’agit du circuit Antsifotra et du circuit Anjofo. Ces circuits pédestres figurent parmi les plus sauvages et les plus spectaculaires dans ce site préservé de 80 000 hectares. Il faut parcourir en boucle 27km, avec un départ et une arrivée au niveau du village d’Andremanero.
L'année dernière, les feux ont ravagé des superficie forestoères. Plusieurs organismes ont crié au scandale. Cependant, Madagascar National Parks (MNP) dresse un état des lieux des points de feux entre 2013 et 2019 et statue qu'une nette amélioration a été observée, ce qui explique la réduction de la déperdition forestière à 65%.
Madagascar possède plus de 90% d’espèces animales et végétales endémiques, c’est-à-dire uniques au monde. Des actions ont été menées pour la survie de ces espèces, entre autres, la classification de certaines zones en aires protégées, dont les parcs nationaux.
Le manque de formation et d’information sont les raisons, les plus citées, qui favorisent les exploitations abusives, les destructions et les crimes environnementaux. Une campagne de renforcement de capacité a été lancée en 2013, à Andasibe. Cette action se poursuivra cette année à Soanierana Ivongo, selon ses promoteurs
Bonne nouvelle pour les acteurs qui œuvrent pour la protection de l’environnement. Le Michigan State University (MSU) et Alliance Voahary Gasy (AVG) ont décidé de poursuivre leur collaboration dans le domaine de la gestion des ressources naturelles
Le parti Vert Hasin’i Madagasikara sera présent au 4e Congrès du Global Greens qui se tiendra à Liverpool (Royaume-Uni) du 30 mars au 2 avril prochain. Il sera représenté par son président national Alexandre Georget et Dr Ratafika, respectivement vice-président de la FEVA (Fédération des Verts Africains) et président des Jeunes Verts de l’Océan Indien. Le président national du parti Vert malgache aura sa parole à la tribune du Congrès pour exposer sa vision sur la Mer. C’est comme Habineza Franck, président du parti Vert rwandais, qui va axer son intervention sur la démocratie.
Dans le cadre de l’engagement pris par Madagascar dans la déclaration de l’initiative AFR 100 au niveau de l’Afrique, l’objectif des 4 millions d’ha de forêts restaurées doivent être atteints d’après le SG du Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts. Article paru le 16/02/2017
Plan de Gestion Environnementale et Sociale : Améliorer la résilience des familles des petits agriculteurs vulnérables aux changements climatiques, réduire les émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et encourager les investissements du secteur privé dans le secteur climat.
Dans le cadre de la mise en en œuvre de la Politique Nationale sur la Lutte contre le Changement Climatique de Madagascar, le Bureau National de Coordination des Changements Climatiques, Conservation International Madagascar et Althelia Ecosphère, à travers l’Unité de projet CI-FVC et la Banque européenne d’investissement (BEI), ont sollicité l’appui du Fonds Vert pour le Climat (FVC) pour la mise en oeuvre du Projet « Paysages durables dans l’Est de Madagascar ».
Deux ans après son arrivée à Madagascar, l’espèce de grenouille envahissante, localement appelée « radaka boka » est en passe de devenir un problème national puisque les départements qui devraient s’occuper d’anéantir ce fléau, fuient leur responsabilité.
Malgré toute sa beauté attirant des touristes venus des quatre coins du monde, le Sud-Ouest de Madagascar est encore désavantagé par les déchets aquatiques. Avec l'association Terres en Mêlées, les jeunes filles rugbywoman de Toliara transforment l'essai de la propreté sur la côte de saphir
WWF Madagascar a participé à l’exposition “America Week” pour célébrer les 150 ans de Relations Diplomatiques entre les Etats Unis et Madagascar. Cet évènement a mis en évidence la collaboration entre le WWF et USAID pour la préservation des ressources naturelles à Madagascar, à travers le projet SCAPES. Article publié le 03/05/2017
Comme nous replantons des forêts… pourquoi ne pas replanter des récifs ? Voilà l’engagement pris par l’association multidisciplinaire des jeunes chercheurs Young reSearchers Organization of Madagascar (YSO-Madagascar).
Le reboisement est un des meilleurs moyens pour lutter contre le changement climatique et pour régénérer des forets dégradés par la surexploitation de bois du secteur charbonnier. A cet effet, durant le mois de mars, 80 500 arbres ont été plantés à Madagascar avec trois grandes campagnes de reboisement pendant lesquelles WWF a mobilisé 1 800 volontaires ! 66 000 arbres ont été plantés dans la région Atsimo Andrefana, 180 000 pieds de mangroves ont été mis en terre dans la région Diana et 4 500 plants ont été plantés dans la région Analamanga. Article publié le 17/04/2017
Poachers threaten spider tortoise
Menace sur la tortue Pyxis archnoides, notamment la sous espèce P. arachnoides brygooi localisée dans le nord de Madagascar
Article sur le siteweb de BBC du 27 août 2009
http://news.bbc.co.uk/earth/hi/earth_news/newsid_8224000/8224143.stm
Les rétrospectives des succès et échecs des 15 dernières années permettront de dégager des propositions constructives et réalistes pour relancer la politique forestière et environnementale.
Faut-il rappeler que les deux lois qui instituent la gestion locale des ressources naturelles renouvelables et la nouvelle politique forestière ont chacune été élaborées et adoptées au terme d’une large concertation?
Pour une bonne gestion des ressources forestières, il est important d’envisager de mettre à jour le code forestier. C’est d’ailleurs, la raison de l’atelier national qui a débuté hier pour la révision de la politique forestière et l’élaboration du Code forestier.
Le nombre des plaintes contre les nuisances environnementales a nettement augmenté cette année. Si auparavant, le ministère de la Santé publique ne recevait qu’une plainte en deux mois, actuellement il en enregistre trois par mois, selon le chef de service de Santé et environnement auprès du ministère de la Santé, Venance Tata hier à Tsaralalàna.
Des dépôts de produits miniers sont relevés et des poussières de charbon commencent à se répandre de la coque brisée du navire panaméen échoué au large de Faux Cap. L’heure est grave dans la pointe sud de Madagascar, au large de Faux Cap, dans la région Androy. Douze jours après l’échouage du gros-porteur panaméen MV New Mykonos, une pollution marine commence à se répandre au large. « Le MV New Mykonos est chargé de 160 000 tonnes de charbon de terre. La coque de ce navire s’est brisée au niveau de la partie immergée de proue, lorsqu’il a buté contre le banc de sable où il s’est échoué Article publié le 12 mars 2016
L’atelier national sur le protocole de Londres qui se déroule actuellement à l’Ibis Akorondrano pense sérieusement au devenir de l’environnement sous-marin. L’environnement marin menacé. « L’expansion économique et le développement de nombreux secteurs, aussi bien sur terre que le long des franges côtières ne sont pas sans risques pour le milieu marin et pour le littoral malgache », comme l’a expliqué Edward Kleeverlan, chef du bureau de la convention et du protocole de Londres et des affaires océaniques de l’organisation Maritime internationale (OMI), mercredi.
L’environnement maritime de la Grande Ile est pollué. Avec ses 4 850 km de côtes et plus d’un million de km2 de zones maritimes sous sa juridiction, Madagascar n’est pas à l’abri du risque de pollution marine. Article publié le 14 avril 2015
Depuis trois semaines, une pétition a été lancée sur un réseau social pour contester le permis d’exploitation pilote et le permis environnemental pour un projet de production de terres rares sur la presqu’île d’Ampasindava, dans le Nord-Ouest de Madagascar. Jusqu’à ce jour, la pétition a recueilli 6 308 signatures, autant dire que la population se mobilise Article publié le 11/04/2017
Dans le cadre de la PUBLICATION des résultats du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) et du Cadre Politique de Reinstallation (CPR) du Projet d'Amélioration de la Gouvernance et des Opérations dans le Secteur de l'Electricité (PAGOSE), le Ministère de l'Energie et des Hydrocarbures et la JIRAMA invitent les Bureaux d'Etudes, les Associations, les ONG, les Groupements professionnels, l'Administration publique et leurs démembrements, les Collectivités territoriales décentralisées (CTD), la Société civile et le grand public en général, à venir consulter et à participer à la Porte Ouverte de communication, de diffusion dans l'objectif de recueillir et collecter les AVIS de toutes les entités concernées sur lesdits dossiers du 01 au 19 Février 2016 de 09h à 16 h à:
Antananarivo:
Ministère de l'Energie et des Hydrocarbures: Direction Générale de l'Energie - Nouveau Batiment
JIRAMA Antananarivo: Batiment FIM Ambohidahy - Près ACSA - Face Ministère de la Santé Publique
Dans les Provinces (Antsiranana, Mahajanga, Toamasina, Antsirabe, Fianarantsoa, Toliary): Directions Interrégionales de la JIRAMA
C’est une première pour la capitale. Mettre en place un système de collecte et de traitement des lampes fluorescentes compactes ou tubes (plus communément connues par lampe à néon ou lampe économique). C’est le challenge que se lance le Ministère de l’Eau, de l’Énergie et des Hydrocarbures et le SAMVA (Service Autonome de Maintenance de la Ville d'Antananarivo) avec le soutien de WWF.
Il est professeur en pathologie des abeilles et en faune sauvage, à l’université d’Antananarivo. Le Pr Jonah Ratsimbazafy tire la sonnette d’alarme en adressant un message à la ministre de l’Environnement et du Développement durable. « De prime abord, il existe une liste de virus qui se transmettent entre l’homme et les primates non humains, entre autres, les gorilles, les singes et les lémuriens. Le coronavirus en fait malheureusement partie », commence-t-il dans sa lettre.
Pour la première fois, un plan régional sur la pêche thonière côtière intégrant les sept pays riverains du Sud-Ouest de l’océan Indien (Union des Comores, France/La Réunion, Kenya, Madagascar, Maurice, Seychelles et Tanzanie) a été présenté aujourd’hui à Maurice. Ce plan a été élaboré sur la base d’un diagnostic approfondi du secteur par le programme SmartFish de la Commission de l’océan Indien (COI), financé par l’Union européenne
La première évaluation mondiale de la primauté du droit environnemental- faite par l’Organisation des Nations unies pour l’Environnement (UN Environment) – informe que depuis les 30 dernières années, nous assistons à un « record » de propositions et de promulgations de lois sur la protection de l’Environnement. Cependant, la mise en œuvre de ces lois ne suit malheureusement pas encore cette tendance.
Une stratégie internationale de gestion des produits chimiques ou SAICM a été initiée par le Programme des Nations unies pour l’Environnement lors du Sommet mondial de Johannesburg sur le développement durable Article publié le 7 mars 2013
L'état fait l'annonce d'une reforestation de 40 000ha par an pour recouvrir l'île de forêt. Des questions sont à exploiter, propose un spécialiste en environnement.
Recycler les ordures issues des entreprises, donner des activités génératrices de revenus à des femmes issues de familles défavorisées de la capitale tout en aidant à la préservation de l’environnement, à la préservation de la salubrité. Tels sont les objectifs fixés par le programme Fanavotana. Initié par trois associations:ADDEV Madagascar, Teach for Madagascar et Green N’Kool, le programme en question entend cibler 200 femmes issues de familles défavorisées d’ici deux ans
Madagascar jouit d’une exceptionnelle biodiversité mais ce capital naturel est menacé par une déforestation de l’ordre de 0,53 % par an, soient environ 50 000 hectares de forêt naturelle qui disparaissent chaque année. Le projet Programme Holistique de Conservation des Forêts vise une réduction de ce rythme de déforestation en agissant selon deux stratégies : la responsabilisation des populations locales en matière de gestion décentralisée de l’environnement, et la promotion d’activités et de techniques alternatives aux cultures sur brûlis et aux prélèvements de ressources forestières
L'Organisme Public de Coopération Intercommunale (OPCI) "fivoarana" en partenariat avec le programme Matoy et en collaboration avec ADES Suisse - Madagascar, ont procédé le mois de décembre dernier, dans la commune d'Ambatolahy, à la distribution de 500 foyers économiques à des prix subventionnés, aux ménages.
Madagascar fait partie des six pays d’intervention du programme biodiversité de la comission de l’Océan Indien, financé par l’Union Européenne dans le cadre du 10e FED.
Il s’agit d’un programme mis en œuvre depuis 2014 et qui touchera à sa fin en janvier 2019. A l’issue d’un appel à proposition lancé au niveau régional en 2015, des subventions portant une valeur maximale de 100 000 Euros, ont été attribuées aux acteurs de la société civile soumissionnaires, tels que des ONG, des universités et des institutions para-étatiques. Ces derniers se chargent de développer des micro-projets visant une gestion durable de la biodiversité. « Madagascar constitue le premier bénéficiaire de ce programme Biodiversité. En effet, onze projets sur les 29 sélectionnés et subventionnés par la COI au niveau de l’Indianocéanie, sont mis en œuvre dans la Grande île. Ce qui représente un montant total des subventions à 900 000 Euros ». Le point focal national du programme biodiversité, Rabenandrianina Rivosoa, l’a déclaré lors d’un atelier de restitution des résultats et de consolidation des acquis, la semaine dernière.
Faire de Madagascar une île verte figure parmi les défis des autorités et les initiatives ne manquent pas pour y parvenir. Planter 60 millions d’arbres en une journée. Le défi est titanesque, mais le Président de la République Andry Rajoelina a relevé le challenge pour marquer, l’année prochaine le 60e anniversaire de l’indépendance de Madagascar.
Jouant parfaitement le jeu de la transparence, Ambatovy organise régulièrement des visites de ses sites. Une quinzaine de techniciens du ministère auprès de la Présidence en charge des Mines et du Pétrole ont visité le site d’extraction d’ilménite d’Ambatovy à Moramanga et l’usine de transformation à Toamasina
« Go Teach » est un programme de responsabilité sociale mis en œuvre par le groupe Deutsche Post DHL en vue d’accroître l’employabilité des jeunes de plus de 15 ans dans plus de 60 pays. Un accord a été signé hier entre DHL International Madagascar et SOS Villages d’Enfants à Ankorondrano dans le but de renouveler leur partenariat, sur une période de cinq ans, soit de 2021 à 2025. En outre, USAID Hay Tao et Bôndy rejoignent ce programme qui est devenu par la suite « Go Teach goes Green ».
Leur partenariat inclut l’éducation à la protection de l’environnement surtout la biodiversité ainsi qu’à l’agroécologie des jeunes de SOS Village d’Enfants Madagascar. Les activités du programme GoTeach continueront d’être axées sur les jeunes dans l’atteinte des objectifs de développement durable que sont l’employabilité et l’entrepreneuriat des jeunes. Et pour le projet « GoTeach goes Green », les actions seront destinées à des jeunes et des enseignants des établissements scolaires. Cela consiste notamment à mener une campagne de sensibilisation tout en assurant la formation théorique et pratique sur la conservation de la biodiversité et l’agroécologie.
Les membres du Groupe de Travail Technique (GDTT) pour les Conventions de Rio, se sont concertés à Antsirabe les 24 et 25 Avril derniers dans le cadre du Projet Cross-Cutting Capacity Development (CCCD-Rio) ou Développement de capacités transversales, pour rechercher les synergies entre les conventions de Rio auxquelles l’Etat Malagasy a signé dans les années 90, à savoir la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), la Convention sur la Diversité Biologique (CDB), et la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la Désertification (CNULD).
Les résultats du projet de Conservation et de Gestion des Ecosystèmes Forestiers malgaches (COGESFOR), ont été satsifaisants, selon le secrétaire général du ministère des Forêts et de l'Environnement, lors d'un atelier qui s'est tenu au DLC Anosy.
Une forte délégation, représentant la Guinée et le Mozambique, est en visite à Madagascar depuis dimanche, jusqu’au 14 juillet 2019. « Le but consiste à échanger des expériences entre ces trois pays bénéficiaires de la mise en œuvre du projet COMBO (Conservation, Minimisation des impacts et compensation au titre de la Biodiversité), sur la mise en œuvre des compensations pour la biodiversité », a expliqué Rasolofomanana Lovy, directeur pays de WCS (Wildlife Conservation Society), lors d’une table-ronde organisée à l’hôtel Panorama, hier. Le thème a été axé sur « la gouvernance politique, la législation et la réglementation, pour minimiser les impacts sur la biodiversité en Afrique : présent et futur ».
Le projet dit DECORE, financé conjointement par le programme Sud Expert Plante pour le Développement Durable (SEP2D) et la compagnie minière QMM, regroupe deux équipes de recherches de renommée internationale, le Centre National de Recherches sur l’Environnement (CNRE) et le Laboratoire des Symbioses Tropicales et Méditerranéennes (LSTM) de l’Institut de Recherches pour le Développement (IRD). Ce projet d’une durée de trois ans touchant le site d’exploitation de Mandena à Fort-Dauphin, est parmi les pionniers dans son genre. Il implique en même temps scientifiques et opérateurs économiques en accord avec les attentes et les besoins des associations villageoises locales. Son objectif consiste à renforcer les initiatives de la société Qit Madagascar Minerals (QMM), en matière de Restauration Ecologique des forêts après l’exploitation minière, en mettant en pratique les résultats de la recherche scientifique.
Le premier accord de financement de cette année a été signé hier entre le ministère des Finances et du Budget et l’AFD (Agence Française de Développement). Il s’agit de 7 millions d’Euros dédiés à la préservation de la biodiversité.
Madagascar fait partie des pays très vulnérables au changement climatique. Le pays dispose déjà d’un plan d’action aux fins d’adaptation depuis 2006. Pour ce faire, un projet PACARC (Projet d’Amélioration des Capacités d’Adaptation et de Résilience des Communes Rurales face aux Changements Climatiques), financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial et le PNUD, est mis en œuvre depuis juin 2016 jusqu’à juin 2021, dans onze communes des cinq régions. L’objectif consiste non seulement à promouvoir des mesures nationales appropriées permettant à la Grande Ile de faire face aux impacts du changement climatique mais aussi à bénéficier des opportunités de ce changement climatique. C’est ce qu’on a appris lors de la matinée du développement rural organisée périodiquement par le PADR au ministère du Plan à Anosy hier.
La société Sumitomo a offert un don de 1 500 000 pots destinés au reboisement pour les paysans bénéficiaires du PRODAIRE à Alaotra Mangoro et à Bongolava.
La mise en œuvre du projet SWIOFish2 ou Deuxième Projet de Gouvernance des Pêches et de Croissance Partagée du Sud-ouest de l’Océan Indien, est prévue à partir de l’année 2017 pour une durée de six ans. Cette décision est annoncée lors de la rencontre des représentants de la Banque Mondiale, composés du Chargé de projet et des experts en Environnement et en gestion des ressources naturelles, avec le ministre des Ressources Halieutiques et de la Pêche à Madagascar Article paru le 17 septembre 2016
Toutes les parties prenantes œuvrant dans la protection des zones forestières dans le cadre de la mise en œuvre du projet Sahofika entrepris par la société NEHO, se sont réunies autour d’un atelier organisé le 24 novembre dernier.
C’est désormais officiel. La nouvelle ville Tanamasoandro sera implantée à Imerintsiatosika, précisément dans la commune de Tsimahabeomby qui a déjà été indiquée comme étant une « zone d’aménagement différé », selon une note prise par le ministère de tutelle
Les États-Unis renforcent davantage leurs engagements en matière de conservation et de protection des ressources naturelles malgaches. Ils allouent actuellement un gros financement de 23 millions USD à Madagascar par le biais de « Hay tao » ou « Conservation and Communities Project » (CCP), mis en œuvre par l’Usaid, pour une durée de cinq ans. Il s’agit du plus gros projet soutenu par les Américains depuis la suspension des financements prévus pour le volet environnemental depuis 2009 et il cible notamment les communautés de base. Ces dernières participeront à la gestion des ressources halieutiques et forestières qui les entourent, à l’élaboration du cadre juridique qui régira la protection afin de renforcer la gouvernance locale ainsi que la préservation des biens naturels, au développement des activités génératrices de revenus pour améliorer leurs conditions de vie et veilleront aux créations d’emploi. « Hay tao » consiste en un projet qui consolide la gestion des connaissances et des compétences, l’élaboration d’outil de travail au niveau des communautés locales pour que le développement durable soit palpable après la réalisation des activités préconisées. L’ONG Pact, en partenariat avec World Resources Institute, University of Rhode Island – Coastal Resources Center, se chargera de l’exécution du projet
Le projet « Tontoloko » a débuté samedi dernier à la Tranompokonolona Ivato. Un projet qui a été réalisé par des étudiants de l’Inscae et de l’association « Trano Tantely». Comme son nom l’indique « Tontoloko » vise nomment à la préservation de l’environnement. Les activités qui ont démarré dans la commune d’Ivato ont été marquées dans la matinée par une sensibilisation et un partage d’expériences entre Foodwise et des techniciens du Blue Ventures, portant notamment sur l’environnement. Ce fut également une occasion pour Ravinala Airports de doter le marché de ladite commune de brouettes, balais et de bacs à ordures. Une aide appréciable pour les riverains. Dans l’après-midi, on a procédé au nettoyage des alentours du marché. Evénement qui a vu la participation, entre autres, des animateurs, des représentants du comité chargé du « Tsena » ainsi que diverses associations implantées à Ivato. Tous les participants à la concrétisation de ce projet restent convaincus que le changement de mentalité de tout un chacun s’avère primordial pour la conservation de l’environnement et de ce fait, au développement du pays.
La FAO soutient les initiatives du Ministère de l’Environnement et des Forêts pour les projets d’appui à la capitalisation de la règlementation forestière malgache et d’amélioration de la gouvernance des filières de production et de commerce de bois précieux à Madagascar
Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 11 septembre 2013
« Désormais, la réalisation des Études d’Impacts Environnementales est exigée avant de mettre en œuvre tout projet d’investissements publics, y compris les projets présidentiels ». Le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Baomiavotse Raharinirina, l’a déclaré lors de cérémonie de plaidoyer pour l’Intégration de la Dimension Environnementale et Sociale (IDES) hier à l’hôtel Carlton
La compagnie aérienne Air Madagascar attache la plus grande importance à la caractérisation et à la protection de la biodiversité. Elle vient de s’engager dans ce sens auprès de la Fondation pour les aires protégées et de biodiversité de Madagascar (FAPBM), comme l’indique dans son compte Twitter cette fondation. « Au-delà d’une simple action citoyenne, ce geste de Air Madagascar témoigne de l’importance de la préservation du capital naturel malgache et du fait que chacun peut agir à son niveau dans ce sens », explique Gérard Rambeloarisoa, directeur exécutif de la FAPBM. Les pages de la compagnie dans le magazine de voyage Prime emmèneront les touristes et voyagistes au cœur de la biodiversité de Madagascar. Des images vidéos dévoilant la Grande île dans toute sa beauté seront par ailleurs bientôt disponibles en vidéos à bord des avions d’Air Madagascar. Ce partenariat entre la FAPBM et Air Madagascar est ainsi les prémices de la conjugaison des efforts de toutes les parties prenantes pour préserver cette biodiversité exceptionnelle de la Grande île. D’après cette fondation, la genèse du manque d’implication des acteurs nationaux en faveur de la conservation des aires protégées se trouve en partie la méconnaissance de ces richesses qui fondent la singularité Madagascar.
Un changement de comportement radical. Telle est la solution recommandée par la Conférence des évêques de Madagascar (CEM), en matière de protection de l'environnement. Faisant écho des urgences soulevées par le pape François, durant sa visite pastorale, en septembre, la déclaration de la CEM, publiée hier, sonne comme un plaidoyer écologique.
Les leaders du monde, réunis au Maroc pour la COP 22 ont une fois encore souligné l’importance de la protection de l’environnement.
Situé au cœur d’une région riche en espèces, Ambatovy, dont l’opérateur est la société canadienne Sherritt International, a mis en œuvre des programmes pionniers destinés à conserver et renforcer la biodiversité dans sa zone d’action. Tout récemment encore, Mme Kerry Ten Kate, la Directrice du Biodiversity Initiative Forest Trends et du Business & Biodiversity Offsets Programme (BBOP), a cité en exemple le programme de gestion de l’environnement d’Ambatovy lors de son exposé à l’Université de Stirling (U.K.) sur la meilleure façon de concilier le développement et la protection de l’environnement.
Comment le capital naturel peut-il devenir une opportunité pour l’économie de Madagascar ? Le thème qui est à la fois sous forme de problématique semble très difficile à cerner. Mais avec la qualité des intervenants et la bonne animation de Njaka Andriantefiarinesy qui maîtrise bien le sujet environnemental, lui-même est président de l’association des journalistes environnementaux, le forum a été enrichissant pour l’assistance
La conservation de la biodiversité unique de Madagascar nécessite la prise de responsabilité de tous les acteurs. Ce que la FAPBM rappelle aujourd’hui à l’occasion de la journée internationale de la biodiversité.
Ash Dykes, un anglais d’UK Airtours projette de faire un trek sur la longueur de Madagascar. L’action sera entreprise dans le cadre de la promotion de la Grande île et la sensibilisation sur la biodiversité unique de la Grande Île, notamment sur les menaces qui pèsent sur les espèces endémiques. Publié le 04/09/2015
Un agent forestier pour 100 000 à 200 000 Ha de forêts. Une des réalités en ce qui concerne les conditions de travail de ces personnes qui assurent, tant bien que mal, la protection des ressources naturelles et forestières de la Grande île avancée par Baomiavotse Vahinala, ministre de l’Environnement et du développement durable à Ankadifotsy le 20 mars dernier. Une réalité qui serait loin des normes internationales pour un pays comme Madagascar si l’on se réfère toujours aux explications de la ministre. Lesdites normes imposant un agent forestier pour 400 Ha de surface forestière. Des efforts ont été fournis afin de changer la donne si l’on ne cite que le récent recrutement de vingt-cinq agents fraîchement sortis de l’Institut National de Formation d’Agent Forestier.
Profitant de son intervention, la ministre de l’Environnement interpelle sur l’importance de renforcer les rangs des «agents forestiers» du pays. L’on aurait besoin de «cent postes budgétaires» chaque année si l’on voulait changer les choses.
Outre les besoins en ressources humaines, le secteur fait également face à des soucis d’équipements. Disposant du statut de para-militaire, les agents forestiers malgaches ne «sont pas armés lorsqu’ils effectuent leur travail». Ce qui constituerait une faiblesse majeure face aux diverses pressions qu’ ils subissent quotidiennement. Afin d’y faire face, le secrétariat d’État chargé de la gendarmerie nationale (SEG) aurait promis de former les agents forestiers du ministère de l’Environnement et du développement durable afin de renforcer leur capacité. Aussi, le SEG projetterait de les doter d’armes (des Mas 36) pour les protéger dans l’accomplissement de leurs missions mais surtout afin de «restaurer l’autorité de l’Etat».
Les médias nationaux et internationaux, les activistes en faveur de la préservation de l’environnement et les divers organismes non gouvernementaux n’ont pas arrêté d’en parler depuis quelques décennies : la protection de l’environnement est primordiale. On connaît toutes les statistiques sur la durée de vie de certains matériaux et déchets sans parler de la pollution qu’ils engendrent.
Depuis l’année 2016, la société Vitogaz Madagascar s’est lancée dans un programme de reboisement pluriannuel à Ampangabe Atsimondrano, au sein de la Zone d’action en faveur de l’arbre (Zodafarb). Plus de 4 000 arbres ont été plantés et suivis.
L’atelier de 3 jours qui a réuni plusieurs acteurs concernant la protection de l’environnement à Madagascar s’est terminé hier à Antaninarenina. Au vu des données enregistrées sur l’exploitation des ressources naturelles de la Grande Ile, les participants ont pu déterminer que la situation environnementale du pays reste précaire.
Pour baisser le nombre des départs de feu dans l’aire protégée d’Amoron’i Onilahy, au sud-ouest de Madagascar, l’organisme public de coopération intercommunale Ohemia, avec l’appui de Wwf, a mis en œuvre une stratégie de sensibilisation communautaire de choc : identifier les villages qui sont au plus près des incendies, enregistrer les données prises à partir du logiciel Firecast et projeter des vidéos dans ces villages pour inciter les villageois à prendre leurs responsabilités
Avec une législation phytosanitaire datant d’il y a plus de 30 ans, Madagascar a plus que besoin d’actualiser et de renforcer sa stratégie phytosanitaire dont les impacts sur le commerce et l’économie agricoles ne sont plus à démontrer. Article paru le 08/05/2017
Le littoral de la côte Est est vulnérable et en proie aux effets des changements climatiques. Le projet de construction d’ouvrage de protection en enrochement sur Toamasina devrait permettre de limiter les dégâts.
Actuellement, on met un accent d’honneur sur la protection de la nature.
Pourtant, un blocage de taille se dresse à Madagascar, dans le cadre de sa lutte pour la protection de l’environnement. La pauvreté constitue, entre autres, l’une des raisons pour lesquelles notre écosystème se dégrade de jour en jour. Pour assurer une gestion durable de notre capital forestier, toute protection de la nature qui se veut être pérenne doit être effectuée en étroite collaboration avec la population avoisinante ainsi que l’amélioration de leur vie
Article paru dans le quotidien "la gazette de la grande île" en date du 15/07/2014
Sous les directions de Philippe Méral et Denis Pesche dans les éditions QUAE, l'ouvrage "Les services écosystémiques. Repenser les relations nature et société" est paru en juin 2016. La présentation/promotion de l’ouvrage se fera à la Représentation de l’IRD à Madagascar, le mardi 11 octobre 2016 à 14h30 , par l'un des coordinateurs Monsieur Philippe Méral, et en présence des partenaires qui ont contribué à sa réalisation, entre autres, Fano Andriamahefazafy (chercheur au C3EDM de la Faculté DEGS de l’Université d’Antananarivo). Plus rapporte Spore 182, l’apparition du concept de “services écosystémiques”, avec la publication de l’évaluation des écosystèmes pour le millénaire (Millenium Ecosystem Assessment) en 2005, a inauguré une nouvelle manière d’aborder les relations entre l’homme et la nature.
Après la présentation de ces résultats à Fianarantsoa et Toliara en début d’année, le livre intitulé « transitions agraires au Sud de Madagascar : résilience et viabilité, deux facettes de la conservation » a été présenté officiellement, hier, à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) Ambatoroka Article publié le 24/09/2016
36 aires protégées de Madagascar vont bénéficier des financements de la Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM) pour l'année 2017. Les financements estimés chaque année à plus de 2 millions de dollars, contribuent efficacement à la préservation de la biodiversité.
Outre les lourdes tâches qui incombent au Président du Sénat, Herimanana Razafimahefa, la préservation de l’environnement est également au cœur de ses préoccupations. Raison pour laquelle, il privilégie la plantation d’arbres autochtones sur un site de 7ha dans la colline d’Anosivola, commune rurale de Mahitsy. Le Président de la Chambre Haute est à la fois le président de l’association allemande DMG à Madagascar qui assure la scolarisation de plus de 150 enfants dans une école primaire dénommée DMG Schule ainsi que leur dotation en équipements pédagogiques et fournitures scolaires chaque année. Ces élèves bénéficient d’une cantine scolaire et les salaires de leurs enseignants sont pris en charge par l’association. En outre, le Président Herimanana Razafimahefa responsabilise les enfants et leurs parents à planter des arbres autochtones. Ils ont mis en terre près de 900 jeunes plants de « Kininim-potsy » et de « Ravintsara », hier. Des plantes utiles dans leur vie quotidienne. « La dégradation de l’environnement et les effets du changement climatique affectent déjà le secteur agricole. Le calendrier de repiquage du riz prévu en novembre dernier, est entre autres, retardé en février faute de pluies. Les sources d’eau se tarissent également en provoquant la sécheresse et le kere. À l’école, ces élèves apprennent l’importance du reboisement et sa contribution au développement durable. Tous les Sénateurs seront également mobilisés pour une sensibilisation nationale », a déclaré le Président du Sénat.
L’environnement est un des secteurs prioritaires sur lesquels le nouveau pouvoir doit porter son attention. Certes, tous les problèmes auxquels le régime doit faire face sont urgents, mais celui de la déforestation doit être traité sans attendre. Madagascar a vu sa couverture forestière diminuer de façon dramatique durant l’année 2017. La situation s’est dégradée de manière dramatique ces dernières années pour atteindre ce pic de 2017. Le président Rajoelina a parlé de la préservation de l’environnement durant la campagne électorale. Le nouvel élan qu’il est en train d’impulser pour le pays doit porter aussi sur ce secteur.
Le programme national de protection de l’environnement doit encore se concrétiser. Le ministère de l’environnement, de l’écologie et des forêts a réuni, hier, les éventuels partenaires financiers du programme pour l’environnement et le développement durable à l’hôtel Carlton. Ensemble, ils ont discuté des moyens d’amélioration du document qui servira de plan d’action jusqu’en 2020 pour l’environnement à Madagascar.
Faire du « fatana mitsitsy » un produit adopté par les ménages malgaches afin de préserver les forêts.
Pour 98% de la population de Madagascar, le charbon de bois et le bois de chauffe constituent le principal combustible domestique utilisé pour la cuisson des repas quotidiens. Même les ménages qui utilisent, par ailleurs, d’autres formes d’énergie domestique comme le gaz ou l’électricité, continuent d’avoir recours au charbon de bois pour les mets nécessitant un temps de cuisson prolongé.
La protection de l’environnement demeure un enjeu majeur si l’on veut préserver notre écosystème. Toutefois, la dégradation environnementale est telle que restaurer les dégâts reste un grand défi à relever. Il n’y a qu’à observer l’impact de ces dégradations par rapport aux environnements climatiques.
Notre écosystème s’évanouit à petit feu que l’avenir du pays devient inquiétant étant donné que l’économie de la Grande Ile repose essentiellement sur sa biodiversité naturelle et bien sûr de l’agriculture. La protection de l’environnement devient donc plus qu’une nécessité. Elle consiste à prendre des mesures pour limiter ou supprimer l’impact négatif des activités de l’Homme sur son environnement. La destruction environnementale a des impacts négatifs sur la vie des êtres vivants sur terre.
L’année 2017 est proclamée Année internationale du Tourisme durable pour le développement par l’Assemblée générale des Nations Unies. À Madagascar, c’est le moment ou jamais d’appliquer les mesures inhérentes au développement durable afin de pouvoir développer le tourisme sous toutes ses formes. Parmi ces mesures figure la préservation de la biodiversité de Madagascar
Le développement sérieux de la pêche est négligé. Une nouvelle plateforme a été créée pour palier les menaces et porter d'une seule voix les maux du secteur
Pour la région de DIANA, la pêche thonière contribue à 35 % de l’apport économique selon les résultats d’étude de l’ l’Observatoire Economique de la Pêche et de l’Aquaculture (OEPA). La pêche en général, contribue de 6 à 7 % du PIB de Madagascar selon le ministre de la pêche et des ressources halieutiques, Gilbert François. Mais même avec ces apports, peu de malagasy sont tentés d’entrer dans ce secteur pourtant prometteur
La pêche et la collecte de poulpes est un « business » qui pourrait rapporter gros à Antsiranana. Et pourtant, le monopole s’instaure à Ambodivahibe où le kilo de ce fruit de mer est acheté à 1500 Ariary pour être revendu à 24.000 Ariary à Antananarivo et beaucoup plus à l’export.
Une prévision de production en hausse d’au moins de 50% devra être attendue à la fin du cycle d’une durée de huit mois. A part l’agriculture et l’élevage, la pêche continentale constitue également une source de revenu importante permettant d’améliorer le niveau de vie de la population en milieu rural.
L’ouverture de la saison de pêche de poulpe s’est déroulée hier, pour les trois zones de pêche d’Ambavarano, Commune Mahavantana, dans la région Diana. En effet, les 100 pêcheurs, qui ont commencé la saison, ont réussi à obtenir 1,617 tonne de poulpes en une demi-journée, ce qui traduit une forte hausse de la production, d’après les témoignages.
Une technologie satellitaire de pointe est utilisée pour suivre et arrêter les navires de pêche illégaux.Dans le cadre de l’initiative FISH-i Africa, sept pays africains collaborent pour partager des informations et des ressources en vue de mener une lutte efficace et collaborative contre la pêche illicite
Le 1er juillet marque le jour de la réouverture de la pêche à la langouste, après neuf mois de fermeture, aux trois villages de Sainte Luce, dans le sud-est de Madagascar.
C’est grâce à une initiative locale et volontaire que ces villages ont mis en œuvre, pas à pas, un plan de co-gestion décidé par les villageois, les pêcheurs et les autorités locales.
Ayant une superficie totale de plus de 13 950 km², cette zone maritime s’étale spatialement sur quatre districts de la région de DIANA, à savoir Diego II, Ambilobe, Nosy-Be et Ambanja.
En Afrique, lorsqu’une mine ferme, elle laisse souvent derrière elle désarroi, pauvreté, chômage et d’importants problèmes sociaux. Tel est le constat de chercheurs de plusieurs pays lors d'une récente rencontre à Fria (Guinée) sur l'avenir des villes minières après la fermeture des mines. Selon les participants, les problèmes soulevés par ces fermetures révèlent les limites du modèle minier en vigueur dans plusieurs pays. La chercheure Bonnie Campbell, spécialiste des industries extractives et directrice sortante du Centre interdisciplinaire de recherche en développement international et société à l’Université du Québec à Montréal, analyse ici la situation.
Cachées dans un cercueil perché sur le porte-bagages d’un taxi-brousse, des tortues ont été interceptées. Une centaine de kilos de drogue a été retrouvée à bord
Rare Malagasy tortoises stolen
Vol de 4 tortues rares de Madagascar appartenant à l'espèce Astrochelys yniphora dans le Parc National Baie de Baly survenu le 6 mai 2009
Article disponible sur le siteweb de BBC du 28 mai 2009
http://news.bbc.co.uk/earth/hi/earth_news/newsid_8072000/8072511.stm
Une nouvelle technique est promue pour le reboisement de cette année. Cette technique assure une efficacité du reboisement, selon les explications. " Nous essaierons de mettre en pratique cette nouvelle technique. Le but étant de mettre simplement des boulettes de graines sur le lieu de reboisement. Et les plantes endémiques pour chaque région seront priviligiées", explique Fanja Ramamonjiarisoa, secrétaire général de l'ONG Fafy
Le projet "Ala diovina sy ajariana ho fandrehitra ho an'ny olona (Adiafo), mis en oeuvre par l'Association Inter-coopération Madagascar (AIM), en partenariat avec l'ONG Saha dans 11 communes des districts d'Ankazobe et d'Ambohidratrimo, soit au total de 132 fokontany, est actuellement sur la bonne voie. En vue de respecter la prochaine campagne de reboisement, le projet s'est tout de suite attelé au travail avec les communautés cibles. Actuellement, 45 pépiniéristes répartis dans les 11 communes d'intervention viennent d'être formés par le projet. Chaque pépiniéristes produira 25 000 plants pour assurer la première campagne de reboisement prévue pour 750ha
Quelque 13 000 plants d’ananambo, d’acacia et d’eucalyptus ont été mis en terre, il y a une dizaine de jours, à Marohogo, dans la commune rurale de Belobaka, Mahajanga II, à l’occasion de l’ouverture de la campagne de reboisement dans la région Boeny Paru le 16 février 2015
Entreprises engagées vers le développement durable, Gasynet et SGS procèdent chaque année à une opération de reboisement sur le site de 3 Ha de la Zone d’Action en faveur de l’Arbre (ZODAFARB) à Ampangabe. Dirigé par son PDG, Cédric Catheline, la grande famille de Gasynet – SGS s’est donnée rendez-vous, samedi dernier, sur ledit site de reboisement pour procéder à la plantation des 1500 jeunes plants d’acacia.
La période de reboisement pour 2017-2018 débutera officiellement ce 19 janvier pour toute l’étendue du territoire national, d’après les données recueillies auprès du ministère de tutelle
Comme à l’accoutumée, chaque année, chaque institution, chaque établissement scolaire et chaque entreprise est mobilisé pour planter des arbres pour l’amour du pays
De source auprès du ministère de l’Environnement, la campagne de reboisement pour la région Analamanga sera ouverte officiellement le 26 janvier prochain au « fokontany » Andranonahoatra, Commune rurale Ambohitromby, district d’Ankazobe.
Régional vs National. Par ailleurs, une erreur s’est glissée dans notre article d’hier concernant l’ouverture de la campagne de reboisement ; et nous présentons nos excuses aux intéressés. Il s’agissait d’une ouverture régionale et non nationale, car celle-ci s’est déjà effectuée le 9 décembre dernier dans le district de Moramanga. Le lancement s’est tenu au « fokontany » d’Analatsara, Commune rurale d’Ambohibary en présence du premier ministre Olivier Mahafaly et de la ministre Johanita Ndahimananjara. Il a été annoncé pour l’occasion qu’à partir de cette année, 40.000 ha de surface sont prévues être reboisées tous les ans.
Comme tout bon citoyen qui pense à l’avenir et raisonne au développement durable, les étudiants de l’IFT, conduit par le PDG de l’Institut ont procédé, il y a quelques jours, à un reboisement à Anjeva Gare. 700 plants de frênes et d’eucalyptus ont été ainsi plantés. L’évolution de ces jeunes plants seront assurés par les étudiants en ingénierie de l’environnement de l’IFT et la mairie d’Anjeva qui collaborent avec l’institut. « Cet évènement entre dans le cadre de la célébration du quinzième anniversaire de l’IFT. A travers cette action, nous voulons donner l’exemple et inciter nos jeunes à la protection de l’environnement », a précisé Andriambolanirina Valisaona, PDG de l’IFT.
Quelques semaines après l’ouverture officielle de la campagne de reboisement 2020, des acteurs issus de différents domaines suivent la tendance et tendent la main pour concrétiser le défi « reverdir Madagascar ». ONG et associations se sont lancées dans des actions de reboisement dans toutes les régions du pays. Celle qui a permis de planter des milliers de pieds de baobabs au sein du parc national Mikea en janvier dernier est une illustration parfaite de cet engouement à participer dans la noble cause. De son côté, la ministre en charge de l’Environnement et du Développement durable enchaîne les rencontres avec des représentants des ONG. Une façon pour Vahinala Raharinirina de « rendre visible et audible » le défi « Madagascar ho rakotr’ala ». La numéro une de l’Environnement et du Développement durable a, entre autres, rencontré des représentants de la Conservation internationale, de Conservation Trust, de la California Academy of Science, de la WWF, de la WCS, de l’Asity, Few, Blue Ventures, de la FAPBM, Mihary ou encore de Fanamby. Ainsi, les rencontres constituent des cadres de concertations entre les entités sur ce qui conviendrait de faire afin d’atteindre les objectifs.
Dans tout Madagascar, la campagne nationale de reboisement a été lancée hier. Une forte mobilisation a été constatée un peu partout dans l’île. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Tinoka Roberto, a effectué ce devoir citoyen à Tuléar avec les habitants de Sakaraha et les autorités locales. 55.000 jeunes plantes ont été mises à terre sur une superficie de 100 Ha. Le reboisement d’hier n’était que le début pour la région Atsimo-Andrefana car l’endroit à reboiser représente 2000 Ha, et cela va encore continuer. En tant que ministre coach de la région et très actif sur cette partie de l’île, le numéro Un de la jeunesse et des sports malgache s’est mobilisé aux côtés des siens. Comme tous les départements ministériels, Ies représentants du MJS ont effectué leur part dans le District d’Ankazobe, Commune Firarazana.
En ligne avec la politique nationale de reforestation de Madagascar, le reboisement ne consiste plus seulement à planter des arbres mais aussi et surtout à assurer le suivi allant de l’entretien à l’aménagement de pare-feu pour lutter contre la propagation des feux de forêt.
C’est dans cette visée que l’association Clair de Lune Madagascar, à travers ses membres bénévoles a mis en terre 1000 jeunes plants d’essence variée du côté d’Ampangabe RN7 . Très enthousiaste, le responsable de l’association, Vony Randrianonenana déclare que 75 % des arbres plantés l’année dernière ont survécu grâce aux actions de suivi engagées en collaboration avec les locaux. Elle espère un résultat encore meilleur pour l’avenir.
Le ministère de la Culture et du patrimoine a procédé ce matin au reboisement sur 3600m2 d'espèces autochtones (Amboara, Hazomby, Lalona, Hasina, Amina…) à Ambohimanga Rova, sur la partie Nord-Ouest de la colline sacrée d'Ambohimanga Rova
La campagne de reboisement de cette année a débuté au mois de janvier et se poursuivra jusqu’à l’atteinte de l’objectif national qui est de recouvrir Madagascar de forêts. Après les différentes journées de reboisement de l’Etat et des différentes sociétés durant le mois précédent, cette fois-ci, c’est au tour des écoles de s’y mettre. L’école Sacré-Cœur Antanimena (Esca) a procédé à sa journée de reboisement, samedi dernier à Ambatolampy. Selon les explications des responsables, mettre en terre autant de plantes lors d’un reboisement est une grande première pour cet établissement catholique. En effet, l’amicale du personnel du Sacré-Cœur (Apsca), la direction générale de l’école, l’association des parents VRM (Vondron’ny Ray aman-drenin’ny mpianatra) ainsi que le personnel enseignant et administratif se sont donné la main pour planter plus de 12. 000 jeunes plants en une journée. Mais l’école ne va pas seulement se contenter de mettre en terre les plants, le suivi de ces jeunes pousses est également prévu dans ce projet. Ainsi, une autre descente sur terrain est programmée pour le 1er mai 2020, afin de s’assurer que les arbres grandissent bien.
La campagne de reboisement est loin d’être terminée pour cette année. Dans les prochains jours, d’autres écoles de la capitale prévoient, elles aussi, d’observer une journée de reboisement. Reste à espérer que cela continue pour que Madagascar redevienne une île verte.
Le personnel de la Présidence de la République a procédé ce 27 janvier au reboisement à Ilamaka, fokontany d’Ankadivola, dans la commune rurale d’Ambohijanaka. Sous la conduite du Chef de l’Etat et de son épouse, 2850 jeunes plants ont été mis en terre. Le reboisement revêt une importance particulière dans la lutte contre le changement climatique et pour la protection de l’environnement, a rappelé le Président Hery Rajaonarimampianina.
La campagne de reboisement de cette année commencera officiellement le 19 janvier prochain. Une journée qui se veut être d’une grande importance dans l’ambition du gouvernement de reverdir la Grande Île.
L’Etat se dit vouloir faire en sorte de reverdir Madagascar. Pour la campagne de reboisement de 2020, l’Etat s’est donné comme objectif de mettre en terre 60 millions de jeunes plants.
Transformer Madagascar en île verte est loin d'un effet d'annonce pour le ministre de l'Environnement et du développement durable (MEDD), Alexandre Georget. Les défis pour la prochaine campagne de reboisement national sont énormes.
Quatre cents employés de Paositra Malagasy ont effectué hier dans la commune rurale d’Ambatomirahavavy leur rituel reboisement. Ils ont planté quatre mille pieds d’eucalyptus olivera, de frênes, de filao, de lucianna et de baie rose. Cette institution a choisi plusieurs pépiniéristes dans le but de varier les espèces végétales qui orneront le site choisi Article publié le 11/03/2017
La campagne nationale de reboisement 2016 a été lancée le 18 Décembre 2015 à Torotorofotsy, et Madagascar National Parks n’est pas en reste car figure parmi les institutions vertes engagées dans la cause de protection de l’environnement...Afin de matérialiser cet engagement citoyen, MNP a organisé un reboisement le Vendredi 26 Février 2016 dans la Zone d’Action en Faveur de l’Arbre (ZODAFARB) à Ambatomahamanina dans la Réserve spéciale d’Ambohitantely à Ankazobe...
Comme chaque année le personnel administratif et technique, le personnel enseignant et les étudiants ont effectuées le reboisement annuel sur son site de Manjaka Avaradrano le vendredi 24 février 2017 dernier.
Des chercheurs avancent. Le Centre national d’application de recherche pharmacologique (Cnarp) a pu exploiter les plantes médicinales pour en tirer leurs bienfaits. Parmi les produits prêts à être commercialisés figure le « Senna Alota ». Un s’agit d’un produit bio destiné pour le traitement et le soin de la peau, particulièrement recommandé pour soigner la teigne ou « hodi-potsy ». Le « Loo2 », un tambavy efficace pour l’entretien et l’amélioration de la santé en général, fait également partie de ces produits bios proposés par le centre. Depuis leur production en 2014, ils sont prêts à être commercialisés non seulement à Madagascar mais aussi à l’étranger si besoin est Article paru le 07/09/2017
Le pays ne dispose pas de budget alloué à la recherche scientifique. Si ailleurs la recherche scientifique est un levier de développement, l’idée est encore au stade de projet dans la Grande Île. Un défi de taille que le gouvernement actuel entend relever par l’intermédiaire du ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique qui mise sur la « valorisation des produits de recherche ».
Selon les estimations de l’AGETIPA, Agence d'Exécution des Travaux d'Intérêt Public et d'Aménagement, la ville d’Antsiranana produirait actuellement près de 32 000 tonnes de déchets par an. Dans dix ans, cette quantité doublera et il est difficile d’imaginer la décharge municipale sur la route d’Anamakia avec autant de déchets
Les sacs en plastique mettent plus de 400 ans à se dégrader, pourtant brûler le plastique nuit à la santé et à l’environnement puisqu’il produit des polluants organiques persistants (dioxines et furanes). Les sacs plastiques polluent, ils sont parmi les causes de mortalité des animaux d’élevage (par indigestion), et rendent infertile le sol. De plus, la propagation de ces déchets par le vent et l’eau diffusent les maladies.
A l’occasion de la Journée internationale des forêts, deux cents organisations internationales appellent l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) à revoir sa définition de la forêt, afin de mettre fin aux abus de certains industriels. L’actuelle définition, estiment les organisations, a permis à des intérêts économiques de dissimuler les impacts écologiques et sociaux dévastateurs des plantations d'arbres en régime de monoculture à grande échelle derrière une image positive d'activité forestière. Elles estiment par conséquent que la définition "trompeuse" de la FAO, qui rend possibles ces abus et date de 1948, doit être modifiée.
Reverdir Madagascar figure parmi les priorités de l’Etat actuellement. Un objectif ambitieux et louable compte tenu des pertes en matière de biodiversité, de la situation environnementale en général, mais également de ce que pourrait être le Madagascar des générations futures.
Le fokontany d’Ambohipamonjy dans la municipalité d’Ampitatafika a été le sujet d’une première vague de reforestation hier, effectuée dans le cadre d’une convention entre la commune concernée et le groupe Filatex. Plus de 300 jeunes plants ont été repiqués pour commencer un reboisement de cette zone. En tout, 3ha de terrain montagneux sera reboisé au terme de cet accord, les deux premiers hectares ayant été finis dans la journée d’hier. D’après les explications du maire de la commune, Rado Ramparaoelina, plusieurs espaces sont disponibles dans sa municipalité et nécessitent de tels
projets de conservation. Ravintsara, Laingonala, Amontana, Hazomena, et d’autres espèces de bois traditionnels malgaches ont ainsi été plantés pour obtenir comme résultat une végétation type de Madagascar. L’endroit sera ainsi préservé comme espace vert, et la pousse des jeunes plants repiqués durant ce reboisement sera particulièrement protégée. « Le but est d’avoir une forêt vivante à cet endroit », précise Tanteraka Rakoroarisoa, du groupe Filatex. Elle ajoute que cette pratique entre dans la politique de développement durable adoptée par l’opérateur.
« Reboisement réussi, levier d’un développement économique durable », tel est le thème de la campagne de reboisement, cette année, à Madagascar. C’est dans cette optique que la campagne de reboisement a démarré officiellement, vendredi dernier à la station forestière de Marohogo dans le district de Mahajanga 2, pour la région Boeny.
Dans le cadre du festival Sar'nao, le compité d'organisation et l'office régional du tourisme d'Antananarivo (Ortana) présentent l'exposition "Regards croisés sur l'océan Indien", au jardin d'Antaninarenina jusqu'au 30 novembre. Le vernissage s'est tenu hier.
Comme à l'accoutumée, le festival Sar'nao présente les clichés du projet "Regards croisés sur l'océan Indien", un concours de photos réservé aux photographes résidant dans les îles de l'océan Indien. Cette année, le thème est axé sur la "Transmission biodiversité nocturne". L'objectif consiste à partager les points de vue et richesses de chaque pays participant.
Le premier essai de repeuplement de Mantella aurantiaca – une espèce d’amphibien de très petite taille, endémique et menacée d’extinction – entrepris par la compagnie minière Ambatovy, a été couronné de succès.
«5 000 à 50 000 dollars, telle est la fourchette des prix des reptiles exportés illicitement ».
Ce prix indique et favorise l’accroissement du commerce illégal des espèces menacées. La Grande Ile n’en est pas épargnée car en plus de disposer de milliers d’espèces, elle est sensible et fragile à l’application des lois relatives au commerce de faunes sauvages menacées d’extinction.
Les pêcheurs, dont le plus grand nombre se trouve sur le littoral nord-ouest de la région Atsimo andrefana se plaignent. "Il n'y a plus de crabe. La taille minimum autorisée à la capture est se 11cm alors que nous ne trouvons plus que de petites crabes allant jusqu'à 8 ou 6 cm". explique l'un d'eux. "Les crabes de grande taille ne se trouvent plus dans les mangroves ou les rochers comme ce qui s'est passé il y a quelques années. Ces crustacés ont migré au large ou vers les grandes embouchures. Nos pêcheurs n'ont pas le moyen de les cueillir à l'aide de crochets" détaille Adolphe Faralahy, collecteur
Le marché national crevettier n’est pas encore rentable pour les opérateurs qui préfèrent exporter. Mais ils font face à des problèmes qui freinent leur production.Elles sont plusieurs entreprises franches à opérer dans la pêche ou l’aquaculture industrielle crevettière. Pourtant leur production est intégralement destinée à l’exportation. Ceci est dû princi- palement à leur statut d’entreprise, qui les oblige à exporter. Article paru le 01/10/2016
Deux millions de dollars pour lutter contre le trafic d'espèces sauvages et l'exploitation forestière illicite. Il s'agit d'une subvention du bureau des affaires internationales des stupéfiants et de l'application de loi (INL), une entité au sein du département américain. Un fonds dont bénéficieront deux projets de protection de l'environnement à Madagascar
Face à la prolifération des trafics illicites de ressources naturelles, une Coalition nationale de plaidoyer environnemental (CNPE) a été lancée, pour l’application stricte des lois aux réseaux de trafiquants. Un atelier s’est tenu hier, à la Résidence Ankerana, durant lequel, les cas de certaines espèces ont déjà été discutés Article paru le 26/09/2016
Madagascar a ratifié le Traité International des Ressources Phytogénétiques pour l’Alimentation et l’Agriculture (TIRPAA). Ce qui permet de protéger nos matériels génétiques au niveau d’une banque de gènes commune pour les 135 pays signataires tout en effectuant des échanges. Un atelier d'information et de sensibilisation des parties prenantes nationales sur le TIRPAA a lieu au Développement Learning Center (DLC) les 25 et 26 novembre 2015
Madagascar fait partie des 28 pays africains à s’être engagés dans la restauration forestière. Dans le cadre de la mise en œuvre de cet engagement, la priorité sera accordée à la restauration des bassins versants.
Madagascar s'engage à planter 4 millions d'ha de forêts d'ici 2030, dans le cadre de son programme d'action pour la restauration des écosystèmes, selon un communiqué en date d'hier, du ministère de l'Environnement, de l'écologie et des forêts (MEEF)
Le Groupe de Spécialiste des Plantes de Madagascar va présenter l'ouvrage intitulé "Catalogue des espèces menacées des plantes de Madagascar". Les chercheurs ainsi que les institutions oeuvrant dans le domaine de l'environnement y sont invités
C'est un atelier organisé conjointement par L’Office National pour l’Environnement et Rio Tinto QMM S.A, sous le haut patronnage de son Excellence, Monsieur le Premier Ministre, Ministre de l'Environnement et des Forêts par intérim et de Madame le Ministre des Mines en partenariat avec la Chambre des mines, qui aura lieu le jeudi 21 novembre 2013 à 09h00 à l’Hôtel Panorama Andrainarivo
C'est une réunion organisée conjointement par le WWF et GERP dans le cadre du projet "Evaluation de la vulnérabilité des lémuriens face au changement climatique"
Le projet va aider les agriculteurs à intégrer le Nerica dans leur portefeuille variétal et à long terme, cela permettra d’assurer une sécurité alimentaire. Lancé en octobre 2012 à Anjepy dans le District de Manjakandriana, le projet Voly Vary, une initiative de Nestlé fait actuellement ses preuves. Ce projet consiste, à identifier et diffuser auprès de la population locale des variétés de riz à haut rendement de production et adaptées aux conditions agro-écologiques Article publié le 23/09/2016
Un nouveau rapport international du Fonds mondial pour la nature (WWF) indique que 50 % des espèces de Madagascar sont menacés d’extinction à cause du réchauffement climatique.
Le rapport scientifique publié par WWF en mars 2018 est sans équivoque : une limitation à 2°C de la hausse de la température de la planète amènerait à une situation climatique insoutenable pour 25% des espèces de Madagascar, provoquant leur extinction d’ici les années 2080.
Madagascar figure parmi les pays victimes, les plus touchés, par les effets du changement climatique. Lesdits effets se ressentent de plus en plus dans la région Anosy.
Les trafiquants de bois de rose ne manquent pas d’imagination pour transporter les marchandises illicites. Les rondins sont débités de façon à être mis dans des sacs
Madagascar célèbre la Journée mondiale des zones humides, en tant que signataire de la convention de Ramsar. Un atelier dans ce sens a été organisé pour les journalistes de la Région DIANA
Les régions commencent à éviter les reboisements pique-nique. Ainsi, les responsables de la Diana vont veiller à ce que les plants mis en terre poussent effectivement.
Les participants à l’atelier ont pris la résolution que la première attribution de la plateforme sera de vulgariser et mobiliser la population et les membres de la plateforme sur la biomasse et l’énergie bois.
Etablir un plan de référence en énergie biomasse dans la DIANA, c’est ce que vise l’Organisation de la Société Civile pour l’Environnement (OSCE) et la coopération allemande pour le développement par l’agence allemande de coopération internationale (PAGE/GIZ) en mettant en place cette plateforme d’échange
La Journée événementielle pour l’énergie de biomasse a eu lieu samedi dernier à Diégo, organisée par la région Diana et la Plateforme Régionale d’échange en Energie. Cette région s’est dotée d’un plan en énergie de biomasse similaire avec la nouvelle politique énergétique.
L’inauguration de la réhabilitation du Micro-Périmètre Irrigué (MPI) de Fanehivola dans le Fokontany d’Ambohitsara I,
Commune Rurale Mahanoro, District Mahanoro, Région Atsinanana s’est effectuée en présence de Monsieur RASELISON Julien, Directeur Général de la Planification et du Contrôle (DGPC) du Ministère de l’Agriculture, le 18 juin 2015.
Ces espèces de lépidoptères (papillons) pondent sur les plantes et les larves dévorent maïs, riz, pommes de terre, sorgho, coton et même les cultures maraîchères. Ces chenilles sont détectées dans la région Sud ouest, notamment dans les communes de Milenaka et Antanimieva au mois de novembre de l’année dernière.
Les effets des changements climatiques sont palpables et inquiétantes pour les régions Atsimo-Andrefana, Anosy et Androy. Les situations changent d’une région à l’autre. Des points communs existent toutefois et les conséquences sont néfastes pour le développement socio-économique desdites régions.
Les autorités régionales entourées de fonctionnaires et d’écoliers ont mené une opération de propreté à Ramena. L’objectif est de maintenir un environnement marin sain. Préserver la qualité de la mer et des zones côtières. C’est l’objectif de l’initiative de la direction générale de la Mer au ministère de l’Environnement, écologie, mer et forêts Article paru le 06/04/2016
« Green Solidarity », tel est l’intitulé de l’événement organisé par le Réseau des Clubs Vintsy qui regroupe les jeunes étudiants issus des différents Départements et Facultés de l’Université d’Antananarivo, ainsi que des écoles supérieures privées. L’organisation d’un tel événement a pour but de réussir les plaidoyers pour une meilleure gestion des déchets en milieu urbain. Article paru le 26/09/2016
180 000 m3 de bois par an, provenant de la forêt de Fanalamanga (district de Moramanga).
Soit environ 98% des sapins et autres espèces de la même variété, qui circulent sur le marché local. Ce qui fait de cette importante réserve forestière de la Région Alaotra-Mangoro, le premier fournisseur de cette catégorie de bois de construction dans le pays. D’une superficie totale de 68 000 Ha, la réserve de Fanalamanga ne dispose actuellement que d’environ 20 000 Ha de forêt. Soit, un taux de déforestation élevé qui s’explique par trois facteurs. A savoir, selon le directeur général Augustin Rakotonirina, les exploitations sauvages en tous genres par certains partenaires, le vol d’arbres sans oublier les feux de brousse. Pour dire que des actions essentiellement vouées à la reforestation devraient être entreprises sur toute l’étendue de la réserve…
La zone d’Ambodivahibe accueille plus de cinq cents espèces marines pour la ponte et la reproduction. Un festival est organisé pour sa protection. Une grande première à Antsiranana, avec l’édition initiale du festival des réserves marines d’Ambodivahibe célébrée hier. Cette aire protégée de quarante mille hectares, aujourd’hui menacée, représente d’importants enjeux écologiques. « L’aire protégée marine d’Ambodivahibe déferle sur près de 40 000 hectares Article paru le 12 mars 2016
Pour améliorer la résilience climatique, un projet de renforcement d'adaptation à la sécheresse et de dévelopement d'activités génératrices de revenus, a été lancé dans le Sud (Androy, Anosy et Atsimo Andrefana), au mois d'octobre. Ce projet va durer 3 et 5 ans et est financé conjointement à hauteur de 12 millions de dollars par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM), la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Fonds pour les pays moins avancés (LDCF).
Pour mieux respecter le cadre des priorités du développement durable, la commission de l’océan indien a reçu un financement auprès de la BAD ou Banque Africaine de Développement pour la réalisation du projet « Forest and Farm Facility (FFF) ou mécanisme Forêts et Paysans ».
Madagascar a ratifié le Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques en novembre 2003 pour assurer un degré adéquat de protection pour le transfert, la manipulation et l'utilisation sans danger des organismes vivants modifiés (OVM) résultant de la biotechnologie moderne.
Le projet entre dans le cadre de l'optimisation des outils de connaissance de l'espace maritime sous-juridiction de l'Etat Malagasy, en élaborant un atlas relatif aux deux-cent-cinquante trois (253) iles et ilots de Madagascar. L'objectif principat dudit projet consiste à contribuer à la prise de décision stratégique et opérationnelle en termes de sécurisation de l'espace maritime national ainsi qu'au politique de développement du territoire.
Réunion de présentation du rapport annuel des activités de 2011 ainsi que le PTA pour 2012 du programme Madagascar de Durrell Wildlife Conservatino Trust.
Dans le cadre des activités du Groupe de travail
PSE-Madagascar, WWF Madagascar, en partenariat avec le C3EDM/Programme SERENA, organise une « Réunion technique de
restitution et de capitalisation des projets pilotes Paiements pour les
Services des Ecosystèmes (PSE) appuyés par WWF » (deux projets en alimentation
en eau potable, et un autre relatif à l’écosystème de mangroves).
Chaque année, SCGIS Madagascar Chapter propose et soutient les candidats Malagasy aux opportunités de formation et de conference internationale ou de logiciel (license des produits ESRI) en matière de Système d'Information Géographique subventionnées par La Society for Conservation GIS International.
Les effets du changement climatique sont dus notamment à la déforestation dans les pays en voie de développement comme Madagascar. Les impacts négatifs sur le domaine économique et social se font déjà sentir. Du coup, le ministère de l’Environnement via le Silo National des Graines Forestières en collaboration avec le bureau national de Coordination du changement climatique vient d’élaborer un projet de développement de modèle d’amélioration de la résilience d’écosystèmes et d’espèces forestiers en vue de leur utilisation durable face au changement climatique. Ce projet sera appuyé par le Programme des Nations unies pour l’Environnement, et ce, sur financement du Fonds Vert pour le Climat. « Ce sera mis en œuvre dans trois sites, à savoir Mandraka, Ambohitomoina et Anosibe An’ala, qui regorgent d’une grande richesse de biodiversité, mais subissent une forte pression humaine. Toutes les parties prenantes dont entre autres les communautés de base et les techniciens du ministère de tutelle sont consultées pour pouvoir peaufiner ce projet. En fait, ce projet concerne les moyens d’adaptation au changement climatique par l’identification des besoins socio-économiques des communautés locales et la création des activités génératrices de revenu. Les moyens d’atténuation des impacts du changement climatique ne sont pas en reste en effectuant une reforestation des espèces comme le « varongy » et le « lalona », sans oublier la lutte contre la déforestation », a évoqué Ramamonjisoa Lolona, directeur du SNFG lors d’un atelier de consultation à l’hôtel Panorama.
Plus de sachets à partir du mois d’octobre. L’avertissement s’adresse aux clients de plusieurs magasins de grande distribution, rappelant à tous que l’échéance approche et qu’il va falloir renoncer définitivement à ce produit qui rend service, mais hautement polluant. Publié le 16/09/2015
L’inquiétude plane au sein des villageois et des opérateurs touristiques à l’île aux nattes, Sainte Marie. Depuis samedi, une nappe de produit pétrolier qui a touché la plage couvre une partie de la mer, du côté ouest de l’île
Les exploitants illicites de concombre de mer à Sainte-Marie font la sourde oreille en dépit des interventions des autorités étatiques et des organisations environnementales pour endiguer la pratique.
Des centaines de pêcheurs illégaux envahissent les côtes de l’île Sainte Marie. Les défenseurs de la biodiversité craignent une catastrophe écologique.
Une tragédie écologique. Les côtes de l’île Sainte Marie sont maintenant envahies par des pêcheurs sauvages de concombres de mer ou holothuries. Des défenseurs de la biodiversité marine ont décidé d’interpeller les autorités sur la situation qui sévit à l’heure actuelle autour de l’île.
500 bouteilles de plongée ont été utilisées dans la pêche illicite de concombres de mer à Sainte-Marie. Dans cette exploitation illégale, un réseau chinois et un responsable local de la pêche sont pointés du doigt. Le commerce de concombre de mer rapporte certainement gros. Dans la Capitale, ce fruit de mer, une fois séché, est vendu jusqu’à 360 000 Ariary le kilo. Paru le 11/01/2016
Bien que des efforts soient entrepris pour prévenir et lutter contre les trafics illicites des espèces protégées dans le pays, ce fléau persiste encore. Hier, la brigade criminelle de la Police nationale vient de saisir 104 bébés tortues radiata astrochelys prêtes à être exportées dans le domicile d’un Indo-pakistanais à Isotry. Les enquêteurs de la police ont pu mettre les mains sur ces animaux endémiques à Madagascar grâce aux renseignements indiquant l’existence d’un individu détenant des tortues à exportation dans une maison du quartier.
Une grande première à Madagascar, le salon de la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE ) et du Développement Durable débute ce jour au Carlton Anosy ; l’évènement continuera jusqu’à demain 14 juillet 2016. Prenant le thème de « La responsabilité sociale, une responsabilité partagée », le salon est organisé à partir de l’initiative du Cabinet Ur-CSR Consulting, une entreprise sociale de conseil, spécialisée dans la Responsabilité sociétale de l’entreprise et le développement.
Promouvoir les activités de valorisation des déchets. C’est l’objectif des étudiants de la première promotion de l’Institut Supérieur des Métiers de Madagascar (IS2M) en organisant dernièrement le salon sur l’environnement et le recyclage à la CCIA, parrainé par le Groupement des Entreprises de Madagascar, dans le cadre de leur projet intitulé « Antananarivo Tsy Mandrora Mitsilany ». De grandes innovations sur la valorisation des déchets y ont été observées.
Samedi 23 mars prochain, Madagascar prendra part, à l'instar de plus de 200 pays et 5 000 villes du monde entier, au mouvement planétaire « Une heure pour la Terre »
Le Sampati Ambohimiadana Fanilo Fivondronana 134e s’est lancée dans une campagne de reboisement dans la commune d’Ambohitsoa Ampitatafika, samedi dernier. Une action qui marque le mois du Sampati, et qui entre dans le cadre de son 20e jubilé. 40 pieds d’arbre composés de 30 arbres fruitiers et 10 eucalyptus y ont été ainsi plantés. «A travers cette action, nous nous sommes fixés comme objectif de construire un monde encore meilleur, et un environnement plus naturel. Puis, la petite sortie à l’occasion de ce reboisement n’a fait que renforcer la solidarité entre tous les membres de l’association cultuelle au niveau de l’église FJKM Ambohimiadana Fanilo», a déclaré la porte parole du Sampati. Et de conclure que tout reboisement devrait se faire justement au début de la saison de pluies, pour permettre une meilleure croissance des pieds d’arbre.
Hier a eu lieu à l’Hôtel de ville Analakely la cérémonie de sortie de la Promotion « Loharano », composée de 19 éléments des Sapeurs Pompiers d’Antananarivo, ayant fini une formation en environnement pendant six mois
Article paru dans le quotidien Midi Madagasikara en date du 10/01/2014
La biodiversité unique de Madagascar est en danger. Ce n’est certainement pas la première fois qu’on entend cette affirmation. Pourtant, l’urgence de la situation est palpable. Cinq années pour agir, c’est tout ce qui nous reste.
A new species of mouse lemur, considered the tiniest primates in the world, has been described from Madagascar - Microcebus jonahi is named for prominent Malagasy primatologist Jonah Ratsimbazafy, who has dedicated his life to studying and protecting Madagascar’s endemic lemurs -Scientists fear the species is already at risk of disappearing like almost all of the 107 other species of lemurs, primates that are native to Madagascar - Jonah’s mouse lemurs are found in an area half the size of Yosemite National Park, in a region where forests are fast disappearing.
Article published by Malavika Vyawhare on 3 August 2020
Cinq chercheurs de Madagascar, de Suisse et des Etats-Unis ont révélé l’existence d’une nouvelle espèce de tortue qui aurait vécu il y a des dizaines de millions d’années dans la formation de Maevarano. Bienvenue à la “Sahonachelys mailakavava”.
Cette année, les scientifiques ont nommé et décrit plus de 10 000 reptiles, marquant une nouvelle étape dans le catalogage l'un des groupes de vertébrés les plus diversifiés. La semaine dernière, la base de données de reptile, un catalogue en ligne de tous les reptiles vivant du monde, a annoncé qu'elle avait passé 10 000 espèces
La deuxième phase du projet Manitatra visant à mettre à l'échelle l'Agriculture climato-intelligente (ACI) face au changement climatique est désormais opérationnelle.
Près de 80% de la population malgache est constituée de paysans producteurs. Dans la plupart des cas, ils pratiquent une agriculture de subsistance au détriment de l’environnement, notamment les ressources forestières.
Le secteur minier est réputé comme nuisible à l’environnement, mais l’Administration minière veut prouver le contraire en donnant le bon exemple, selon Andrianjakatiana Rakotondrazafy du ministère des Mines et des ressources stratégiques.
Pour la première fois, l’Office national de l’environnement reçoit un rapport d’étude d’impact environnemental et social. Celui-ci concerne un projet pétrolier.
Madagascar Oil avance progressivement dans la phase d’exploitation. Après l’approbation du plan de développement du bloc 3104 du gisement de Tsimiroro par le gouvernement, marquée par l’octroi d’un titre minier d’exploitation d’hydrocarbures et d’un titre minier de transport d’hydrocarbures, la compagnie déclare le processus d’obtention du permis environnemental.
Dans le cadre de la crise sanitaire, les ventes de poisson en conserve – dont au moins 50 % de thon – ont fait un bond en avant, étant donné que les consommateurs qui sont confinés, s’approvisionnent en denrées non périssables.
A Madagascar, c’était une volleyeuse hors pair qui avait déjà été sélectionnée dans l’équipe d’Analamanga cadette et junior. Lalandy Seheno, épouse Chanu a foulé d’autres chemins depuis. La benjamine de la famille originaire de Fandriana est née le 18 décembre 1980 a joué dans le club de l’UJC Itaosy. Calme, souriante et très sociable, c’est aussi une vraie intellectuelle qui a voulu finir son doctorat de botanique coûte que coûte. Mariée, maman de 2 enfants, Lalandy Seheno a obtenu son diplôme de doctorat en octobre 2011
Des campagnes de sensibilisation dans les établissements scolaires ont marqué la semaine de la Météorologie du 14 au 18 novembre dernier. Cet événement est organisé par la Météorologie de Madagascar en collaboration avec la Coopération Allemande (GIZ), l’Association of future Engineer Polytechnician in Meteorology (AEPM) de l’Ecole Supérieure polytechnique d’Antananarivo et l’Association Patrakala, en parallèle à la COP22 au Maroc. Ce dernier qui prend comme thème « Le temps de l’Action » tient compte des moyens d’application et de la mise en œuvre des différents points cités dans l’Accord de Paris en 2015.
Conscient de l’importance de la conservation des espèces et de l’enjeu du changement climatique a Madagascar, WWF Madagascar et GLOW ont travaillé main dans la main pour une session environnementale dédiée aux jeunes filles Malgaches. 31 jeunes filles de la classe de seconde provenant de la Région Alaotra Mangoro ont donc bénéficié de cette session le 6 septembre.
Dans le cadre de l’événement co-organisé par l’IFM et l’IPM « rencontre avec un chercheur », Dr. Claude-Anne Gauthier, Représentante de l’IRD/MNHN à Madagascar, va donner une conférence intitulée « Les Lémuriens au service de la conservation : le Site Bioculturel d’Antrema – Boeny » le samedi 10 février 2018 à 10h30.
La nouvelle aire protégée marine Velondriake fait encore face à des nouvelles menaces aujourd’hui. La construction d’un projet de complexe hôtelier depuis 2010 dans la zone et le non- maitrise des villageois locaux durant l’ouverture des réserves serait également l’origine de ces menaces. Une forte dégradation de la richesse inestimable de la biodiversité dans une zone sensible située à Andavadoaka, à suivre de près.
Situé à 320km au nord Ouest de Tuléar, région Sud Ouest, 40km à l’Ouest du district de Morombe et à 18km de la commune de Befandefa. Andavadoaka constitue l’un des nouveaux sites d’attraction touristique de la Grande île depuis ces cinq dernières années. Ce choix d’Andavadoaka s’explique par ses atouts dont la plupart son unique dans le monde. Andavadoaka renferme une importance biologique et des atouts autant pour la conservation de la biodiversité que pour ses services écologiques.
La partie Sud de Madagascar reste encore la destination phare des touristes, notamment avec le parc Isalo, dans la Région Ihorombe.
Et dans ce sens, Rojo Rakotoseheno SCom DGGFPE décrit que réputé pour ses piscines naturelles aux eaux transparentes alimentées par une cascade d’eau tiède, le parc Isalo renferme également des activités et richesses naturelles à couper le souffle… Mais, souligne-t-il, dernièrement, le coût des visites a été revu à la hausse. Si auparavant, le tarif était fixé à 25 000 Ar pour les touristes étrangers, désormais il atteint les 65 000 Ar. A noter que le parc d’Isalo enregistre 100 jusqu’à 200 visites par jour.
La société Mainland a exploité de l’ilménite à Manakara et à Fénérive-Est. Ses deux permis d’exploitation ont été délivrés par le régime actuel en catimini. Entre temps, l’Etat suspend jusqu’à maintenant toute délivrance de permis y compris la transformation de permis de recherche en permis d’exploitation, entre autres Article publié le 16 mars 2013
L’exploitation de l’industrie sucrière SUCOCOMA (Sucrerie Complant Côte Ouest de Madagascar) localisée à Ambilobe a provoqué des impacts néfastes sur les activités des communautés de pêcheurs traditionnels et artisanaux opérant aux alentours de ce site. Outre la contamination de l’écosystème marin, les eaux utilisées pour la consommation humaine seraient également contaminées.
Le 08 février dernier a été projeté en avant-première à l’American Center de Tanjombato, le court métrage « Bandro, le trésor caché du lacAlaotra ».
Ce film a été produit par le Groupe d’Étude et de Recherche sur les Primates (GERP), à l’initiative du Pr. RATSIMBAZAFY Jonah. Il se divise en deux parties distinctes. La première partie met en scène une expédition du GERP à la recherche d’une des espèces de lémuriens les plus menacées de l’île : l’Hapalemur alaotrensis. Au cours de ce périple réalisé autour du plus grand lac de Madagascar, on prend conscience de l’état de conservation critique de l’espèce et de son habitat. Une fois le constat posé, le film bascule alors vers une succession de messages d’acteurs œuvrant pour la protection des lémuriens. Chercheurs, directeurs de grandes institutions, responsables politiques et communautés locales se succèdent pour alerter l’opinion publique et fédérer toutes les énergies disponibles pour sauver l’environnement de Madagascar.
Dimanche 03 juillet 2016, une tentative d'exportation illicite de 119 tortues a eu lieu à l'aéroport d'Ivato, destination Maurice. La coopération de la douane, du Ministère de l'Environnement de l'Ecologie de la Mer et de la Forêt et de la police aux frontières PAF a permis d'arrêter cette exportation. L'enquête suit toujours son cours étant donné qu'en espace de 2 mois, d'autres arrestations de tentatives d'exportations aussi ont été effectuées. D'où la nécessite de la collaboration des populations du pays, afin que les richesses endémiques de la biodiversité malgache soient bien maintenues dans leur milieu, d’autant plus que ces tortues, dont les Angonoka sont en voie de disparition.
L’humanité fait face actuellement au début de la sixième extinction de masse, après avoir réalisé le triste exploit de détruire en moins de 50 ans ce que la planète a mis plusieurs millions d’années à mettre en place.
C'est un nouveau document qui se veut être un outil pour appuyer l’amélioration de la gestion des aires protégées, d’après Conservation international (CI)
In conjunction with the publication of a cutting-edge annual report, scientists and policymakers will gather at Kew for the second international State of the World's Plants Symposium.
An annual review of the major issues affecting plant diversity and abundance, Kew's State of the World’s Plants report provides data on important indicator metrics to show us how plants are faring and how this is changing over time. As well as revealing the current status, the report includes horizon scanning to identify important and emerging issues, including research and knowledge gaps. The two-day symposium offers a platform to discuss issues raised in the report and to engage the scientific community, policymakers and public alike.
This year’s State of the World’s Plants will have a special focus on Madagascar – exploring the country’s unique biodiversity and examining how we can tackle threats to it.
In conjunction with the publication of a cutting-edge annual report, scientists and policymakers will gather at Kew for the second international State of the World's Plants Symposium.
An annual review of the major issues affecting plant diversity and abundance, Kew's State of the World’s Plants report provides data on important indicator metrics to show us how plants are faring and how this is changing over time. As well as revealing the current status, the report includes horizon scanning to identify important and emerging issues, including research and knowledge gaps. The two-day symposium offers a platform to discuss issues raised in the report and to engage the scientific community, policymakers and public alike.
This year’s State of the World’s Plants will have a special focus on Madagascar – exploring the country’s unique biodiversity and examining how we can tackle threats to it.
In conjunction with the publication of a cutting-edge annual report, scientists and policymakers will gather at Kew for the second international State of the World's Plants Symposium.
An annual review of the major issues affecting plant diversity and abundance, Kew's State of the World’s Plants report provides data on important indicator metrics to show us how plants are faring and how this is changing over time. As well as revealing the current status, the report includes horizon scanning to identify important and emerging issues, including research and knowledge gaps. The two-day symposium offers a platform to discuss issues raised in the report and to engage the scientific community, policymakers and public alike.
This year’s State of the World’s Plants will have a special focus on Madagascar – exploring the country’s unique biodiversity and examining how we can tackle threats to it.
Dans le cadre du Projet “ Building Capacity and Promoting Sustainable Fisheries Co-management in Three High Biodiversity Seascapes in Madagascar” financé par la fondation Mac Arthur, le WCS à Madagascar, en collaboration avec l’IHSM, s’est chargé de renforcer les capacités des étudiants de l’IHSM en suivi écologique des récifs coralliens. Le projet, d’une durée de 3 ans (de 2016 à 2018) a pour objectif de fournir des ressources humaines compétentes techniquement et scientifiquement en matière de suivi écologique des récifs coralliens aux divers organismes œuvrant dans le domaine de la conservation et la gestion de l’environnement et de ses ressources. Au bout de 3 ans, il sera formé 30 spécialistes en suivi des récifs coralliens, à raison de 10 étudiants formés par an
Compte tenu de la hausse dramatique des exportations de crabes de mangrove vivants depuis l’année dernière, Madagascar a décidé cette année de mettre en place des mesures drastiques pour une exploitation rationnelle et durable de cette ressource. A cet effet, des recommandations ont été adoptées à l’issue d’une rencontre organisée par le programme SmartFish les 24 et 25 juillet derniers à Mahajanga
Permettre aux décideurs de réagir de façon efficace et dans les temps lorsqu’il y a des catastrophes naturelles, c’est l’objectif de la formation des formateurs.
Depuis la mise en œuvre, il y a dix ans, du Plan régional de surveillance des pêches (PRSP) dans le Sud-Ouest de l’Océan Indien, la zone observe un renforcement significatif du contrôle et de la surveillance des pêches. Le PRSP est un mécanisme mis en place afin de lutter contre la pêche illégale et de protéger au mieux les ressources halieutiques, sources de convoitises dans cette zone de l’Océan Indien. On parle, en effet, de profits se chiffrant à plusieurs centaines de millions de dollars par an, générés par la pêche illégale, montrant les enjeux que représente l’existence d’un mécanisme de lutte. Ce plan régional réunit huit Etats (Madagascar, Maurice, Seychelles, France/La Réunion et Comores) avec Kenya, Mozambique et Tanzanie, qui mettent en commun leurs savoir-faire, informations et moyens pour l’atteinte d’objectifs partagés, déjà prédéfinis. Ne se substituant pas aux activités nationales de surveillance, ce plan régional vient compléter les efforts consentis par chaque Etat membre pour lutter de manière plus efficace et plus ciblée contre la pêche illégale
Au total, les 92 nouvelles aires protégées (Nap), marines ou terrestres, n’ont pas encore obtenu leur statut définitif sur les 6,9 millions d’hectares créées dans le cadre de la déclaration de Durban
Turtle Survival Alliance (TSA), leader mondial dans la conservation des tortues, compte actuellement plus de 24.000 tortues dans ses centres de réadaptation à Madagascar. 150.000 dollars de subvention. Un soutien qui arrive à point nommé pour la TSA face à une situation critique. En effet, face à une baisse prévue de 80% du financement de ses sympathisants – les zoos et les aquariums étant actuellement fermés en raison de la pandémie de Covid-19 – la TSA craignait devoir relâcher prématurément des milliers de tortues en voie de disparition sous sa garde à Madagascar
Le Protocole de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le Partage des avatanges découlant de leurs utilisations vise à créer des conditions d'échange équitable et offre également une sécurité juridique accrue, pour valoriser la nature dans une approche économique de marché. Dans le cadre de la mise en oeuvre de ce protocole, l'établissement d'une mesure transitoire y afférente s'avère nécessaire. L'objectif de la réunion est de définir les grandes lignes relatives au cadre juridique et réglémentaire transitoire d'accès aux ressources génétiques et le Partage des avatanges découlant de leurs utilisations
Cette fois-ci, c’est le tour de la gendarmerie nationale et non de la douane de se vanter d’avoir déjoué une tentative de trafic. Au nombre de trente, il s’agit en effet de tortues d’une espèce protégée, la radieta. C’est durant une inspection que les éléments de la gendarmerie ont soupçonné une action suspecte. Et avec l’assistance d’une source, ces derniers ont pu démanteler un réseau de malfaiteurs. Ces tortues sont destinées au marché de Toliara mais la suspecte n’a pas dénoncé ses complices. En tout cas, une enquête est ouverte et les tortues seront remises à un centre de rééducation avant que les responsables puissent les remettre dans son environnement naturel.
Le trafic de tortues est encore loin d’être maîtrisé à Madagascar et risque de nuire à l’image du pays en matière de conservation de la biodiversité en général. A l’aéroport d’Ivato, hier, un Malgache a été interpellé pour trafic de 273 tortues radiées connues sous le nom de Sokake qui ont été saisies à l’issue d’une contre-fouille effectuée par des éléments de la douane de l’aéroport et de la gendarmerie, en partenariat avec l’alliance Voahary gasy (AVG)
Grove’s Dwarf lemur (Cheirogaleus grovesi) was discovered in two of Madagascar’s national parks, Ranomafana and Andringitra, both of which are part of the Rainforests of Atsinanana UNESCO World Heritage Site.
The new lemur is a nocturnal primate that is smaller than a squirrel. The fur on its back, limbs, and head are a reddish-brown in color, and there are brownish-black rings around its large eyes.
The species was named for British-Australian biological anthropologist and primate taxonomist Colin Groves, who passed away last year.
Article published in 11th of january 2018 by Mike Gaworecki
L’Androy souffre actuellement du phénomène Tiomena qui se produit lorsque les dunes sont déplacées et laissent apparaître les sols latéritiques. 30.000 jeunes plants auraient été mis en terre à Ambohimalaza, une zone de reboisement située à environ 20 km d’Ambovombe samedi dernier. Une initiative signée par les autorités locales dont le gouvernorat de région ou encore la direction régionale de l’environnement et du développement durable Androy.
Repéré au large depuis quelques mois dans une plaque tournante du trafic de bois de rose, un cargo caboteur a été retrouvé à l’abandon. Il a fini dans les fonds marins Publié le 25/01/2016
Pour marquer au niveau national la Journée des Nations unies, le reboisement de mangrove à Manombo a été inittié. Le thème a trait au changement climatique.
La gendarmerie de Tuléar a été informée d’une tentation d’exportation illicite de tortue. Arrivée au lieu indiqué, une valise contenant 142 tortues, prêtes à être embarquer, ont été attrapées. Parmi ces 142 tortues, 124 sont espèces de tortues appelées « Radiata » tandis que les 18 restantes sont des espèces de tortues en voie de disparition. L’enquête poursuit toujours son cours tandis que les tortues sont entre les mains de la Direction Régionale de l’Environnement de Tuléar.
Le trafic de tortue ne cesse de se produire car beaucoup d’argent y est en jeu, surtout en dehors de Madagascar. Même que la semaine dernière, un autre cas a été arrêté à Ampasapito. Plusieurs mois se sont succédé et heureusement jusqu’ici autant de tentatives d’exportations ont aussi été arrêtées.
Les acteurs pour la lutte contre le trafic de faunes et flores de Toliara ont découvert plus de cinq mille Geochelone radiata, hier midi à Betsinjaka, Toliara II
L’ONG Bel Avenir promeut, dans ses différents sites, la plantation et la consommation de légumineuses. Celles-ci sont considérées comme des produits alimentaires assurant une bonne nutrition. "Cultivez des légumineuses et consommez-en ». Ce sera le leitmotiv de l’Organisation non gouvernementale (ONG) Bel Avenir pendant les trois mois à venir, dans le cadre de la campagne « Plus de légumineuses», une campagne destinée à lutter contre la malnutrition" Article paru le 11 mars 2016
Toliara sera dotée, fin 2016, d’un centre de stockage et de valorisation des déchets ménagers. Ce qui permettra une gestion moderne, rationnelle et durable des ordures.
Dans la région Atsimo-Andrefana, la superficie des aires protégées s’est accrue. Après celle de Tsijoriake, l’aire protégée d’Amoron’i Onilahy a acquis un statut définitif.
Atsimo-Andrefana est vraiment un sanctuaire de la nature, favorable à l’écotourisme et à d’autres activités de recherche et de préservation. En effet, l’aire protégée d’Amoron’i Onilahy est sur le point d’être opérationnelle. C’est ce qui ressort d’une réunion de travail qui s’est déroulée, jeudi dernier, à la grande salle de réunion de l’Office régional du tourisme de Toliara à Ankilisoafilira
À partir de 2017, Toliara pourra pratiquer une gestion moderne, rationnelle et durable des ordures. Le projet devra s’étendre dans toute l’ile, selon Hery Rajaonarimampianina.
Les ordures sont la plaie de toute commune urbaine. La solution valable consiste à les transformer et à les recycler. La commune urbaine de Toliara bénéficiera bientôt d’un centre de valorisation des déchets, dans le fokontany de Tsinjoriaka, commune rurale de Belalanda, à 6 km de la ville. Un appel d’offres dans ce sens a été lancé pour le recrutement d’un consultant chargé d’élaborer le plan du site. Le projet sera financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération et du développement (BMZ) à travers l’ONG Welthungerhilfe. Il entre dans le cadre du Projet d’assainissement solide et de sécurité alimentaire à Toliara (PASSAT). Paru le 06/01/2016
Plus de 5380 carapaces de tortues appartenant à l’espèce Astrochelys radiata, localement connue sous le nom de Sokake, ont été trouvées dans la forêt d’épineux reliant Tranovaho et Marolinta, deux communes rurales de Beloha – Androy
Les pays d’Asie du Sud-Est tels que le Bangkok, la Thaïlande et le Singapour et tout récemment l’Afrique, notamment le Kenya sont les destinations de l’exportation illicite de cette espèce-phare de Madagascar.
Il s’agit d’une première édition pour Madagascar. Le festival international des tortues marines a été célébré dans la ville de Diego Suarez le vendredi 4 décembre dernier ; et dans le Parc Nosy-Hara le 5 décembre Paru le 9 décembre 2015
La classe verte pour l’éducation environnementale des écoliers ciblés d’Antananarivo se poursuit. Une sortie récréative et instructive a été organisée, hier au Lemur’s Park Imeritsiatosika, par Total Madagasikara.
L’Office Régional du Tourisme d’Analamanga (Ortana) dévoile son programme de randonnée annuelle. 18 destinations sont à prévoir pour découvrir la région Analamanga.
La nouvelle aire protégée Tsinjoarivo-Ambalaomby invite les voyageurs à la découvrir. La destination abrite plus de 244 espèces floristiques et 207 espèces d’oiseaux, sans compter les reptiles et les amphibiens.
Black Lemur Camp, situé dans le village d'Anjahakely, au coeur de l'aire protégée d'Andrafiamena Andavakoera (région DIANA) a remporté le prix du "meilleur projet touristique mondial" au British guilde for travel writers international Tourism Awards 2019, le 3 novembre. La biodiversité exceptionnelle d'Andavakoera, également du Propithèque de Perrier ou Sifaka noir, a permis à Black Lemur de remporter le prix international.
Une fierté autant nationale que régionale! La forêt de Macolline (ma colline) fait maintenant partie de l’office du tourisme africain; une association internationale engagée dans la promotion d’un tourisme durable et prospère pour l’Afrique.
Le ministère du tourisme entre en partenariat avec l'Institut de gemmologie de Madagascar. les touristes s'intéressent, en effet, aux pierres précieuses de Madagascar, mais ne sont pas uffisamment informés sur les détails de ces pierres.
Dans le cadre de la dernière édition du Salon World Travel Market 2015 qui s’est déroulée à Londres du 02 au 05 novembre 2015, la destination Madagascar a gagné la première place du concours du World Responsable Tourism, grâce aux actions de l’ONG HONKO Mangrove Conservation & Education à Ifaty Toliara Paru le 12/12/2015
À faire connaître. « L’exceptionnelle richesse de la biodiversité malgache, malgré des millions d’années d’existence, n’a pas encore livré ses secrets », mentionne Roland Ratsiraka, ministre du Tourisme, dans la préface de l’ouvrage intitulé « Madagascar, l’île aux trésors », présenté à l’Hôtel Colbert, hier. Bien que cette biodiversité se soit révélée fortuitement ces dernières années, la faune et la flore endémiques restent encore à découvrir, que ce soit par la population locale ou par les touristes étrangers.
Une opération de séduction. Les opérateurs touristiques poursuivent la promotion de la destination Madagascar sur le plan international. Avec l’Office national du tourisme de Madagascar (ONTM), ils ont organisé un roadshow dans trois villes de Suisse, à savoir Genève, Berne et Lausanne, les 3,4 et 5 mai. « La Suisse est l’un des marchés identifiés donc prioritaires pour le déploiement de la nouvelle stratégie basée sur une approche thématique. Sur ce marché, les thèmes à promouvoir sont la randonnée et trekking, et la faune et flore », indique un responsable auprès de l’ONTM. Ce qui pourrait faciliter le gouvernement à atteindre ses objectifs de faire venir cinq cent mille touristes en 2019. Une ambition qui n’est pas loin du compte. Car une croissance exponentielle de 20% a été constatée dans le secteur depuis 2014. Au cours de l’année 2016, la destination Madagascar a attiré plus de deux millions neuf cent trente mille touristes internationaux. Ce qui a permis à l’État de collecter une recette de 748 millions de dollars.
Le trafic de bois de rose constituerait maintenant l’une des sources de blanchiment d’argent à Madagascar, selon le dernier rapport du service de renseignements financiers en 2014
Une étude effectuée par WWF / Traffic, entre 2009 et 2016, montre que plus de 10 000 individus de tortues terrestres ont franchi illégalement les frontières nationales. Elles font l'objet d'exportation, notamment vers l'Asie. Des milliers d'autres sont consommées au niveau national
Catastrophique. Les détenteurs de stocks de bois de rose doivent se résigner. Le Comité permanent de la Convention sur le commerce international des espèces de faunes et flore sauvage menacées d’extinction (CITES) a rejeté le système de compensation proposé par le gouvernement.
Le trafic de bois de rose refait surface. Cela fait vingt-quatre jours que le bateau Flying Panama rôde sur les eaux de la Zone économique exclusive malgache.
Selon la ministre chargée de l’Environnement, le chef de l’Etat aurait ordonné la poursuite de tous ceux qui étaient impliqués dans l’exportation des trente mille rondins de bois de rose saisis en mars 2014 à Singapour. L’ordre est enfin tombé. À entendre la ministre de l’Environnement, de l’écologie et des forêts, Johanita Ndahimananjara, le chef de l’État aurait enjoint le gouvernement et l’administration à sévir contre tous ceux qui ont permis la sortie des près de 30 000 rondins de bois de rose de la Grande île en février 2014. Article paru le 01/10/2016
Pris en flagrant délit, trois individus en train de couper des palissandres, ont été appréhendés à Tsarahonenana - Andranovory, district de Mandoto dans la région de Vakinankaratra. 68 rondins ont été saisies sur les lieux
Les exportations illicites de bois de rose continuent. Des mesures draconiennes telles que le verrouillage des ports ont donné au trafic une ampleur encore plus effrayante. Absence de plainte, corruption, manque de moyens, irresponsabilité, impunité… sont autant de raisons pour que ces agissements perdurent. Article paru le 13/04/2016
Pillés dans la pointe Sud de Madagascar, quatre sacs de coraux noirs ont été interceptés in extremis. La cargaison allait être envoyée en contrebande vers l’Asie du Sud-Est. Coup de filet des agents de la direction régionale des ressources halieutiques et de la pêche à Toliara. Lors d’une ronde nocturne effectuée en début de semaine, des éléments de patrouille ont mis la main sur quatre sacs tissés, plein à craquer de coraux noirs. Article paru le 24/03/2016
Le trafic des tortues reste un marché juteux dans le Sud. Une importante saisie de 810 tortues radiées vivantes et de 23 tortues mortes a eu lieu dans la commune Ranovaho, district de Beloha de la région Androy par l’équipe de Turtle survival Alliance et le ministère de l’Environnement dans cette circonscription. Les autorités ont été informées sur la présence des tortues dans une maison d’habitation dans le quartier de Benonoky. Prévenus de la descente des autorités, les propriétaires de la maison ont pris la fuite avant l’arrivée de ces derniers. Une enquête a été ouverte dans cette affaire, comme l’indique un communiqué du ministère de l’Environnement.
De 45 tortues Angonoky il y a eu des années, puis diminuer de 05 à 01 individus depuis 2014, et actuellement aucune tortue dénichée durant une fouille de huit jours, par kilomètre carré, au sein même de son habitat naturel, lequel s’étend sur 56 000ha.
La tortue « Angonoka » est une espèce endémique à Madagascar. « On ne peut la voir que dans le parc national de Baie de Baly à Soalala. Cependant, cette espèce menacée de disparition est victime d’une forte pression humaine. La preuve, 62 cas d’intrusions ont été enregistrés entre décembre 2015 et décembre 2016 contre onze cas auparavant », a dénoncé Randriamanampisoa Hasina, Coordonnateur du projet de protection de tortue au sein de Durell. C’est pourquoi, cette ONG britannique a fait appel aux forces de l’ordre, notamment l’OMC Boeny, en travaillant en partenariat avec le ministère de l’Environnement et l’Alliance Voahary Gasy pour lutter contre le trafic de tortues « Angonoka ».
Un réseau de trafiquants de tortues opérant sur facebook a été porté au grand jour, hier. Des acteurs de la société civile l’ont infiltré avant d’alerter la gendarmerie, au dernier moment. Lorsque la société civile plonge dans des investigations déconcertantes. Infiltré depuis près de trois mois par une équipe d’informateurs et d’investigateurs, agissant dans le cadre du projet Application de la loi contre les abus sur les ressources à Madagascar (Alarm), un réseau de trafiquants de tortues, a été frappé d’un coup de massue, hier
Trois marins suspectés dans un trafic de tortue ont été interpellés par la police de Morondava, mardi. Leur bateau a embarqué des radiata morts et vivants
Le trafic de tortues à Madagascar ne semble jamais s’arrêter. La partie Sud du pays est la plus prisée par les trafiquants d’espèces rares tels que les tortues. En effet, les tortues sont d’une grande valeur dans le monde c’est pourquoi les trafiquants prennent du risque même si c’est contre la loi en vigueur. Trois nouvelles personnes, dont un gendarme travaillant à l'aéroport d'Ivato, ont été interpellées ce vendredi dans la capitale pour tentative de trafic de tortues. Ces individus ont été arrêtés dans un hôtel de la capitale, grâce au projet Alarm de l'Alliance Voahary Gasy (AVG). Par ailleurs, le tribunal d'Anosy rendra son verdict le 28 novembre prochain pour les 4 autres individus interpellés sur l'affaire de trafic de tortues à Ambovombe.
Les trafics illicites de ressources naturelles se poursuivent. Le vendredi 18 janvier dernier, une tentative d’exportation de tortues étoilées a été déjouée par les douaniers au bureau de Mamory Ivato. « C’était vers 12h30. 113 bébés tortues ont été découverts, dissimuléss dans des produits d’Art Malagasy à destination de Hong Kong. Cette destination n’est pas habituelle pour ces types de produits, ce qui a éveillé les soupçons des douaniers. Les responsables ont par la suite procédé à une fouille physique, ce qui a abouti à cette découverte », a indiqué la Direction Générale des Douanes. D’après les explications, les bébés tortues ont été dissimulés dans des sets de table troués, emballés dans du papier journal et scotchés, dissimulés dans des chaussettes de football et éparpillés dans plusieurs cartons. Après cette saisie, une enquête a été lancée au niveau de la Douane, menée par le Service de la surveillance et de la lutte contre la contrebande et la Direction des services extérieurs.
Trois valises pleines de tortues ont été découvertes sur un ressortissant malgache. Le contrebandier voulait rejoindre la ville de Hanoi, au Vietnam. Joli coup de filet. L’administration douanière a annoncé, hier, avoir déjoué une tentative d’exportation illicite de tortues hier à l’aéroport d’Ivato. Trois cent soixante dix reptiles découverts dans trois valises ont été saisies sur un ressortissant malgache. « Le suspect a été démasqué grâce à un renseignement anonyme, faisant état d’une tentative d’exportation de tortues à destination de Hanoï (Vietnam) ce jour (ndlr hier). Une filature à l’encontre d’un ressortissant malgache, formellement identifié, a été mise en œuvre dans la zone sous douane, jusqu’à son interpellation », indique l’administration douanière dans un communiqué.
La recrudescence du braconnage constitue la principale menace sur la survie de la tortue à soc connue sous le nom d'Angonoka, classée patrimoine naturel de la baie de Baly.
La justice chinoise fait preuve de sévérité en matière de trafics d’espèces protégées. Dans une affaire d’exportation illicite de tortues malgaches vers la Chine, les juges de la Cour Intermédiaire de Guangzhou ont rendu un jugement sévère d’onze ans d’emprisonnement et 75 103 de dollars d’amende pour le leader des trafiquants, et de cinq ans d’emprisonnement et 75103 dollars pour l’agent de Guanzhou Bayun Airport, et deux à sept ans d’emprisonnement pour les autres Article publié le 27 août 2016
Le consortium baptisé « The international angonoka working group » a été formé pour mener des actions de conservation au niveau international en faveur de la tortue à soc ou « angonoka ».Il a tracé récemment une nouvelle voie pour combattre le commerce illégal d’un des reptiles les plus menacés (avec moins de 500 individus dans la nature)
Article paru dans le quotidien "la gazette de la grande île" en date du 13/05/2014
L’Alliance Voahary Gasy (AVG), via la mise en œuvre du projet ALARM (Application des Lois contre les Abus sur les Ressources naturelles à Madagascar), ne cesse de dénoncer les trafics des espèces protégées qui commencent à reprendre dans le pays Article paru le 03/03/2017
Deux espèces de tortues de Madagascar sont gravement menacées par la destruction de leurs habitats, la déforestation, la culture sur brûlis, l’agriculture non durable et le commerce de la viande de brousse, selon une publication de l’IARFA (International Animal Rescue Foundation World Action South Africa).
A few years ago, Earth Touch cameras followed primatologist Erik Patel and his team into the wilds of northeastern Madagascar to document his fieldwork on the rare silky sifaka, a large, white lemur restricted to a small range in the primary rainforests of the island's rugged massifs.The resulting documentary, Trouble in Lemur Land, showcases some of the very best footage ever captured of these elusive primates, less than 2,000 of which still survive on the island
"Tsimanampetsotse est l'inntitulé du livre co-écrit par Roland Eve et Anaïs Pers, qui a fait l'objet d'une présentation hier au Centre de Presse Malagasy (CPM) à Antsakaviro. Il s'agit d'un guide du visiteur dédié au parc national de Tsimanampetsotse, une des plus anciennes aires protégées et des plus emblématiques de Madagascar située sur la côte Sud-ouest
Le parc national de Tsimbazaza sera l’un des centres de la coopération entre le gouvernement malgache, par l’intermédiaire du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique/PBZT et le gouvernement Japonais.
Le secteur tourisme à Menabe notamment à Morondava et ses environs reprend depuis environ 2 semaines maintenant. En fait, plusieurs touristes étrangers et surtout des nationaux sont enregistrés sur place et s'étalent sur la longue plage de Morondava
Article paru dans le quotidien la gazette de la grande île du 14/08/2013
Une fois de plus, les tortues ont été victimes d’exploitation illicite. Transportée par une voiture 4*4 venant de la région Androy, l’acte était arrêté au croisement d’Andranovory allant vers Tuléar lors du 29 juillet dernier. S’agissant surtout de bébé tortue, en tout 643 ont été comptées dont 5 sont mortes et d’autres en très mauvaise posture à cause de la façon dont elles ont été traitées et enfermées dans des sacs à toiles. La présente exploitation doit encore être présentée en cours de justice. En attendant la gendarmerie poursuit encore l’enquête, tandis que les tortues sont entre les mains du Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et de la Forêt où elles sont en sécurités avec suivie de leur santé.
Whether you’re fascinated or terrified by sharks, the list of species you need to consider has just grown by two. And they're pretty weird. In the West Indian Ocean, marine scientists have discovered two new species of six-gilled sawsharks.
Article published on march 18, 2020 by Nina Pullano
Une étude scientifique menée par des scientifiques allemands et malgaches a observé l’évolution de la déforestation dans le Menabe central (incluant la nouvelle aire protégée Menabe Antimena) entre 1973 et 2010. Selon cette étude, l’ensemble de la forêt du Menabe central risque de disparaître complètement avant 2050 si le rythme actuel de déforestation continue. En effet, selon cette étude, entre 2008 et 2010, la moyenne annuelle de déforestation dans le Menabe-Antimena est estimée à 1820 ha.
Sept milliards d'êtres humains sur Terre : notre population se porte bien. Ce n'est pas le cas de nombreuses autres populations de vertébrés dans le monde : la moitié a chuté en quarante ans, essentiellement dans les milieux d'eau douce et dans les régions subtropicales. Plusieurs espèces animales mais aussi végétales disparaissent chaque année. Certaines ne sont plus là depuis des décennies alors que l'Homme consomme l'équivalent d'une planète et demie pour répondre aux besoins de ses activités.
Une espèce minuscule de caméléon, long d’à peine 13,5 millimètres, appelé Brookesia nana, a été découverte par des scientifiques lors d’une expédition dans les forêts du massif Sorata dans le nord de Madagascar. Il se pourrait qu’il s’agisse du plus petit reptile jamais décrit au monde.
Un guide vient d’être élaboré pour aider les acteurs du secteur agricole à lutter contre la chenille légionnaire d’automne, un redoutable ravageur du maïs en Afrique.
Intitulé "Fall Armyworm in Africa : A guide for Integrated Pest Management" [1], ce nouveau document a été coproduit par quatre organisations : le programme Feed the Future [2], l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), le Centre international d'amélioration du maïs et du blé (CIMMYT) [3], et le programme du CGIAR [4] sur le maïs. Publié fin janvier 2018, ce guide contient des conseils sur l'identification du ravageur, les technologies disponibles et les meilleures pratiques pour gérer efficacement ce parasite.
Les 5 et 6 juillet dernier s'est déroulée l'inauguration de l'auberge panoramique « Mintsinjo » à Andranomandevy, un éco-gîte de tourisme communautaire niché au cœur de la vallée du Sambirano, à 30 kms d' Ambanja
Article paru dans le quotidien "La tribune de Diego" le 11/07/2013
Pour contribuer à diminuer la déforestation, le programme de surveillance aérienne a effectué depuis 2010 environ 88 survols dans 21 aires protégés de Madagascar. La surveillance aérienne a été un grand appui dans l’organisation des patrouilles et l’application des sanctions dans six aires protégés de Madagascar : les parcs Kirindy-Mite et Tsimanampetsotse, la réserve spéciale d'Andranomena et les nouvelles aires protegées de Amoron’ny Onilahy, Ankodida et Nord Ifotaky Article publié le 05/05/2017
L'animal brun aux grands yeux mesure seulement 17 centimètres, mais a une queue de 27 centimètres. Il a été découvert dans le sud-est de l'île.
Madagascar est son terrain de jeu. Une nouvelle espèce de lémurien a été découverte dans le sud-est de l'île, le lémurien nain des Groves, de la famille des Cheirogaleus par le département de génétique de conservation dirigé par Dr. Edward Louis Jr.
Le Groupe de Réflexion sur l’Energie (GRE) a tenu un Atelier vendredi 13 mai dernier à l’Hôtel Palissandre avec l’appui de l’agence de coopération allemande GIZ. La finalité étant de voir les liens pratiques entre Genre et Energie. Aussi, les concepts relatifs à l’intégration du Genre ont été introduits aux participants pour leur permettre de réfléchir sur le comment prendre en compte les besoins opérationnels et stratégiques des hommes et des femmes respectivement dans le secteur de l’Energie.
« Aujourd’hui, c’est la journée pour économiser », s’est exclamé un jeune pendant le grand concours de cuisine écologique Master Chef écolo ou Tsikonina Mitsitsy, célébré à Madagascar dans le cadre de l’événement mondial «Une heure pour la terre », le samedi 24 mars 2018.
Ce samedi, comme tous les derniers samedis du mois de mars depuis 2007 dans le monde, un geste symbolique entre dans le cadre de « EarthHour » ou « Une heure pour la Terre » : durant une heure, éteindre toutes les lumières et débrancher les appareils électriques non essentiels pour symboliser la réduction de la consommation d’énergie et conscientiser le public sur l’importance de la lutte contre le réchauffement climatique.
Une combinaison de l’instabilité politique, de la mauvaise gestion gouvernementale, d’un manque de contrôles des opérations forestières et d’une incapacité à imposer des sanctions punitives à l’encontre de trafiquants bien connus contribue à ce qu’a effectivement été un zéro contrôle de la gestion des ressources de bois précieux à Madagascar entre mars 2010 et mars 2015, selon une nouvelle étude de TRAFFIC Article publié le 14/02/2017
L’érosion et la dégradation des sols constituent des problèmes environnementaux majeurs à Madagascar. Le pays est en effet le plus érodé au monde. 400 tonnes par hectare, c’est la quantité de terre perdue par an ! Face au peu d’intérêt suscité par ces problèmes environnementaux au niveau national, la Plantation de Bemasoandro (LPB), pionnier du vétiver à Madagascar, en a fait le fer de lance de ses activités. Le vétiver permet effectivement de lutter contre l’érosion et de stabiliser les talus grâce à ses racines, denses, longues et résistantes.
Le concert de solidarité pour tous, réunissant plusieurs artistes de reggae sur la scène d’Analamaintso à Analamahitsy, sera l’événement du 28 août prochain. Les artistes chanteront pour la protection de l’environnement.
Un projet de culture de plantes, pour la production d'ingrédients cosmétiques et de médicaments est lancé. Il s'agit de valoriser au bénéfice de marchés national et international. Les recherches universitaires ont porté leurs fruits, car les résultats obtenus depuis 2012 sont maintenant palpables. C'est ce qui résulte du lancement du projet réalisé dans le cadre de la collaboration entre la société Greentech, l'Université d'Antsiranana et les différents ministères concernés
Eux aussi avaient préservé l’environnement. Les tabous (fady) réglementaient les relations des Malgaches d’autrefois avec le monde des vivants et le monde des morts. Les fady règlent ensuite les relations humaines en général, l’hospitalité, le rapport avec les autorités et les anciens, et les tabous de clan.
Une rencontre entre les sénateurs et une délégation du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable s’est tenu vers la fin du mois d’octobre. Une entrevue dont le but d’exposer les programmes et projets du MEDD afin de conserver et de sauvegarder l’environnement à Madagascar. La rencontre a permis de présenter des stratégies de lutte contre les feux de brousses ainsi que d’étaler une discussion sur les stratégies relatives à la suppression progressive de l’utilisation des charbons de bois.
Créée par un arrêté préfectoral en novembre 2016, la cellule environnementale régionale de la région Vakinakaratra a été non opérationnelle durant la réalisation de son mandat.
Afin d’éduquer les membres et surtout les jeunes à abandonner le système de reboisement routinier et traditionnel, selon lequel le geste s’arrête au moment du reboisement et sans entretien et suivi, les responsables de l’Union des entreprises de Vakinankaratra (Fiova) ont choisi, cette année, d’entretenir les arbustes mis en terre, l’année dernière avant de procéder au reboisement proprement dit. Ils ont, ainsi, mis en place des coupe-feu et des pare-feu autour du terrain planté et ont effectué le débroussaillage approprié des anciens plants
Pour atteindre l'objectif du déveeloppement durable et dans le cadre de la réalisation de la politique du gouvernement sur la protection et la préservation de l'environnement, la direction régionale de l'Environnement et du Dévelopeement durable (DREDD) du Vakinankaratra se prépare, actuellement, à la campagne de reboisement 2020. Environ six millions de jeunes plants sont ainsi prêts à la pépinière d'Andranonahoatra-Mandaniresaka afin de promouvoir la participation citoyenne à la pérennisation des ressources environnementales dans notre pays.
Le projet focalise son activité sur l’agro-écologie et l’agriculture de conservation sensibilise et incite les paysans de ces communes à la pratique de l’agriculture de conservation et de la rotation culturale.
« Reboisement réussi, démarrage du développement durable ». Afin de réaliser cet objectif, la direction régionale de l’Environnement, de l’écologie et des forêts (DREF) du Vakinankaratra s’est efforcée de lancer la campagne de reboisement de cette année dans la bonne période. Celle-ci a été effectuée à Antsampanimahazo Ankofafabe dans la commune rurale d’Antsoantany, jeudi dernier.
La préservation de l’environnement concerne tout le monde. Un débat planétaire dans ce sens s’est tenu par visioconférence, avec la participation de la région.
Une affaire de toute la planète. En relation avec la célébration de la Journée mondiale de l’Environnement, le Vakinankaratra a participé, pour la première fois, à un débat planétaire portant sur la lutte contre le changement climatique.
Deux personnes, ayant effectué des tueries de lémuriens appelés « Akomba », ont été attrapées par les autorités du parc Ampisikina Antalaha. 2 grands sacs de lémuriens estimés au nombre de 20 ont été récupérés en leur possession, tous déjà morts. Malgré l’interdiction de la loi, ces lémuriens ont été chassés dans le parc même selon les sources locales. L’enquête suit toujours son cours, n’empêche que plusieurs questions sur l’acte restent encore sans réponse. Récemment, les menaces de la biodiversité de Madagascar se sont enchainées ; que la biodiversité va disparaître si des mesures strictes ne sont pas prises par les parties prenantes, décideurs et hautes autorités.
«The tree of life » ou le baobab. Le nom en anglais emprunté par l’ONG français Pinkforest pour les baobabs de Madagascar, fait référence à un film de 2011 dans lequel le célèbre acteur américain Brad Pitt a joué. Le projet de cette ONG porte sur la valorisation économique du baobab et plus précisément de leurs fruits. Utilisés pour la fabrication de jus maison, ces fruits auraient des vertus pour la santé. Leur valorisation devrait aussi générer des revenus supplémentaires pour les communautés riveraines des forêts de baobabs tout en diminuant les pressions sur les baobabs, c'est-à-dire la déforestation,les cultures sur brûlis…
Article paru dans le quotidien "La gazette de la grande île" en date du 10 septembre 2013
En 2015, Madagascar enregistre une perte de 36 000 ha de forêts par an en raison de diverses pratiques culturales qui accélèrent la déforestation mais aussi à cause de l’utilisation des feux de bois par les ménages. Une pratique qui est encore difficile à éradiquer car 90% des foyers utilisent le charbon de bois et les bois de chauffe. Une alternative à ces combustibles, il y a le gaz mais il n’est pas à la portée de tout le monde. Il en est de même pour les réchauds électriques à résistances, avec la hausse des tarifs de la JIRAMA.
Les cibles de conservation de la NAP d’Orangéa comprennent des éléments de la biodiversité et des valeurs culturelles/historiques, dont la forêt sèche, les primates, les plantes endémiques locales comme Dioscorea orangeana et les vestiges historiques. L'évolution de l'état de ces éléments témoigne les efforts sur la conservation de ses richesses.
La vanille est l’un des principales sources de revenus des habitants des régions de la Sava et d’Analanjirofo et en principe, les paysans assurent la production tout en bénéficiant de son exportation.
On y trouve des variétés plus performantes et plus demandées par les agriculteurs ainsi que des variétés correspondant à leurs besoins face aux contextes du changement climatique et de l’insécurité alimentaire.
Vingt nouveaux sites ont été ajoutés au réseau mondial des réserves de biosphère de l'Unesco, lors d'une réunion tenue les 18 et 19 mars à Lima (Pérou). Les nouvelles réserves sont désignées chaque année par le Conseil international de coordination du programme de l'Unesco sur l'Homme et la biosphère. "Les réserves de biosphère sont conçues comme des zones d'apprentissage pour le développement durable, destinées à concilier la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources naturelles", a précisé l'organisation onusienne.
Les visites des parcs nationaux figurent parmi les attractions touristiques du pays. Jean Anicet et sa femme, tous deux Français, sont de passage dans le pays pour une semaine. Ils prévoient de rester deux jours dans la Capitale et de visiter par la suite le sud du pays. C’est la troisième fois que ce couple est en voyage à Madagascar. Jean Anicet affirme : « Nous appréçions surtout le paysage et la biodiversité à Madagascar. Nous redecouvrons la nature en visitant la Grande-Ile ».
Entreprise citoyenne et engagée pour la protection de l’environnement, Vitogaz a réalisé sa campagne de reboisement samedi dernier sur le site de Zodafarb à Ampangabe. Avec cette opération, la quatrième du genre, les 250 collaborateurs de Vitogaz, accompagnés de leur famille respective ont mis en terre 1.000 plants d’acacia. Vincent Fleury le Directeur Général de Vitogaz a profité de cette occasion pour expliquer qu’il ne s’agit pas d’une opération ponctuelle, mais d’un processus sur le long terme. L’entreprise s’est, en effet, engagée pour une campagne de 10 ans pour ce programme de reforestation. « Depuis le début de la campagne, il y a quatre ans, nous avons un retour positif sur le pourcentage de plantation réussie » selon toujours le D.G de Vitogaz.
Le Ministère de l’Education Nationale et Vivo Energy Madagascar, l’entreprise qui commercialise et distribue les carburants et lubrifiants Shell à Madagascar, ont organisé dans les lycées de Madagascar la deuxième édition du concours national pour le projet le plus innovant contre le changement climatique. 372 lycées ont participé à ce projet d’envergure nationale et 2062 projets ont été soumis sur une population totale de 200 000 lycéens à Madagascar.
Le trafic des lémuriens persiste dans la partie Nord-est de l’île. Le flair d’un agent de la forêt aurait permis de mettre la main sur le braconnier. Le trafic des lémuriens, classés comme espèce en voie de disparition, n’en finit pas dans la région de Sava. 56 lémuriens grillés ont été découverts dans un taxi brousse reliant Ampanefena et Vohémar, ce mois, selon le rapport du commissariat de la Police à Vohémar, joint au téléphone, hier. « Un agent de la forêt, étant parmi les passagers de ce véhicule, a senti l’odeur de ces mammifères grillés
Un grand festival se tiendra les 26, 27 et 28 novembre prochain dans les nouvelles aires protégées (NAP) d'Antrema et du complexe Mahavavy-Kinkony, District de Mitsinjo, région Boeny. Il est dédié à l'espèce d'oiseau emblématique et unique du site de Mahavavy-Kinkony qu'est le Vorofaly et a comme objectif de faire rimer les traditions Sakalava avec la protection de l'environnement, ainsi que la conservation de la biodiversité. Concernant le site d'Antrema, parmi ses spécificités figure une espèce de Lémurien (Propithecus coronatus) qui est menacée d'extinction à cause de la chasse pour la consommation locale
Le WWF dans la région d’Amoron’i Mania, effectue des travaux de reboisement pour des objectifs multiples telle la production de bois énergie, a-t-on appris de Razafimahatratra Appolinaire, coordonnateur du projet de restauration du paysage forestier Fandriana-Antanifotsy-Marolambo, lors du lancement officiel dans la région d’Amoron’i Mania, de la campagne de reboisement à Manandriana le mois dernier
Savez-vous qu’il existe plus de 280 espèces d’oiseaux à Madagascar ? Et sur ces 280 espèces d'oixeaux, environ 80 sont des oiseaux migrateurs. Ces informations majeures ont été partagées lors des célébrations de la Journée Mondiale des oiseaux migrateurs.
Tout comme pour la vanille et le girofle, l’ylang-ylang est une plante d’exportation de grande valeur. Considérée comme la fleur des fleurs, elle possède des propriétés particulières indispensables en parfumerie. Pour Madagascar, la région de production se localise particulièrement dans l’île de Nosy-Be où des hectares de plantations s’étendent. Parmi les exploitants se retrouvent la Société de produits à parfum de Madagascar (Sppm) qui fournit plus d’un quart de la production mondiale d’ylang-ylang
La zone marine d’Ambodivahibe, dans la région Diana, bénéficiera d’ici fin avril 2015 d’une protection définitive. Cette réserve compte 3 9794 ha, dont 5 000 ha constituent le noyau dur ou réserve marine permanente, et le reste, la réserve marine temporaire où la pêche traditionnelle est autorisée mais réglementée
Madagascar dispose aujourd’hui de 20 sites Ramsar, dont dix ont été désignés durant la seule année 2017. Ils totalisent une superficie de plus de deux millions d’hectares.
Cinq nouveaux sites malgaches viennent d'être désignés le 31 mai 2017 à la 53ème réunion du comité permanent de la convention Ramsar à Gland, en Suisse. C'est une excellente nouvelle pour la conservation de la biodiversité de Madagascar Article publié le 01/06/2017
À Madagascar, la conservation de la faune, la sécurité alimentaire et la nutrition humaine sont étroitement liées, car de nombreuses personnes dépendent des aliments sauvages pour leur subsistance.
Concilier la protection de la biodiversité aquatique et les intérêts des habitants pour un avenir meilleur, tel est l’objectif de la célébration de la journée des zones humides.
Article paru dans le quotidien l'express de Madagascar en date du 16 février 2015
Le parc zoologique de Bâle en Suisse abrite désormais deux espèces de lémuriens endémiques de Madagascar. Il s’agit de deux makis noir et blanc. Chaque année, près d’un million de visiteurs se rendent dans ce parc pour admirer les animaux venus de tous les Continents. Depuis leur arrivée, ces deux primates s’ébattent sur une île récemment aménagée au milieu de l’étang d’un restaurant, a-t-on appris. Ils marquent leur territoire à grand renfort de cris. Notons que l’installation de ces deux espèces de lémuriens endémiques de la Grande Ile dans ce parc entre dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’Elevage et de Conservation de ces animaux qualifiés de menacés d’extinction. Le programme est d’ailleurs mené par le zoo de Bâle en étroite collaboration avec les autorités du pays, a-t-on évoqué. Article paru le 16/01/2017
Les malfaiteurs frappent quasiment chaque nuit dans les champs de vanille, notamment, à Ambanja et à Vavatenina, obligeant les producteurs à cueillir les gousses bien avant la phase de maturité. Des voleurs de vanille frappent deux mois avant l’ouverture de la saison de cueillette, à Ambanja. Dix personnes, dont trois présumées auteurs de vol de vanille sur pied ainsi que sept producteurs, sont tombés dans les mailles des filets, tendus par les éléments de la brigade territoriale de gendarmerie. Ceux-ci ont travaillé de concert avec les agents de la Plateforme régionale de la filière vanille, vendredi.
La « Grande marche pour les forêts », mouvement global, a été également organisée et célébrée samedi dernier à Madagascar, par près de 8000 personnes (dans toute l’île, donnée chiffrée recueillie auprès du WWF). Vu l’ampleur que le mouvement gagne au fils des années, nous pouvons parler d’un éveil progressif de la conscience collective.
C’est une première. Un salon entièrement consacré à l’environnement, l’énergie renouvelable et la bio-écologie. C’est ce qui sera proposé au public et à divers acteurs œuvrant dans ces domaines, les 27, 28 et 29 avril 2018 au jardin de l’Infinithé Ivandry. Il s’agira de réunir les entités partageant les mêmes convictions sur la nécessité de limiter voire mettre un cran d’arrêt à sa dégradation et prêtes à agir dans ce sens.
Vendredi dernier, 5 avril, a été lancée la première saison de la série documentaire « Notre planète », sur la plateforme de partage de vidéos en ligne « Netflix », un projet fruit de la collaboration entre WWF, « Netflix » et « Silverback Films » dans lequel chaque épisode révèle les merveilles biologiques dans divers endroits du globe, dont les forêts sèches de Madagascar qui apparaissent dans le huitième épisode consacré aux forêts.
Pour protéger la forêt, accompagner la communauté aux alentours de celle-ci pour qu’elles ne puisent plus dans les ressources naturelles, pratique hautement préjudiciable pour la biodiversité, est une stratégie qui a déjà fait ses preuves. Améliorer les conditions de vie de la communauté des alentours de la forêt pour les inciter à ne plus puiser dans les ressources naturelles qu’elle renferme à travers des pratiques comme le « tavy » (culture sur brûlis), fortement préjudiciables à la biodiversité. Tel est l’objectif d’un vaste projet baptisé « Aroala », lancé récemment par le Rotary Club d’Antananarivo-Tsimbaroa en faveur de la protection de l’environnement.
Un pas défranchi. La conférence ministérielle africaine sur l’économie bleue et le changement climatique, organisée à Maurice, le 1er et le 2 septembre par la Banque mondiale, a permis à dix neuf pays, dont Madagascar et une dizaine de pays africains, d’avoir des conceptions plus claires sur les problématiques de l’océan. Dans l’ensemble, ils étaient convaincus sur l’enjeu de la bonne gestion de l’océan sur l’économie. Celle-ci dépend incontestablement des effets des changements climatiques, dont les conséquences se font déjà ressentir.
Parmi les écoles-pilotes du programme Éco-école, l’EPP Tsilazaina a déjà décroché une médaille de bronze. Elle est maintenant en quête d’une médaille d’argent.
Dans le cadre de la réforme de l’éducation, des responsables et acteurs de l’éducation nationale issus des 22 régions ont suivi une formation axée sur l’initiation au changement climatique. Elle s’est tenue au Centre régional de l’Institut national de formation pédagogique d’Antsirabe durant ces deux dernières semaines.
La redynamisation de l’apiculture dépend de l’évolution des techniques ainsi que de l’importance de l’investissement. Des paysans de la région Anosy s’empressent de donner une nouvelle impulsion à la filière miel. Article paru le 10/03/2017
Le ministère de l'Énergie compte valoriser les ressources minières locales dans la production d'énergie électrique, pour obtenir un prix plus abordable